Michel-Ange

7 jours restants

Investissez dans l'enseignement de l'Histoire

En soutenant notre organisation reconnue d'utilité publique, World History Foundation, vous investissez dans l'avenir de l'enseignement de l'Histoire. Votre don nous aide à transmettre à la nouvelle génération les connaissances et les compétences dont elle a besoin pour comprendre le monde qui l'entoure. Aidez-nous à démarrer la nouvelle année prêts à publier des contenus historiques fiables et gratuits pour tous.
$3450 / $10000

Définition

Mark Cartwright
de , traduit par Babeth Étiève-Cartwright
publié le 18 août 2020
Disponible dans ces autres langues: anglais, néerlandais, italien, espagnol
Écouter cet article
X
Imprimer l'article
Michelangelo by Daniele da Volterra (by Metropolitan Museum of Art, Copyright)
Michel-Ange de Daniele da Volterra
Metropolitan Museum of Art (Copyright)

Michel-Ange (1475-1564), nom complet Michelangelo di Lodovico Buonarroti, était un artiste, architecte et poète italien, considéré comme l'une des figures les plus importantes et les plus influentes de la Renaissance. Ses œuvres les plus célèbres, issues d'une collection époustouflante de chefs-d'œuvre, comprennent le plafond de la chapelle Sixtine à Rome et la statue géante en marbre de David, qui réside dans la Galleria dell'Accademia de Florence. Estimé par ses contemporains comme le plus grand des artistes vivants, Michel-Ange eut une grande influence sur les styles artistiques de la Haute Renaissance, du maniérisme et du baroque. Aujourd'hui encore, les œuvres du grand homme continuent de faire ressentir aux amateurs d'art du monde entier les sentiments qu'il avait expressément l'intention de produire dans tout son art quel que soit le support: admiration de la forme et du mouvement, surprise et émerveillement.

Enfance

Michel-Ange est né en 1475, à Caprese, une petite ville près de Florence, en Italie. Contrairement à beaucoup d'autres artistes célèbres, Michel-Ange est né dans une famille prospère. À l'âge de 13 ans, il partit étudier à Florence sous la direction du célèbre peintre de fresques Domenico Ghirlandaio (c. 1449-1494). Le jeune artiste passa deux ans comme apprenti de Ghirlandaio, mais visita également de nombreuses églises de la ville pour étudier leurs œuvres et faire des croquis. Le grand tournant de Michel-Ange survint lorsque son travail fut remarqué par Lorenzo de Médicis (1449-1492), chef de la grande famille florentine de ce nom et généreux mécène des arts. C'est dans l'impressionnant jardin de sculptures de Lorenzo que le jeune artiste put étudier en personne les œuvres des grands sculpteurs de l'antiquité, en particulier les sarcophages romains décorés en relief, et put apprendre du conservateur artistique du jardin et sculpteur renommé Bertoldo di Giovanni (c. 1420-1491). Michel-Ange créera plus tard le tombeau en marbre de Lorenzo de Médicis dans l'église familiale des Médicis de San Lorenzo à Florence.

Supprimer la pub
Publicité
Michel-Ange s'efforçait de créer un monde plus beau qu'il ne l'était dans la réalité.

L'influence de ces œuvres classiques sur Michel-Ange est évidente dans la contorsion des personnages de l'un de ses premiers grands chefs-d'œuvre, la sculpture en relief connue sous le nom de Bataille des Centaures, qui est maintenant exposée à la Casa Buonarroti de Florence. La préoccupation de l'artiste pour l'antiquité dans la première moitié de sa carrière se manifeste amplement dans son travail mais aussi dans ses nombreuses tentatives délibérées de faire passer les sculptures comme étant anciennes. En 1496, par exemple, il sculpte le Cupidon dormant (aujourd'hui perdu) qu'il vieillit délibérément pour en faire une œuvre ancienne authentique et qu'il vendit avec succès au cardinal Raffaele Riario.

