Bateaux Vikings

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Définition

Emma Groeneveld
de , traduit par Babeth Étiève-Cartwright
publié le 07 février 2018
Disponible dans ces autres langues: anglais, espagnol
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Gokstad Viking Ship (by Karamell, CC BY-SA)
Bateau viking de Gokstad
Karamell (CC BY-SA)

Les navires vikings furent construits par les Scandinaves au cours de l'ère viking (vers 790 - 1100 ) et furent utilisés à la fois en Scandinavie et au-delà pour des raisons allant du principal moyen de transport au commerce et à la guerre. L'expansion viking n'aurait d'ailleurs pas été possible sans les navires. L'une des images les plus célèbres liées aux Vikings est celle des drakkars à tête de dragon, dont les voiles rayées de rouge et de blanc leur conféraient une vitesse mortelle et transportaient leurs guerriers assoiffés de sang vers leurs destinations de pillage. Cependant, les navires vikings se présentaient sous de nombreuses formes différentes, dont les cargos à gros ventre et, bien sûr, les drakkars rapides qui facilitaient les raids et donnaient aux Vikings un avantage sur leurs contemporains, mais qui n'avaient pas toujours, loin s'en faut, les têtes de dragon finement sculptées qui font partie intégrante de l'imaginaire populaire. Malheureusement, les archives archéologiques dressent un tableau plutôt disparate, car le bois n'est pas assez robuste pour résister à l'épreuve du temps, et nos connaissances sur les premiers navires de l'ère viking proviennent presque exclusivement d'un petit nombre de bateaux funéraires, bien que plus tard dans l'ère viking, des navires coulés réapparaissent pour élargir un peu nos connaissances.

Origines et construction du navire viking classique

Étant donné qu'en Scandinavie, il est impossible de se déplacer très loin sans que le voyage soit brutalement interrompu par des rivières, des lacs, des fjords, divers détroits et la haute mer, les Scandinaves ont très tôt trouvé la bonne solution. Les représentations de navires en pierre (dans les sépultures) et en métal datent d'environ 4000 à 2300 avant notre ère, ce qui correspond à l'utilisation de canots de guerre en bois à l'âge du bronze.

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C'est l'ajout de voiles qui transforma les navires vikings en engins rapides et mortels qui devinrent essentiels à leurs stratégies de raids.

Le plus ancien navire construit en planches est le canoë de guerre Hjortspring, long de 19 mètres et large de 2 mètres, découvert dans le sud-ouest du Danemark et qui date d'environ 350 avant notre ère. L'autre grande découverte est celle des navires de Nydam - trois bateaux conservés dans un dépôt sacrificiel au Danemark, dont le plus grand mesurait environ 23,5 mètres de long et 3,5 mètres de large - qui datent d'environ 350 de notre ère. Ils utilisaient des avirons à la place des pagaies et présentaient déjà la technique du bordage à clin dans laquelle les planches de la coque se chevauchent ; ces deux caractéristiques furent reprises à l'époque viking. Bien qu'avant l'ère viking, les planches de la plupart des bateaux étaient attachées les unes aux autres, les rivets en fer commencèrent à être utilisés par certains pionniers de la construction navale dès le IIIe siècle de notre ère - un autre élément qui allait devenir central pour les navires vikings.

À l'époque des Vikings, l'idée de produire un objet qui ne coulerait pas à la moindre vague avait déjà pris forme depuis longtemps. Les constructeurs de navires vikings créèrent des coques étanches en posant d'abord la quille et les tiges, puis en construisant une à une des planches superposées et rivetées à leurs voisines (la technique du bordage à clin). Cette forme était ensuite stabilisée par des nervures insérées à l'intérieur du bordé ; cette méthode de construction robuste fut la méthode universelle de construction des navires dans toute l'Europe du Nord jusqu'à la fin du Moyen Âge.

