Senousret III

Définition

Joshua J. Mark
de , traduit par Babeth Étiève-Cartwright
publié le 26 juillet 2017
Disponible dans ces autres langues: anglais
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Head of Senusret III (by Osama Shukir Muhammed Amin, Copyright)
Tête de Senousret III
Osama Shukir Muhammed Amin (Copyright)

Senousret III (c. 1878-1860 av. J.-C., également connu sous le nom de Sésostris III) était le 5e roi de la 12e dynastie du Moyen Empire d'Égypte (2040-1782 av. J.-C.). Son règne est souvent considéré comme l'apogée du Moyen Empire, qui fut l'âge d'or de l'histoire de l'Égypte dans la mesure où l'art, la littérature, l'architecture, la science et d'autres aspects culturels atteignirent un niveau de raffinement sans précédent, où l'économie prospéra et où les expéditions militaires et commerciales remplirent le trésor de la nation.

Le peuple trouva en Senousret III l'incarnation du roi guerrier idéal, qui incarnait la valeur culturelle égyptienne de la maât, exprimée dans un état équilibré et harmonieux, et dont le règne fut caractérisé par l'habileté militaire, l'action décisive et l'administration efficace. À la tête de son armée, il était considéré comme invincible; il dirigeait ses troupes par l'exemple et toujours depuis le front. Ses campagnes en Nubie élargirent les frontières de l'Égypte et les fortifications qu'il fit construire le long de la frontière favorisèrent un commerce lucratif.

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Bien qu'il les ait vaincus à de nombreuses reprises au combat, les Nubiens le respectaient tellement qu'il était vénéré dans leur pays comme un dieu. Il mena également des expéditions en Palestine et en Syrie et multiplia ensuite les relations commerciales avec ces régions qui le respectaient également. Les Égyptiens lui conférèrent le rare honneur de le déifier alors qu'il vivait encore et son culte fonctionnait au même niveau, et recevait la même reconnaissance, que n'importe lequel des grands dieux d'Égypte.

Compte tenu de l'immense honneur et du respect qui lui furent accordés de son vivant, il n'est pas étonnant que Sénousret III soit considéré comme l'inspirateur le plus probable de la figure légendaire de Sésostris, rendue célèbre par le récit d'Hérodote dans ses Histoires (II.102-110). Sésostris, selon Hérodote et d'autres, était un grand roi égyptien qui avait conquis et colonisé l'Europe et, selon Diodore de Sicile, avait dominé le monde connu de son époque. Les chercheurs actuels ont identifié ce personnage avec un certain nombre de rois égyptiens tels que Senousret I, Senousret II, Ramsès II et Thoutmôsis III, mais Senousret III est toujours inclus dans la liste avec distinction en tant que source probable de la légende.

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Il est également associé au pharaon sans nom du livre biblique de la Genèse, chapitres 39-47, dans lequel Joseph est vendu comme esclave en Égypte et gagne sa liberté grâce à sa capacité à interpréter les rêves avec précision. Dans ces chapitres, le pharaon élève Joseph à une position de pouvoir qui n'a d'égale que la sienne et lui confie le soin de sauver l'Égypte de la famine.

Quelle que soit la manière dont cette association fut faite, elle n'a aucun rapport avec le Senousret III historique ou l'histoire réelle de l'Égypte. Aucune famine généralisée n'a été enregistrée sous le règne de Senousret III et rien n'indique qu'il ait eu un étranger comme vizir. En outre, le modèle utilisé dans le récit biblique, à savoir sept années d'abondance suivies de sept années de vaches maigres, était courant dans les récits égyptiens et fut très probablement repris par le scribe hébreu qui écrivit l'histoire de Joseph.

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Nom, famille et ascension au pouvoir

Le nom de naissance du roi, Senousret, signifie "Homme de la déesse Ousret". Ousret était la déesse de Thèbes dont le nom signifiait "puissant", et elle fut honorée par un certain nombre de monarques du Moyen Empire originaires de sa ville (comme Senousret I et Senousret II). Le nom du trône de Senousret III était Khakaourê ("Apparaissant comme les âmes de "). Habituellement, un monarque mettait de côté son nom de naissance lorsqu'il accédait au trône, mais Senousret dérogea à cette tradition et gouverna sous son propre nom.