The Creation of Adam by Michelangelo
La Création d'Adam, par Michel-Ange (Chapelle Sixtine, Rome)
Alonso de Mendoza (Public Domain)

Michel-Ange se concentrait alors déjà sur la technique connue sous le nom de disegno où un artiste se concentrait avant tout à essayer de saisir la forme, la musculature et les poses du corps humain à travers des croquis sur papier d'œuvres classiques qui étaient ensuite transformées en une sculpture ou une peinture entièrement nouvelle. Michel-Ange ajouta également à ce patrimoine artistique une passion pour la réalisation de ses figures avec des poses dramatiques et de le faire à une échelle monumentale, ce qui explique peut-être sa propre préférence pour la sculpture par rapport aux autres médias. La combinaison de l'exécution réaliste, de la grandeur et du dynamisme deviendrait la marque de fabrique des œuvres du maître dans tous les médias alors qu'il s'efforçait de créer un monde plus beau qu'il ne l'était en réalité.

Supprimer la pub
Publicité
Les chefs d'œuvre de Michel-Ange parlaient d'eux-mêmes et ceux qui ne pouvaient pas les voir en personne pouvaient les admirer ou les étudier grâce à la réalisation de nombreuses gravures.

Artiste majeur de la Renaissance

En 1496, Michel-Ange s'installa à Rome, ce qui lui donna encore plus de possibilités d'étudier des exemples d'art classique et d'architecture. C'est à cette époque qu'il créa un autre chef-d'œuvre, la Pietà (voir ci-dessous). De retour à Florence vers 1500, l'artiste était maintenant bien établi et il fut chargé de créer une statue pour rien de moins que la cathédrale de Florence. Michel-Ange reçut un bloc massif de marbre de Carrare très prisé dont personne ne savait quoi faire. Le résultat est un autre chef-d'œuvre, probablement la sculpture la plus célèbre de l'artiste: David (voir ci-dessous). Ensuite, il y eut un chef-d'œuvre utilisant la peinture, démontrant que Michel-Ange ne se limitait pas à la sculpture. La Sainte Famille fut peinte en 1503, et l'œuvre est maintenant dans la Galerie des Offices à Florence. Puis se présenta la fascinante rencontre de deux grands esprits lorsque Michel-Ange et Léonard de Vinci (1452-1519) travaillèrent tous deux sur des fresques dans la salle du Conseil de Florence. Le sujet de l'œuvre de Michel-Ange était la bataille de Cascina mais, tout comme l'effort de Léonard à cet endroit, elle fut laissée inachevée. On ne peut que spéculer ce que chaque grand artiste aurait pu apprendre de l'autre à ce moment-là.

Michel-Ange retourna à Rome pour travailler sur le tombeau du pape Jules II (r. 1503-1513), puis il reçut peut-être sa mission la plus difficile -peindre le plafond de la chapelle Sixtine de la Cité du Vatican (voir ci-dessous). Malgré qu'il y ait travaillé en grande partie seul et très souvent dans une position inconfortable perché sur un échafaudage, le plafond fut complété remarquablement rapidement. Achevée en 1512, l'œuvre ne plut peut-être pas à tout le monde dans l'Église, mais sa vision centrale de Dieu dans les nuages qui tend la main pour toucher le doigt d'Adam est devenue l'une des images les plus reproduites de tous les temps.

Supprimer la pub
Publicité

David by Michelangelo
David de Michel-Ange
Joe Hunt (CC BY)

Michel-Ange continuerait à sculpter et, bien plus rarement, à peindre pour le reste de sa vie. Il continua à écrire ses sonnets très admirés, souvent dédiés à la poétesse Vittoria Colonna (1490-1547), bien que beaucoup aient été griffonnés sur le dos des croquis et des billets. Dans cet exemple, Sonnet 151 (vers 1538-1544), l'artiste compare l'incapacité de l'art à prévenir la mort à la recherche du véritable amour :

Le grand artiste ne conçoit nulle idée

qu'un bloc de marbre en soi ne circonscrive

de sa gangue et seule la concrétise

la main obéissant à l'intellect.