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D'autres caractéristiques et leurs effets sont décrits par W. W. Fitzhugh :

L'ajout de rames et de voiles a donné aux bateaux vikings un avantage sur toutes les autres embarcations de l'époque en termes de vitesse, de faible tirant d'eau, de poids, de capacité, de manœuvrabilité et de navigabilité. Les bateaux vikings étaient conçus pour être traînés sur de longs portages et pour résister à de violentes tempêtes océaniques. Ces navires permettaient aux Vikings de faire du commerce, de faire la guerre, de transporter des animaux et de traverser de vastes océans, tout en offrant une protection et une sécurité suffisantes à l'équipage. (Fitzhugh, 15).

Les voiles - sans lesquelles l'exploration de la mer par les Vikings aurait été beaucoup plus difficile - étaient en fait un élément plutôt nouveau qui ne (ré)apparut en Scandinavie que vers la fin du VIIe siècle, probablement à la suite de l'intensification des contacts commerciaux avec l'Europe du Nord, où les voiles étaient très à la mode. C'est l'ajout de voiles qui fit des navires vikings les engins rapides et mortels qui devinrent essentiels à leurs stratégies de raids.

Oseberg Viking Ship
Le bateau viking d'Oseberg
Vassia Atanassova - Spiritia (CC BY-SA)

L'accès à une quantité suffisante de bois solide pour répondre à la forte demande de navires des Vikings n'était heureusement pas un problème dans la Scandinavie couverte de forêts, bien que le chêne - le premier choix - ne poussait pas dans les régions du nord où le pin était utilisé à la place. En l'absence de scies dans le nord de l'Europe jusqu'au 13e siècle, les artisans scandinaves fabriquaient des planches en fendant des troncs d'arbre dont la forme différait selon l'endroit où elles devaient être utilisées dans le navire ; les planches de plancher étaient profondes et étroites vers la quille, mais larges et plates vers les sommets où une plus grande flexibilité était nécessaire. Le fer, utilisé à la fois pour les outils et pour les fixations telles que les rivets, était également si facile à trouver que même les fermiers les plus aisés pouvaient se procurer suffisamment de matériaux et de main-d'œuvre pour construire eux-mêmes un navire.

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Premiers types de navires vikings

Les raids vikings ayant débuté juste avant l'an 800, nous savons évidemment que les Scandinaves étaient alors capables de produire des navires à voile en état de naviguer. Le problème est que la plupart des navires datant de ce début de l'ère viking semblent aujourd'hui décorer le fond des océans ou sont décomposés au point d'être méconnaissables. Ainsi, en termes de vestiges tangibles, notre image des navires vikings est visuellement régie par les riches navires-sépultures contenant les navires Oseberg (vers 834), Gokstad, et Tune (tous deux vers 900) découverts dans le fjord d'Oslo en Norvège.

Le navire Oseberg est le plus ancien navire à voile scandinave conservé. Il mesure 21,5 mètres de long, 5,1 mètres de large et peut accueillir 15 paires de rames ; il est plus large (et plus profond aussi) que le mince navire Nydam et que les minces drakkars qui apparaîtront vers la fin du 10e siècle. Magnifiquement décoré de sculptures en bois, l'Oseberg était probablement associé aux hautes sphères de la société et, bien qu'il ait été en état de naviguer et possédait toutes les caractéristiques principales des navires vikings, il n'était pas encore aussi performant que les navires ultérieurs. Le Gokstad, déjà beaucoup plus apte à la navigation, était un peu plus grand et beaucoup plus profond, et possédait également des rames ; les voiliers bénéficiaient également de la conservation de l'appui des rames. Ces deux navires semblent avoir été assez robustes et polyvalents, pouvant être utilisés à la fois pour la guerre et pour le transport (ils pourraient correspondre au type de navire kjóll). Le navire Tune était une sorte de version réduite du Gokstad, avec un objectif similaire.