Les Égyptiens lui conférèrent le rare honneur de le déifier de son vivant.

Son père était le roi Senousret II (c. 1897-1878 av. J.-C.) et sa mère la reine Khénémet-néfer-hedjet Ire (généralement donnée comme Khénémet-nefer-hedjet-ouret et signifiant "unie à la couronne blanche-grand", une référence à la couronne blanche de Haute-Égypte). Il fut élevé à la cour de Thèbes et fut éduqué dans la perspective de son éventuelle succession au trône. Lorsqu'il n'était pas à l'école, il s'entraînait à l'athlétisme en mettant l'accent sur les prouesses physiques et les compétences militaires.

Son père, Senousret II, noua des relations particulièrement étroites avec les nomarques (gouverneurs de district) qui étaient souvent très puissants et disposaient de leurs propres milices. Le poste de nomarque était héréditaire, initié pendant l'Ancien Empire d'Égypte, et ces gouverneurs avaient gagné en puissance des siècles auparavant, alors que le gouvernement de l'Ancien Empire déclinait et s'effondrait vers 2181 avant notre ère. Au cours de la première période intermédiaire de l'Égypte (2181-2040 av. J.-C.), ces nomarques étaient plus puissants que le gouvernement central et jouissaient du même respect que les rois de l'Ancien Empire.

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Au début du Moyen Empire, Montouhotep II (c. 2061-2010 av. J.-C.), de la XIe dynastie, vainquit les rois d'Héracléopolis et punit ensuite les districts (nomes) qui leur étaient restés fidèles et lui avaient résisté. Il unifia l'Égypte avec un gouvernement central fort situé à Thèbes. Les rois qui lui succédèrent directement maintinrent sa politique, mais Amenemhat Ier (c. 1991-1962 av. J.-C.), qui fonda la 12e dynastie, déplaça la capitale de l'Égypte de Thèbes à Iti-tawi en Basse-Égypte, au sud de l'ancienne capitale de Memphis, peut-être dans le but de se démarquer de la dynastie précédente qui avait unifié le pays par la force et supprimé le pouvoir des nomarques.

Amenemhat Ier encouragea les nomarques à développer leurs régions et leur accorda une grande autonomie de gouvernement. Ses successeurs suivirent sa politique et Senousret II la développa. Cette politique permit une évolution significative des styles artistiques régionaux et des innovations dans d'autres domaines, mais elle constituait une menace potentielle pour la couronne si un nomarque devenait suffisamment fort pour contester le gouvernement. À la mort de Senousret II, le pouvoir et la richesse des nomarques étaient les mêmes qu'avant Montouhotep II et rivalisaient avec ceux de la couronne. À la mort de Senousret II, Senousret III accéda au trône et décida de remédier à la situation.

Réformes sociales

Le problème du roi face au pouvoir des nomarques était lié à la valeur culturelle égyptienne centrale de la maât (harmonie et équilibre). Le roi était censé maintenir la maât dans un pays unifié, ce qui n'était pas possible si certains districts étaient assez puissants pour faire ce qu'ils voulaient s'ils le voulaoent. Senousret III redécoupa le pays pour diminuer le nombre de nomes, ce qui réduisit évidemment le nombre de nomarques.

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Il divisa le pays en trois grands districts - la Basse-Égypte, la Haute-Égypte et le sud au-delà d'Éléphantine (aujourd'hui Assouan), et le nord de la Nubie tenu par les Égyptiens - qui étaient gouvernés par un conseil, nommé par le roi, qui rendait compte au vizir du roi. Cette politique priva de leurs droits la plupart des nomarques, mais il est intéressant de noter qu'il n'y a aucune preuve de résistance à cette politique et qu'il n'y a aucune indication que le roi ait été mécontent d'une mesure qui aurait dû affecter de manière significative le niveau de vie d'un certain nombre de familles anciennement puissantes. Les inscriptions sur les tombes de ces nomarques à Beni Hassan prouvent à plusieurs reprises que ces personnes continuèrent à être employées par l'État et qu'elles étaient fières de leur position et de leur roi.