La douleur que je fuis et la joie que j'espère

sont de même cachés en vous, charmante dame,

noble et divine; mais, à mon préjudice mortel,

mon art donne des résultats contraires à ce que je souhaite.

L' amour, par conséquent, ne peut être blâmé pour ma douleur,

ni votre beauté, votre dureté, ni votre mépris,

ni fortune, ni mon destin, ni chance,

si vous tenez à la fois la mort et la miséricorde dans votre cœur

en même temps, et mes humbles esprits, bien que brûlants,

ne peuvent en tirer que la mort.

( Paoletti, 404)

Il y eut aussi de nombreux projets architecturaux importants, comme la Bibliothèque Laurentienne, San Lorenzo, Florence (1525) avec sa salle de lecture de 46 mètres, une combinaison triomphale d'esthétique et de fonctionnalité. Parmi les autres projets figuraient le nouvel aspect de la colline du Capitole de Rome (commencée en 1544), le dôme de la basilique Saint-Pierre à Rome (à partir de 1547, mais non achevé avant 1590) pour lequel Michel-Ange refusa d'accepter un salaire, et la chapelle des Médicis à Florence. À juste titre, tout au long du XVIe siècle, la chapelle des Médicis devint un lieu fréquemment visité par des artistes en herbe venus admirer et apprendre de ce maître de l'art la combinaison unique et visionnaire de l'architecture et de la sculpture. Michel-Ange mourut le 18 février 1564 à Rome et fut enterré avec beaucoup de cérémonie dans la Basilique de Santa Croce à Florence.

Bust of Michelangelo
Buste de Michel-Ange
Sailko (CC BY-SA)

Réputation et héritage

Le grand artiste fut lui-même représenté dans plusieurs œuvres d'art survivantes. Un exemple frappant est le buste en bronze de son compatriote Daniele da Volterra (1509-1566), qui, créé vers 1564, réside aujourd'hui au Bargello de Florence. La sculpture est réaliste et montre un Michel-Ange barbu avec des rides abondantes et avec le nez légèrement aplati depuis que l'artiste Pietro Torrigiano (1472-1528) le lui avait cassé quand tous deux étaient encore jeunes (Torrigiano fut exilé de Florence en conséquence).

Supprimer la pub
Publicité

Un document plus détaillé sur Michel-Ange survit dans deux biographies écrites au cours de la vie de l'artiste par Giorgio Vasari (1511-1574) et Ascanio Condivi (1525-1574). L'artiste toscan Vasari termina Les Vie des meilleurs peintres et sculpteurs et architectes en 1550, mais il révisa ensuite largement et élargit l'œuvre en 1568. L'histoire est un recueil monumental des artistes de la Renaissance, de leurs œuvres et des histoires anecdotiques qui leur sont associées, et donc Vasari est considéré comme l'un des pionniers de l'histoire de l'art. L'artiste italien Condivi, quant à lui, était un élève de Michel-Ange à Rome, et il écrivit sa Vie de Michel-Ange en 1553, une œuvre supervisée par le grand maître lui-même (ce qui explique peut-être un certain nombre d'éléments fictifs ou exagérés).

Pieta by Michelangelo
Pietà de Michelange
Stanislav Traykov (CC BY-SA)

Ces deux biographies contribuèrent à établir la réputation de Michel-Ange en tant que légende vivante, alors que d'autres artistes reconnaissent son génie et sa contribution à la renaissance de l'art à la Renaissance. Naturellement, les chefs-d'œuvre de Michel-Ange parlaient d'eux-mêmes, et ceux qui ne pouvaient pas les voir en personne pouvaient les admirer ou les étudier grâce à la réalisation de nombreuses gravures qui furent distribuées à travers l'Europe. Sa renommée s'étendit aussi au-delà de l'Europe. Le sultan de l'Empire ottoman Bayezid II (r. 1481-1512) entendit parler des talents de l'artiste et l'invita, sans succès, à sa cour. Les œuvres de Michel-Ange faisaient même l'objet de collection, surtout en France. En bref, Michel-Ange était considéré comme rien de moins que divin - un terme fréquemment utilisé pour l'artiste de son vivant - et un possesseur d'une puissance artistique impressionnante, ce que ses contemporains appelaient terribilità. La lumière que le grand homme jeta sur l'art et l'architecture de l'Occident continua à briller longtemps après sa mort et son travail influença particulièrement le développement du maniérisme et du style baroque.

