Dix Commandements

Définition

Rebecca Denova
de , traduit par Babeth Étiève-Cartwright
publié le 13 juillet 2021
Disponible dans ces autres langues: anglais, arabe, espagnol
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Moses Receives the 10 Commandments (by Gebhard Fugel, Public Domain)
Moïse Reçoit les 10 Commandements, Gebhard Fugel
Gebhard Fugel (Public Domain)

Les dix commandements introduisent la législation reçue par Moïse sur le mont Sinaï après que les Israélites se soient évadés d'Égypte (comme le rapporte le livre biblique de l'Exode). Les «dix commandements» sont souvent utilisés comme raccourcis pour les règles de base qui régissent le culte du Dieu d'Israël ainsi que les principes éthiques qui régissent les relations humaines. Les commandements restent au cœur des confessions abrahamiques de la tradition occidentale, du judaïsme, du christianisme et de l'islam.

Ce que Moïse reçut sur le mont Sinaï (ou sur le mont Horeb dans d'autres textes) était essentiellement la constitution de la nation d'Israël. Cela comprenait des éléments qui les distingueraient des autres nations :

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  • une forme distincte de culte où les sacrifices devaient être seulement offerts au Dieu d'Israël
  • des lois alimentaires distinctes (Lévitique 11)
  • des codes d'inceste distincts (Lévitique 18)
  • une apparence physique distincte, celle de la circoncision
  • un jour consacré à Dieu, le sabbat

Les dix commandements furent également étendus aux détails relatifs à l'établissement de la prêtrise (sous le frère de Moïse, Aaron), aux différents types de sacrifices, aux lois relatives à l'indemnisation des dommages et aux problèmes de pureté et d'impureté pour le futur temple de Jérusalem. Tout ce matériel se trouve dans le reste des livres bibliques qui constituent la Torah, ou les enseignements de Moïse, le Lévitique, les Nombres et le Deutéronome. Les dix commandements sont uniques en affirmant qu'ils furent «écrits du doigt de Dieu» sur deux tablettes de pierre, puis placés dans l'Arche de l'Alliance (Exode 31:18 ; Deutéronome 10:2-5).

Selon la tradition, l'Arche de l'Alliance devint le sanctuaire de tentes portatives tout au long des années dans le désert et la formation de terres tribales à Canaan. Lorsque Salomon construisit le Temple à Jérusalem, l'Arche et son contenu furent placés au centre, dans le «saint des saints».

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Les dix commandements

  1. Je suis l'Éternel, ton Dieu, qui t'ai fait sortir du pays d'Égypte, de la maison de servitude. Tu n'auras pas d'autres dieux devant ma face.

  2. Tu ne te feras point d'image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre. Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point; car moi, l'Éternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui punis l'iniquité des pères sur les enfants jusqu'à la troisième et la quatrième génération de ceux qui me haïssent, et qui fais miséricorde jusqu'en mille générations à ceux qui m'aiment et qui gardent mes commandements.

  3. Tu ne prendras point le nom de l'Éternel, ton Dieu, en vain; car l'Éternel ne laissera point impuni celui qui prendra son nom en vain.

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  4. Souviens-toi du jour du repos, pour le sanctifier. Tu travailleras six jours, et tu feras tout ton ouvrage. Mais le septième jour est le jour du repos de l'Éternel, ton Dieu: tu ne feras aucun ouvrage, ni toi, ni ton fils, ni ta fille, ni ton serviteur, ni ta servante, ni ton bétail, ni l'étranger qui est dans tes portes. Car en six jours l'Éternel a fait les cieux, la terre et la mer, et tout ce qui y est contenu, et il s'est reposé le septième jour: c'est pourquoi l'Éternel a béni le jour du repos et l'a sanctifié.

  5. Honore ton père et ta mère, afin que tes jours se prolongent dans le pays que l'Éternel, ton Dieu, te donne.

  6. Tu ne tueras point.

  7. Tu ne commettras point d'adultère.

  8. Tu ne déroberas point.

  9. Tu ne porteras point de faux témoignage contre ton prochain.

  10. Tu ne convoiteras point la maison de ton prochain; tu ne convoiteras point la femme de ton prochain, ni son serviteur, ni sa servante, ni son boeuf, ni son âne, ni aucune chose qui appartienne à ton prochain.

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    (Exode 20 : 2-17, Louis Segond)

En hébreu, les dix sont raccourcis à de simples commandes négatives: «ne tuez pas», «ne commettez pas d'adultère», etc. Dans la version grecque des Écritures hébraïques (la Septante), on les appelle le Décalogue, ou «dix mots». En termes d'iconographie, les dix commandements sont représentés en chiffres hébraïques ou romains ultérieurs.