Senusret III
Senousret III
radiowood (CC BY-NC-SA)

Cette politique aboutit à un gouvernement central beaucoup plus fort et plus sûr. Les milices des différents nomes furent dissoutes et absorbées par l'armée permanente du roi, et la suppression des nomarques permit à la couronne de s'enrichir davantage. Le redécoupage de Senousret III eut également l'effet imprévu de créer un segment de la population qui n'existait pas auparavant: la classe moyenne.

Avant la politique de Senousret III, l'Égypte était divisée entre la noblesse et la paysannerie; par la suite, les nomarques et leurs familles élargies ne contrôlant plus les districts, les administrateurs de rang inférieur découvrirent que la mobilité ascendante était soudainement possible et en profitèrent. Un plus grand nombre de personnes occupaient désormais des emplois mieux rémunérés en tant qu'administrateurs et bureaucrates, ce qui enrichissait les différents nomes et leur procurait un revenu disponible plus important. La stabilité et l'aisance qui en résultèrent encouragèrent davantage de personnes à commander des œuvres d'art et des tombes élaborées, ce qui incita les artistes et les artisans à faire preuve d'une plus grande créativité.

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Art et culture

L'art du Moyen Empire dans son ensemble était beaucoup plus complexe et impressionnant qu'aux époques précédentes et, sous le règne de Senousret III, il fut marqué par un plus grand réalisme et une plus grande attention aux détails. L'art égyptien ancien était fonctionnel, et pas seulement esthétique. Le concept de "l'art pour l'art" aurait été inimaginable pour un artiste égyptien de l'Antiquité. Chaque œuvre, quelle que soit sa taille, était conçue dans un but pratique précis: les statues servaient l'esprit de la personne ou du dieu représenté, les temples et les monuments faisaient de même, les peintures et les reliefs relataient des récits historiques ou religieux importants, les peignes, les boîtes, les jarres, les pinceaux, les amulettes, les épées, les armures, tous étaient conçus dans un but précis, mais ils devaient tout de même être esthétiquement agréables.

Un pectoral (broche portée suspendue sur la poitrine) de Meretséger, l'une des plus petites épouses de Senousret III, en est un exemple à petite échelle. La pièce représente les victoires de Senousret III sur les Nubiens et les Libyens sous une forme symbolique: Senousret III apparaît sous la forme d'un griffon détruisant les ennemis de l'Égypte, tandis que la déesse Nekhbet, sous la forme d'un vautour, plane au-dessus de son cartouche royal au centre. Le pectoral est en or avec des détails en cornaline et en lapis-lazuli. D'une part, il s'agit d'une simple représentation des réalisations de Senousret III, mais d'autre part, il aurait servi d'amulette protectrice, les figures nubiennes et libyennes représentant les menaces de toutes sortes et Senousret III, en tant que griffon, neutralisant ces menaces.

Pectoral of Mereret
Pectoral de Meretséger
Dmitry Denisenkov (CC BY-SA)

Les œuvres les plus connues de son règne sont ses propres statues. Senousret III est représenté dans des statues à différentes étapes de sa vie et le réalisme des figures est représentatif du style dominant de l'art de l'Empire du Milieu. C'était un homme de grande taille, de plus d'un mètre quatre-vingt-dix, toujours représenté avec une expression royale et sombre. Dans l'ensemble, la statuaire égyptienne évite les représentations expressives, car les œuvres étaient conçues pour représenter la totalité de l'individu, et non cette personne à un moment donné. Les états émotionnels étant reconnus comme fugaces, on ne voulait pas d'une représentation éternelle de soi souriant, fronçant les sourcils, jubilant ou en deuil. Les statues de Senousret III, cependant, représentent le roi tel qu'il aurait été à différents moments de sa vie, de sa confiance juvénile (la statue porte la trace d'un sourire) à l'œuvre la plus célèbre montrant le roi vieilli par les affaires de l'État.