Chefs d'œuvre

La Pietà

La Pietà est une représentation en marbre de la Vierge Marie qui pleure sur le corps de Jésus-Christ qui repose sur ses genoux. Achevé entre 1497 et 1500, l'œuvre fut commandée par un cardinal français pour sa tombe dans une chapelle de Rome. D'une hauteur de 1,74 m, elle se trouve maintenant dans la basilique Saint-Pierre. L'œuvre combine tous les aspects de l'art sculpteur: une représentation hyper-réaliste du corps humain, des plis complexes de draperie, le visage serein et contemplatif de Marie, le corps languissant de Jésus, et une composition qui rappelle les statues de dévotion septentrionales mais offre quelque chose de jamais vu auparavant dans l'art italien. Le fait que Michel-Ange était très satisfait du résultat est attesté dans l'anecdote qui raconte qu'il y ajouta plus tard sa signature après qu'un artiste rival ait prétendu en être son créateur.

Supprimer la pub
Publicité

Michelangelo's David
Le David de Michel-Ange
David Michalczuk (CC BY)

David

Comme mentionné ci-dessus, l'offrande de Michel-Ange à la cathédrale de Florence était une sculpture en marbre du roi biblique David qui, dans sa jeunesse, tua le géant gênant Goliath. La figure est beaucoup plus grande que nature - environ 5,20 mètres de haut - et si grande qu'elle ne put être placée sur le toit de la cathédrale comme prévu, mais fut installée sur la place en face. Michel-Ange reçut environ 400 florins pour un travail qu'il avait commencé en 1501 et achevé en 1504. David se trouve maintenant dans la Galleria dell'Accademia de Florence, tandis qu'une réplique identique se trouve en plein air devant le Palazzo della Signoria.

La statue est maintenant tout blanche mais avait à l'origine trois éléments dorés: le support en souche d'arbre, une ceinture de feuilles et une guirlande sur la tête. La seule identification qu'il s'agit d'une figure de David est la fronde au-dessus de l'épaule gauche de la statue. En outre, la maturité du corps pour ce qui devait être en fait un très jeune homme, et aussi la nudité de la statue, rappelle fortement les statues colossales de l'antiquité, en particulier d'Hercule. Ce n'est pas une coïncidence qu'Hercule apparaisse également sur le sceau officiel de la ville de Florence. Il s'agissait-là, alors, d'un message à travers l'art que la ville se croyait l'égale, peut-être même meilleure que n'importe quelle ville de l'antiquité. Michel-Ange outrepassa manifestement les contraintes de la sculpture classique et créa une figure palpablement tendue, effet accentué par le front plissé et le visage déterminé de David.

La Chapelle Sixtine

Comme indiqué, Michel-Ange fut chargé de peindre le plafond de la Chapelle Sixtine, un bâtiment qui venait d'être achevé en 1480. Le plafond s'était fissuré en 1504 et avait été réparé. C'était alors l'occasion d'ajouter à la décoration intérieure déjà impressionnante de la chapelle. Michel-Ange était loin d'être enthousiaste de ce projet qui l'occupera de 1508 à 1512 - et il y eut de fréquentes querelles avec le pape - mais il est aujourd'hui considéré comme l'une de ses œuvres phares. Les fresques sont peintes dans des couleurs très vives et, pour aider le spectateur qui doit se tenir bien loin au-dessous, Michel-Ange utilisa la technique des couleurs contrastées les unes à côté des autres.

Vous aimez l'Histoire?

Abonnez-vous à notre newsletter hebdomadaire gratuite!