Détails des dix commandements

Le premier commandement - «Tu n'auras pas d'autres dieux devant ma face» - est devenu la base du concept moderne du monothéisme, la croyance en un seul Dieu. Cependant, ce concept n'existait pas dans le judaïsme ancien; le Dieu d'Israël avait créé les dieux des nations et avait reconnu leur existence. Ce commandement aborde la question du culte. Le «culte» dans le monde antique faisait toujours référence à des sacrifices, pas à la croyance. Ce commandement ordonne aux Israélites d'offrir des sacrifices seulement au Dieu d'Israël.

L'abus du nom de Dieu ne fait pas référence AU JURON au sens commun du terme, mais à l'ancienne pratique consistant à prêter serment au nom de son dieu.

Le deuxième commandement contre les «images» reflète une polémique juive contre les autres nations et leur pléthore de statues jugées inutiles par rapport au salut de Dieu. Cette commande pose cependant problème. Les témoignages oculaires du Temple de Jérusalem affirment que le rideau qui divisait le saint des saints présentait des images des douze symboles du zodiaque. Le commandement peut refléter la même interdiction que le premier; aucun sacrifice n'est donné aux images des autres dieux.

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L'abus du nom de Dieu «Tu ne prendras point le nom de l'Éternel, ton Dieu, en vain» ne fait pas référence aux jurons dans le sens commun du terme (comme dans « Bon dieu! ») , mais dans l'ancienne pratique consistant à prêter serment au nom de son dieu. Un tel serment qui faisait appel au divin en tant que témoin était inviolable.

Respecter le sabbat en s'abstenant de travailler reflète l'histoire de la création dans la Genèse. Plus de détails furent ajoutés à cela dans les Écritures, car le texte original ne définissait pas le terme «travail». Le «septième jour» était le sabbat des Juifs; les chrétiens ont conservé l'idée mais l'ont déplacée vers le dimanche en reconnaissance du jour où Jésus ressuscita d'entre les morts.

Le sixième commandement - «Tu ne tueras point» - a fait l'objet de nombreux débats parmi les savants et les théologiens. Le dictat est-il uniquement contre le meurtre intentionnel d'un autre ou s'applique-t-il à la guerre? Au cours des siècles, des centaines de guerres furent commises au nom de Dieu. Les pacifistes citent traditionnellement ce commandement dans leur vision pacifiste.

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Le commandement contre l'adultère était d'une importance cruciale. Dans un monde sans tests ADN, la paternité devait être assurée pour garder les lignées intactes. L'adultère signifiait la violation des biens d'un autre homme, et les deux partenaires étaient condamnés à mort.

Le commandement contre les faux témoignages était important parce qu'un faux témoin pouvait causer du tort d'autrui. Il s'est finalement introduit dans notre système de justice, raison pour laquelle le témoignage des témoins devant les tribunaux américains était fait en jurant sur la Bible. Cette ligne a maintenant été supprimée, mais lorsque les témoins disent: «Je jure de dire la vérité», tout le monde sait qu'ils jurent sous les auspices de ce commandement.

«Convoiter», encore une fois, conduit à des actions néfastes contre votre voisin et la femme de votre voisin.

L'alliance mosaïque au mont Sinaï

Les dix commandements constituent le concept de base de ce que l'on appelle «l'alliance mosaïque». Une «alliance» signifie simplement un contrat, compris comme un traité entre un peuple et son (ou ses) dieu(x). L'alliance avec Moïse reflète d'autres traités anciens, tels que ceux des cultures hittites et mésopotamiennes. Les termes du traité promettent une protection contre le ou les dieux si le groupe honore la ou les divinités par obéissance et offrandes. Le célèbre Code de Hammurabi et la stèle le représentent alors qu'il reçoit les lois et codes sociaux (et les punitions applicables) de la part du dieu soleil Shamash qui était aussi le dieu de la justice (1792-1750 av. JC).

Hammurabi and Shamash
Hammurabi et Shamash
Mbzt (CC BY-SA)

Ces alliances suivent un schéma:

  1. Une histoire qui décrit le contexte historique qui mena à un traité
  2. Détails spécifiques des ordonnances et des rituels requis
  3. Lire le texte ou annoncer publiquement ses détails au groupe
  4. Une liste de bénédictions pour l'obéissance suivie de malédictions ou de violences lorsque le traité est rompu. En ce sens, un «péché» était défini comme une violation des commandements d'un dieu.

Tous ces détails se trouvent dans les livres qui suivent l'Exode. Techniquement parlant, Moïse reçut 613 commandements au total.

Apodictique et Jurisprudence

Dans les listes bibliques des commandements, les dix premiers sont séparés des autres. À l'origine, ce n'était pas parce qu'ils étaient considérés comme les plus importants. Les dix commandements se distinguent de tous les autres, par un terme appelé «loi apodictique». Les lois apodictiques sont considérées comme absolues. Notez que les dix premiers ne sont pas suivis d'une forme de punition. Il n'y a pas de punition pour ce qui se passera si l'un d'entre eux est brisé. Dans d'autres livres de la Bible, il y a des références à une forme de punition comme l'exil de la terre d'Israël.