Oseberg Animal Head
Tête d'animal d'Oseberg
Mike Fay (CC BY)

Cependant, des navires de guerre plus spécialisés existaient également à cette époque, le terme knarr (ou knǫrr, pluriel knerrir) semblant désigner des navires de guerre précoces aux extrémités recourbées vers l'arrière. Des découvertes telles que le petit navire de guerre de Ladby, au Danemark, trouvé dans une sépulture datée d'environ 925, qui est plus bas, plus mince et plus rapide que les navires d'Oseberg et de Gokstad, montrent qu'à la fin du IXe siècle, la spécialisation était déjà en cours dans toute la Scandinavie. Le but principal du navire de guerre n'était pas de livrer des batailles navales (bien que celles-ci aient eu lieu de temps en temps) mais plutôt de naviguer dans des eaux abritées pour transporter son redoutable équipage de guerriers vers un point d'intérêt, les déposer et les reprendre rapidement avec leur butin le moment venu. En revanche, les navires polyvalents au ventre plus imposant étaient capables de naviguer en eaux libres et de transporter aussi bien des personnes - guerriers ou non - que des marchandises.

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Une augmentation visible de la spécialisation

Les cargos spécialisés n'apparaissent pas dans nos archives (ce qui ne veut pas dire qu'ils n'existaient pas auparavant !) avant le 10e siècle, c'est-à-dire au moment où les navires de guerre deviennent plus longs et plus minces au point de pouvoir être qualifiés de langskips et commencent à apparaître plus fréquemment qu'auparavant. La terminologie du vieux norrois se spécialise ici aussi, le knarr étant désormais attaché aux nouveaux cargos (dont les extrémités s'incurvaient également vers l'arrière, ce qui explique pourquoi le terme pouvait être repris), tandis que les drakkars étaient potentiellement appelés skeiðar (sing. skeið) s'ils étaient extrêmement longs, les navires serpent ou drakkar lorsque des têtes de dragon étaient présentes, et snekke/snekkja lorsqu'ils étaient légèrement plus petits.

SUR LES LONGUES DISTANCES, LES VIKINGS ESSAYAIENT DE passer d'île en île OU DE SE METTRE À PORTÉE DE VUE DE POINTS DE REPÈRE CONNUS, ET SE FIAIENT AU SOLEIL ET AUX ÉTOILES, AUX VAGUES ET AU VENT, AUX NUAGES ET AUX ANIMAUX.

Généralement considérés comme l'un des points les plus importants du progrès de la construction navale à la fin de l'ère viking, les navires de charge reposaient en grande partie sur la voile et pouvaient être pilotés par un équipage réduit tout en ayant une grande capacité de transport. Les navires Hedeby, par exemple, datés d'environ 1025, pouvaient contenir jusqu'à 60 tonnes de marchandises. Les drakkars, quant à eux, utilisaient à la fois des rames et des voiles pour atteindre les vitesses effrayantes qui étaient si importantes pour les tactiques de raid des Vikings. Ils étaient également plus étroits que la plupart des navires du début de l'ère viking ; le musée des navires vikings de Roskilde, au Danemark, affirme que, d'un point de vue archéologique, les navires doivent être au moins cinq fois plus longs que larges pour être considérés comme des drakkars. Le plus long navire connu, portant le nom de Roskilde 6, date d'après 1025 et, avec sa longueur stupéfiante de 36 mètres, il contribue à illustrer le fait que les navires étaient de plus en plus longs à la fin de l'ère viking. Outre ces deux sous-types, qui sont restés en usage pendant tout le reste de l'ère viking, de nombreux éléments indiquent qu'une multitude de bateaux différents et plus petits encombraient également les voies navigables scandinaves.

Les deux types de bateaux reflètent les changements intervenus dans la société scandinave au cours du 10e siècle. Les royaumes s'étendaient et le pouvoir des rois et des chefs augmentait. En raison de l'abondance de l'eau et des voies navigables, le pouvoir politique était inextricablement lié à la puissance maritime, d'où l'utilité des drakkars. Dans le même temps, les villes se développèrent à partir des centres de commerce antérieurs, absorbant des marchandises de plus en plus nombreuses qui devaient toutes être transportées de manière rentable, non seulement près de chez soi mais aussi vers les territoires vikings de l'Atlantique Nord, comme l'Écosse et l'Islande. Les gens, le bétail et les fournitures utiles n'allaient évidemment pas parcourir ces distances à la nage ; les cargos spécialisés traversant la haute mer étaient manifestement très utiles à cet égard.