Conformément à la tradition, Senousret III commanda un certain nombre de projets de construction impressionnants. Il agrandit considérablement le temple d'Amon à Karnak, fit construire un temple élaboré pour le dieu de la guerre thébain Montou, rénova et agrandit Abydos et fit construire un complexe pyramidal à Dachour. Il fut également responsable de la construction d'un certain nombre de forts en Nubie et le long de la frontière sud de l'Égypte, qui régulaient l'immigration, contrôlaient, protègeaient et participaient au commerce, et servaient de dépôts de ravitaillement pour ses campagnes militaires dans ce pays.

Campagnes militaires

Tout comme le pharaon Thoutmôsis III (1458-1425 av. J.-C.), Sénousret III était surtout connu pour sa grande habileté militaire et sa succession de victoires, même si ses réalisations dans d'autres domaines sont plus importantes. Il étendit la frontière sud de l'Égypte en territoire nubien et le nord-est en Canaan par des engagements militaires directs, tandis que la frontière ouest vers la Libye est étendue par la négociation. Sa campagne en Canaan fut couronnée de succès, mais il ne profita jamais de sa victoire pour l'exploiter.

Il mena des campagnes en Nubie vers 1872, vers 1870, vers 1868, vers 1862 et vers 1860 avant notre ère et fut victorieux dans chacune d'entre elles, à l'exception de la dernière, qu'il fit avorter. La raison exacte pour laquelle la dernière expédition avait été jugée nécessaire n'est pas claire, mais Senousret III menait son armée vers la Nubie lorsqu'en atteignant le point de passage du Nil, il trouva le niveau de l'eau plus bas que prévu. Sa campagne reposait sur la capacité de ses navires à traverser et à revenir facilement, et reconnaissant que son armée pouvait être piégée en territoire hostile si le niveau du Nil baissait encore, il fit demi-tour et rentra chez lui. Bien que cette dernière campagne n'ait pas atteint ses objectifs, il ne s'agissait pas d'une défaite et la réputation d'invincibilité de Senousret III resta intacte.

Ces expéditions nubiennes furent les victoires qui donnèrent naissance à la légende du grand conquérant Sésostris rapportée dans les œuvres d'Hérodote et d'autres. L'égyptologue David P. Silverman écrit:

À la fin de l'Antiquité, les prêtres égyptiens racontaient aux visiteurs grecs et romains les fabuleux exploits d'un pharaon appelé "Sésostris". Ses conquêtes, disaient-ils, s'étendaient de l'Afrique profonde au Proche-Orient et même à la Scythie (sud-ouest de la Russie), qu'aucun conquérant ultérieur - pas même Darius Ier de Perse ou Alexandre le Grand - n'avait réussi à soumettre. Cette image de "Sésostris" est manifestement un amalgame de plusieurs pharaons-guerriers de l'histoire égyptienne. Cependant, on peut finalement le rattacher aux trois rois de la douzième dynastie appelés Senousret. (29)

Bien que Senousret I et Senousret II aient étendu les frontières de l'Égypte et établi des fortifications, ils ne se forgèrent pas la même réputation de grandeur que Senousret III. Comme nous l'avons vu, Senousret III fut divinisé de son vivant et reçut son propre culte, non seulement dans son propre pays, mais aussi dans ceux qu'il avait conquis. Bien que Senousret I et Senousret II aient participé à des campagnes en Nubie, ils n'étendirent jamais la frontière aussi loin que Senousret III, ce qui fait de lui la base historique la plus probable pour le fameux Sésostris.