The Last Judgement by Michelangelo
Le Jugement dernier de Michel-Ange
Alonso de Mendoza (Public Domain)

L'ensemble du plafond couvre une surface de 39 x 13,7 mètres. Les panneaux séparés montrent un cycle d'épisodes de la Bible depuis la Création jusqu'au temps de Noé. À noter, la création d'Ève est le panneau central, pas la création d'Adam, bien que cela puisse être simplement parce que les scènes sont chronologiques à partir du mur de l'autel. Il y a aussi sept prophètes, cinq sibylles et quatre ignudi qui n'ont rien à voir avec le récit religieux, mais qui montrent l'amour de Michel-Ange pour des figures audacieuses rendues dans des poses dramatiques.

Cette œuvre connut un succès immédiat avec presque tous ceux qui purent l'admirer, mais il y eut aussi quelques grondements de mécontentement. L'objection principale était la quantité de nudité et la représentation des organes génitaux de certains personnages. De plus, la section du Jugement Dernier de la chapelle, qui fut ajoutée à l'autel beaucoup plus tard par Michel-Ange entre 1536 et 1541, ne fut pas bien accueillie par certains membres du clergé. Le fait que Jésus n'ait pas sa barbe conventionnelle et semblait un peu plus jeune que d'habitude était des points de discorde notables. La compréhension théologique de base de l'artiste, ou peut-être son manque d'égard envers elle vu qu'il était connu pour sa piété, et l'apparition d'encore plus d'organes génitaux conduisit une partie du clergé à déclarer l'œuvre une hérésie. Il y eut même des invitations à le détruire. Heureusement pour la postérité, la stratégie la plus modérée fut adoptée pour couvrir les éléments de nudité incriminés. La tâche de retoucher les fresques fut confiée à Daniele da Volterra, et cet artiste obtint donc le surnom plutôt malheureux de Il Braghettone ou « faiseur de culottes ».

Moses by Michelangelo
Moïse de Michel-Ange
Jörg Bittner Unna (CC BY)

Moïse

Comme nous l'avons mentionné, Michel-Ange fut chargé par Jules II en 1505 de concevoir une imposante tombe pour le chef de l'Église romaine. Partant d'une ébauche de monument grandiose sur papier, la tombe fut finalement achevée en 1547 après l'abandon de beaucoup d'extravagances originalement prévues. Un détail survivant est la statue assise de Moïse sculptée par Michel-Ange, où la figure biblique tient son bâton et tire sur une barbe remarquablement longue, apparemment pour démontrer sa crainte révérencielle de Dieu. La statue devait être vue d'en bas et Michel-Ange avait donc incorporé plusieurs corrections optiques. La figure, mesurant 2,35 mètres de hauteur, fut achevée vers 1520 et réside dans l'église San Pietro in Vincoli à Rome.

Supprimer la pub
Publicité

Traducteur

Babeth Étiève-Cartwright
Babeth s'est consacrée à la traduction après avoir enseigné l'anglais au British Council de Milan. Elle parle couramment le français, l'anglais et l'italien et a 25 ans d'expérience dans le domaine de l'éducation. Elle aime voyager et découvrir l'histoire et le patrimoine d'autres cultures.

Auteur

Mark Cartwright
Mark est un auteur, chercheur, historien et éditeur à plein temps. Il s'intéresse particulièrement à l'art, à l'architecture et à la découverte des idées que toutes les civilisations peuvent nous offrir. Il est titulaire d'un Master en Philosophie politique et est le Directeur de Publication de WHE.

Citer cette ressource

Style APA

Cartwright, M. (2020, août 18). Michel-Ange [Michelangelo]. (B. Étiève-Cartwright, Traducteur). World History Encyclopedia. Extrait de https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-19089/michel-ange/

Style Chicago

Cartwright, Mark. "Michel-Ange." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. modifié le août 18, 2020. https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-19089/michel-ange/.

Style MLA

Cartwright, Mark. "Michel-Ange." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. World History Encyclopedia, 18 août 2020. Web. 24 déc. 2024.

Adhésion