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Viking Longship Replica
Réplique de Drakkar Viking
Emma Groeneveld (CC BY)

Navigation

Les navires vikings étant prêts à parcourir n'importe quelle distance, il était évidemment utile que leur équipage sache où aller. En restant près de la côte, la navigation n'était généralement pas un problème, car des explications mettant en évidence des points de repère tels que des falaises aux formes amusantes et la distance entre certains points suffisaient généralement. Les Vikings mettaient souvent en valeur ces éléments en y plaçant des cairns de pierre. Les voyages sur l'Atlantique, où l'on pouvait naviguer pendant des jours sans apercevoir de terre, étaient toutefois une toute autre affaire.

La boussole, la carte marine ou les journaux de bord ne semblent pas avoir été connus ou utilisés dans la navigation viking. Au lieu de cela, il semble que, sur ces longues distances, les Vikings essayaient de sauter d'île en île ou au moins de se mettre à portée de vue d'îles connues servant de points de repère, tandis que la connaissance du soleil et des étoiles, des vagues et des vents courants, de la façon dont les nuages se comportaient au-dessus de la terre et de l'apparence des oiseaux et des mammifères marins les aidait. Toutefois, le ciel nordique était trop clair en été pour que les étoiles soient visibles, et le soleil n'était évidemment pas un ami fiable non plus: le brouillard pouvait désorienter les navires en mer. Une expérience de première main sur les routes empruntées par les Vikings était évidemment précieuse ; on ne peut qu'imaginer l'incertitude à laquelle un équipage viking devait faire face lors de ses premiers voyages d'exploration. Le féroce Erik le Rouge, par exemple, qui allait coloniser le Groenland, perdit plus de la moitié de ses navires lors de son premier voyage, et les autres furent repoussés vers l'Islande ou firent carrément naufrage.

Les routes vikings utiles étaient, par exemple, celle du Danemark vers la Méditerranée, entièrement côtière ; celle du nord du Danemark vers l'Angleterre, qui prenait deux ou trois jours ; celle de l'ouest de la Norvège vers l'Écosse ou la mer d'Irlande, probablement via les îles Shetland et Orkney, avec seulement quelques tronçons de mer ouverte ; et les véritables routes de longue distance, en haute mer, de la Norvège ou de l'Irlande vers l'Islande et le Groenland. Le manuscrit islandais Hauksbók du début du XIVe siècle - qui contient également des versions de documents plus anciens - contient des instructions sur la manière de se rendre de la Norvège au Groenland et nous donne une bonne idée du type de techniques et d'expériences auxquelles les marins vikings avaient accès ; l'accent est mis sur une description très détaillée qui adapte la manière dont les points de repère aident à la navigation côtière pour l'utiliser en haute mer.

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Scandinavian Stone Ship Burial
Enterrement d'un navire en pierre scandinave
Achird (CC BY-SA)

Place dans la société

Les navires étaient clairement un élément central de la société scandinave dans son ensemble, car dans un paysage où les voies navigables sont si nombreuses, les navires étaient utilisés à tous les échelons de la société, y compris les plus élevés ; les souverains vikings dépendaient fortement des navires pour atteindre (et donc exercer un contrôle sur) tous les coins et recoins du littoral ou des rivières de leurs territoires. Ces mêmes voies navigables offraient en outre un moyen beaucoup plus pratique de transporter des marchandises et facilitaient une communication plus rapide que par voie terrestre, y compris sur de plus longues distances vers les colonies d'outre-mer.