Red Granite Offering Table of King Senusret III
Table d'offrande en granit rouge du roi Senousret III
Osama Shukir Muhammed Amin (Copyright)

Tout au long de son règne, il se concentra sur le sud, et sa stèle de victoire à Semna (en Nubie) déclare: "J'ai tracé ma frontière plus au sud que mes pères. J'ai ajouté à ce qui m'avait été légué. Je suis un roi qui parle et qui agit. Ce que mon cœur prévoit est fait par mon bras" (Lewis, 87). Ses quatre campagnes contre la Nubie ouvrirent les riches mines d'or à l'Égypte, ce qui contribua au prestige de l'Égypte en matière de commerce extérieur.

La frontière méridionale étant sécurisée, Senousret III fit agrandir un canal à Séhel pour faciliter le commerce entre la Nubie et l'Égypte, ce qui permit aux marchands voyageant par voie d'eau d'éviter les périls des rapides du Nil à la première cataracte. Le canal, ainsi que les forts érigés le long de la frontière et dans tout le nord de la Nubie, permirent aux deux pays de conclure des accords commerciaux mutuellement bénéfiques, qui se traduisirent tout naturellement par une diffusion culturelle.

Conclusion

Les Nubiens servirent dans l'armée égyptienne en tant que mercenaires, comme noyau des forces de police égyptiennes et comme gardes pour les expéditions commerciales royales et non royales. Bien que les inscriptions officielles égyptiennes dépeignent régulièrement les Nubiens, comme tous les non-Égyptiens, en termes négatifs, ils faisaient en réalité partie intégrante de la vie égyptienne et admiraient la culture égyptienne.

La preuve la plus évidente en est la vénération du dieu Amon en Nubie et la construction de temples et de bâtiments sur le modèle de l'architecture égyptienne. Le culte d'Amon en Égypte fut le plus puissant et le plus riche tout au long de l'histoire du pays. Depuis l'Ancien Empire, les rois égyptiens avaient lutté contre ce culte particulier qui, parfois, était plus puissant que la couronne. L'un des aspects les plus intéressants du règne de Senousret III est son soutien au culte d'Amon. Au lieu de tolérer ou de résister à leur influence, il travailla avec eux et soutint leurs efforts à Thèbes.

Son soutien au culte favorisa une relation harmonieuse entre le roi et les prêtres, ce qui se traduisit par de plus grands bénéfices pour les deux parties et pour le pays dans son ensemble. En outre, le respect des Nubiens pour Sénousret III les conduisit naturellement à vénérer davantage son dieu, ce qui favorisa l'harmonie religieuse entre les deux pays.

Bien que de nombreux grands rois aient honoré et adhéré au concept de maât tout au long de l'histoire de l'Égypte, peu d'entre eux illustrèrent ce principe d'équilibre divin aussi fidèlement que Sénousret III. Les pharaons du Nouvel Empire d'Égypte imitèrent son règne et, des siècles après sa mort, il était encore prié et vénéré comme un représentant divin des meilleurs cadeaux que les dieux avaient offerts au peuple égyptien.

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Traducteur

Babeth Étiève-Cartwright
Babeth s'est consacrée à la traduction après avoir enseigné l'anglais au British Council de Milan. Elle parle couramment le français, l'anglais et l'italien et a 25 ans d'expérience dans le domaine de l'éducation. Elle aime voyager et découvrir l'histoire et le patrimoine d'autres cultures.

Auteur

Joshua J. Mark
Auteur indépendant et ex-Professeur de Philosophie à temps partiel au Marist College de New York, Joshua J. Mark a vécu en Grèce et en Allemagne, et a voyagé à travers l'Égypte. Il a enseigné l'histoire, l'écriture, la littérature et la philosophie au niveau universitaire.

Citer cette ressource

Style APA

Mark, J. J. (2017, juillet 26). Senousret III [Senusret III]. (B. Étiève-Cartwright, Traducteur). World History Encyclopedia. Extrait de https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-14232/senousret-iii/

Style Chicago

Mark, Joshua J.. "Senousret III." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. modifié le juillet 26, 2017. https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-14232/senousret-iii/.

Style MLA

Mark, Joshua J.. "Senousret III." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. World History Encyclopedia, 26 juil. 2017. Web. 20 oct. 2024.

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