Bon nombre de ces passages concernent l'éventuel peuplement dans le pays de Canaan et les admonitions pour garder la terre sacrée. Il était implicite dans les dix premiers que ces violations entraîneraient l'expulsion par Dieu des Israélites de la terre sous forme d'exil. Ainsi, les livres des Prophètes expliquent les catastrophes de la conquête assyrienne (722 av. JC) et de la conquête babylonienne (587 av. JC) comme la punition de Dieu contre le péché d'idolâtrie dans le pays.

Moses on Mount Sinai
Moïse au Mont Sinaï
Jean-Léon Gérôme (Public Domain)

Les 603 commandements restants sont connus sous le nom de jurisprudence. Ils sont généralement introduits par «S'il s'avère que...», suivi d'une violation intentionnelle ou non intentionnelle. Ils pouvaient être réparés ou expiés. En ce sens, l'expiation signifiait qu'elle couvrait ou annulait tout dommage. Dans la jurisprudence, des rituels et des sacrifices spécifiques étaient prévus pour chaque type de violation.

Chronologie

La Loi de Moïse n'est ni éliminée ni remplacée par Jésus; le Jésus de Matthieu intensifie les commandements.

Les chercheurs débattent de la chronologie exacte de l'histoire des Dix Commandements. Les Écritures juives contiennent de nombreuses sources différentes combinées à des traditions orales souvent éditées au fil du temps. La tradition retrace l'histoire de l'Exode vers 1300 av. JC, coïncidant avec la montée du Nouvel Empire en Égypte. Mais il existe des théories selon lesquelles la codification des Dix Commandements ne fut insérée que vers 600 av. JC lorsque les livres de la Bible furent probablement écrits pour la première fois. La dernière édition des cinq premiers livres eut lieu pendant la période de l'exil babylonien (587-539 av. JC).

Philon d'Alexandrie (20 av. JC - 50 après JC) était un philosophe juif qui rédigea plusieurs traités sur la signification du droit juif pour le public grec. Il expliqua que les dix commandements englobaient toutes les lois juives par leurs implications. Par exemple, l'adultère était interdit parce qu'il contribuait à un comportement indécent. L'interdiction de meurtre comprenait l'attitude générale et le manque de respect envers son voisin (Decalogue, 168).

Les dix commandements du christianisme précoce

L'explication la plus complète des dix commandements se trouve dans le «Sermon sur la montagne» de Matthieu (Matthieu 5). En dépeignant Jésus comme le nouveau Moïse, Matthieu inclut une section importante sur la loi mosaïque. Dans ce passage, la Loi de Moïse n'est ni éliminée ni remplacée par Jésus; le Jésus de Matthieu intensifie les commandements:

Vous avez entendu qu'il a été dit aux anciens: Tu ne tueras point; celui qui tuera mérite d'être puni par les juges. Mais moi, je vous dis que quiconque se met en colère contre son frère mérite d'être puni par les juges; ... Vous avez appris qu'il a été dit: Tu ne commettras point d'adultère. Mais moi, je vous dis que quiconque regarde une femme pour la convoiter a déjà commis un adultère avec elle dans son coeur.

(Matthieu 5 : 21-28, Louis Segond)

Dans un contexte historique, Matthieu exhorte sa communauté: «Soyez donc parfaits, comme votre Père céleste est parfait». (Matthieu 5:48, Louis Segond)

Christ and the Twelve Apostles by Fra Angelico
Le Christ et les Douze Apôtres, par Fra Angelico
Frans Vandewalle (CC BY-NC)

Alors que le mouvement chrétien commença à attirer davantage de Gentils (non-Juifs), Luc dans Actes 15 (et Paul dans Galates 2) relatèrent une réunion tenue à Jérusalem sur la question de savoir si les Gentils devaient d'abord se convertir au judaïsme. Jacques, le frère de Jésus, décida que les Gentils n'avaient pas à adopter les marqueurs d'identité ethnique des Juifs (circoncision, lois alimentaires et observance du sabbat), mais «mais qu'on leur écrive de s'abstenir des souillures des idoles, de l'impudicité, des animaux étouffés et du sang.» (Actes 15:20).

Dans toutes les communautés de Paul, l'interdiction de l'idolâtrie était confirmée. Dans la lettre de Paul aux Romains :

Ne devez rien à personne, si ce n'est de vous aimer les uns les autres; car celui qui aime les autres a accompli la loi. En effet, les commandements: Tu ne commettras point d'adultère, tu ne tueras point, tu ne déroberas point, tu ne convoiteras point, et ceux qu'il peut encore y avoir, se résument dans cette parole: Tu aimeras ton prochain comme toi-même. L'amour ne fait point de mal au prochain: l'amour est donc l'accomplissement de la loi.