Sur le plan culturel, les navires scandinaves ont franchi la barrière de l'histoire pour souligner leur importance grâce aux nombreuses navires-sépultures qui ont été mis au jour dans toute la Scandinavie, même avant l'ère viking. Les formes les plus simples étaient des tombes marquées par des pierres disposées en forme de bateau, mais, plus spectaculairement, de véritables bateaux étaient parfois enfoncés dans les tumulus. Imaginez une tranchée avec un navire à l'intérieur, recouvert d'un monticule, avec généralement au moins un corps humain enterré à l'intérieur, généralement dans une petite chambre au milieu du navire ou allongé sur le pont. Les morts étaient accompagnés d'une grande variété d'objets funéraires et d'objets personnels qui variaient beaucoup d'une région à l'autre, et les sacrifices d'animaux étaient également courants. La sépulture du navire d'Oseberg - la plus riche tombe viking jamais découverte - contenait par exemple jusqu'à 20 chevaux décapités aux côtés de ses occupants humains : une noble et (probablement) sa servante. Parfois, les vaisseaux étaient brûlés. Les enterrements de navires vikings, en particulier, semblent être liés à de macabres sacrifices humains, comme en témoignent les nombreuses tombes -navires contenant des personnes délibérément tuées (comme en témoignent leur décapitation, leur poignardage, leur cou brisé, etc).

Bien sûr, l'expansion et l'influence des Vikings à l'étranger n'auraient jamais été possibles sans des navires technologiquement solides. Rien qu'en termes d'exploration et de colonisation, leurs navires ont permis aux Vikings d'atteindre et de s'installer dans les îles britanniques, en Islande, au Groenland, en passant par la Méditerranée, et même jusqu'à Terre-Neuve en Amérique du Nord ("Vinland"). Grâce à la vitesse et à l'agilité de leurs navires, leurs tactiques d'attaque rapide ont fait mouche, jouant ainsi un rôle clé dans la guerre également - l'option des rames et leur faible tirant d'eau permettant aux navires de déposer leur équipage pratiquement n'importe où, même à proximité de cibles presque enclavées comme Paris. C'est donc là que l'image cauchemardesque des têtes de dragon s'abattant sur des cibles non préparées a dû prendre vie pour les victimes des Vikings.

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Bibliographie

  • Brink, S. & N. Price (eds.). The Viking World. Routledge, 2012
  • Fitzhugh, W. W. & E. I. Ward (eds.). Vikings. The North Atlantic Saga. Smithsonian Books, Washington, 2000
  • Heide, E. The early Viking ship types. Bergen, 2014
  • Sawyer, P. (ed.). The Oxford Illustrated History of the Vikings. Oxford University Press, 2001
  • Somerville, A. A. and R. Andrew McDonald (eds.). The Viking Age. A Reader. University of Toronto Press, 2014
  • The Viking Museum Ladby, accessed 6 Feb 2018.
  • Vikingskibsmuseet - Longships, accessed 19 Mar 2020.

Traducteur

Babeth Étiève-Cartwright
Babeth s'est consacrée à la traduction après avoir enseigné l'anglais au British Council de Milan. Elle parle couramment le français, l'anglais et l'italien et a 25 ans d'expérience dans le domaine de l'éducation. Elle aime voyager et découvrir l'histoire et le patrimoine d'autres cultures.

Auteur

Emma Groeneveld
Emma a étudié l'histoire et l'histoire ancienne. Pendant sa maîtrise, elle s'est concentrée sur Hérodote, ainsi que sur les anecdotes croustillantes de la politique des cours antiques. Plus récemment, elle s'est plongée dans la préhistoire au sens large.

Citer cette ressource

Style APA

Groeneveld, E. (2018, février 07). Bateaux Vikings [Viking Ships]. (B. Étiève-Cartwright, Traducteur). World History Encyclopedia. Extrait de https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-16769/bateaux-vikings/

Style Chicago

Groeneveld, Emma. "Bateaux Vikings." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. modifié le février 07, 2018. https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-16769/bateaux-vikings/.

Style MLA

Groeneveld, Emma. "Bateaux Vikings." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. World History Encyclopedia, 07 févr. 2018. Web. 21 déc. 2024.

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