(Romains 13 : 8-10)

Les lois Noahides

Les dix commandements furent donnés au peuple juif. Cependant, pendant la formation de ce qui est devenu le judaïsme rabbinique (IIe siècle avant notre ère), certains commandements furent désignés comme universels. La base biblique dérivait de l'histoire de Noé dans la Genèse, avec une affirmation selon laquelle l'alliance avec Noé était adressée à tous les fils de Noé. Voici la liste des nations trouvées dans Genèse 10.

Seulement, vous ne mangerez point de chair avec son âme, avec son sang. Sachez-le aussi, je redemanderai le sang de vos âmes, je le redemanderai à tout animal; et je redemanderai l'âme de l'homme à l'homme, à l'homme qui est son frère.

(Genèse 9 : 4-5, Louis Segond)

Comme indiqué dans le talmud babylonien ultérieur (Sanhédrin 59a), les Gentils sont enjoints:

  • De cesser toute idolâtrie
  • De ne jamais maudit Dieu
  • De ne pas commettre de meurtre
  • De ne pas commettre d'adultère, de bestialité ou d'immoralité sexuelle
  • De ne pas voler
  • De ne pas manger de chair arrachée à un animal en vie
  • De créer des cours de justice

Les admonitions sont liées à la façon dont les Gentils pourraient «avoir une place dans le monde à venir» (Olam ha-ba), institution du royaume de Dieu sur terre. Dans le langage moderne, le terme «Gentils justes» est appliqué. Dans le judaïsme contemporain, les dix commandements sont récités dans les synagogues trois fois par an et sont alignés sur les lectures spécifiques de la Torah de l'Exode et du Deutéronome, selon la fête.

Le christianisme au IIe siècle de notre ère

Au IIe siècle de notre ère, les dirigeants chrétiens n'avaient plus de liens avec le judaïsme ethnique, mais étaient des convertis Gentils. Cependant, ils conservaient la tradition juive sous la forme du culte du Dieu d'Israël et de l'utilisation des Écritures juives pour formuler ce qui devint une religion indépendante.

Moses Recieves the Law
Moïse reçoit la loi
Fr Lawrence Lew, O.P. (CC BY-NC-ND)

La Lettre non canonique de Barnabas affirmait que les chrétiens avaient maintenant la seule interprétation correcte des commandements de Dieu. Citant l'Exode, ce texte rapporte que lorsque Moïse rapporta les tablettes de pierre, il n'y avait à l'origine que les dix premiers. Trouvant les Israélites en plaine idolâtrie, il les fracassa et les jeta au sol, créant un tremblement de terre pour avaler les pécheurs. Quand il est retourna pour aller en chercher d'autres, c'est là que Dieu ajouta 603 autres commandements, en guise de punition pour les Juifs. Le christianisme enseigne maintenant que les chrétiens n'avaient qu'à obéir aux dix premiers, car ils étaient universels pour toute l'humanité et reflétaient l'intention initiale de Dieu (Barnabas, ch. XXXIII).

Les dix commandements de l'Islam

Lorsque le prophète Mahomet (570-632) émit les commandements de l'islam, les dix commandements restèrent au cœur du culte de Dieu et des relations communautaires. L'interdiction d'idolâtrie était centrale, tandis que certains autres comportaient des abus plus récents. Par exemple, le commandement «Ne tuez pas» comprenait «Ne tuez pas vos enfants par peur de la pauvreté» (Coran, Sourates 22-36).

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Bibliographie

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Traducteur

Babeth Étiève-Cartwright
Babeth s'est consacrée à la traduction après avoir enseigné l'anglais au British Council de Milan. Elle parle couramment le français, l'anglais et l'italien et a 25 ans d'expérience dans le domaine de l'éducation. Elle aime voyager et découvrir l'histoire et le patrimoine d'autres cultures.

Auteur

Rebecca Denova
Rebecca I. Denova, Ph. D., est Professeur émérite de Christianisme Primitif au Département d'Études Religieuses de l'Université de Pittsburgh. Elle a récemment publié un ouvrage, "The Origins of Christianity and the New Testament" (Wiley-Blackwell).

Citer cette ressource

Style APA

Denova, R. (2021, juillet 13). Dix Commandements [Ten Commandments]. (B. Étiève-Cartwright, Traducteur). World History Encyclopedia. Extrait de https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-15268/dix-commandements/

Style Chicago

Denova, Rebecca. "Dix Commandements." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. modifié le juillet 13, 2021. https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-15268/dix-commandements/.

Style MLA

Denova, Rebecca. "Dix Commandements." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. World History Encyclopedia, 13 juil. 2021. Web. 20 nov. 2024.

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