George II, Roi de Grande Bretagne

Définition

Mark Cartwright
de , traduit par Babeth Étiève-Cartwright
publié le 20 janvier 2023
Disponible dans ces autres langues: anglais
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George II of Great Britain (by Thomas Hudson, Public Domain)
George II de Grande Bretagne
Thomas Hudson (Public Domain)

George II de Grande-Bretagne (r. de 1727 à 1760) fut le deuxième des monarques de la maison de Hanovre et, tout comme son père George Ier de Grande-Bretagne (r. de 1714 à 1727), il dut faire face à une rébellion jacobite visant à restaurer la lignée des Stuart. Les guerres en Europe et au-delà épuisèrent les ressources mais finirent par permettre à la Grande-Bretagne de détenir de nombreuses colonies clés dans le jeu des empires, désormais véritablement mondial.

La maison de Hanovre

Le roi George Ier devint le premier souverain de Grande-Bretagne de la maison hanovre en 1714, la reine Anne de Grande-Bretagne (r. de 1702 à 1714) n'ayant pas eu d'enfant. George était électeur de Hanovre, une petite principauté d'Allemagne, et le plus proche parent protestant de la reine. Il avait un lien lointain avec la lignée royale des Stuart puisqu'il était un descendant d'Élisabeth Stuart (m. 1662), fille de Jacques Ier d'Angleterre (r. de 1603 à 1625). George ne parlait qu'un anglais rudimentaire et fit souvent de longs séjours en Allemagne, ce qui ne consolida guère sa popularité auprès de ses nouveaux sujets. Il ne s'entendait pas non plus très bien avec son fils et unique héritier.

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Famille

George August, futur George II, naquit le 10 novembre 1683 à Herrenhausen en Hanovre. Il fut donc le dernier monarque britannique à être né hors de Grande-Bretagne. Il était l'enfant aîné de George Ier et de Sophie-Dorothée de Celle (1666-1726). Le mariage de ses parents était un mariage de convenance politique, et il y avait peu d'amour entre les deux. Lorsque l'on découvrit que Sophie Dorothée avait une liaison avec un comte suédois en 1694, George organisa le divorce. Sophie Dorothée fut définitivement bannie à Ahlden House à Celle, et elle ne fut pas autorisée à voir son fils ou sa fille Sophie Dorothée, qui deviendrait reine de Prusse par mariage. À partir de l'âge de onze ans, le prince George ne revit donc plus sa mère et en voulut beaucoup à son père.

George se fit aimer de ses futurs sujets par ses exploits militaires, en combattant aux côtés du duc de Marlborough.

Le 2 septembre 1705, le prince George épousa Caroline d'Ansbach (1683-1737), la fille de Johann Friedrich, margrave de Brandebourg-Ansbach. Caroline était acclamée en Angleterre pour avoir refusé un mariage avec un futur empereur du Saint Empire romain germanique parce qu'elle aurait dû se convertir au catholicisme. Le couple eut sept enfants survivants. Le fils aîné et héritier de George était Frédéric Louis (né en 1707), qui mourut neuf ans avant son père en 1751. Son deuxième fils, le prince George William, vit le jour en 1717, mais il mourut l'année suivante. Le troisième fils, William Augustus (né en 1721), est plus connu sous le nom de duc de Cumberland. La fille aînée Anne (née en 1709) devint princesse d'Orange par mariage, tandis que Louise (née en 1724) devint reine du Danemark et de Norvège, également par mariage. Les trois autres filles étaient Amélie (née en 1711), Caroline (née en 1713) et Marie (née en 1723).

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George II at Dettingen
George II à Dettingen
John Wootton (Public Domain)

Succession

Lorsque son père devint roi de Grande-Bretagne en 1714, le prince George le suivit en Angleterre. George fut fait prince de Galles, comme le voulait la coutume. Contrairement à son père, le prince parlait bien l'anglais, bien qu'avec un fort accent allemand, et il s'assura (du moins en public) de faire des commentaires positifs sur son pays d'adoption. Il s'était déjà acquis la sympathie de ses futurs sujets par ses exploits militaires, combattant aux côtés du duc de Marlborough à la bataille d'Oudenarde en 1708 pendant la guerre de Succession d'Espagne (1701-15). La princesse Caroline devint elle aussi populaire grâce à sa belle prestance, son tact et son soutien aux institutions publiques comme le Queen's College d'Oxford. Caroline combla largement le vide laissé par l'absence forcée de la reine Sophie et du roi lors de ses séjours réguliers en Hanovre. Plus tard, en tant que reine, Caroline eut une grande influence sur son mari, le persuadant souvent d'adopter les politiques qui lui étaient secrètement proposées par le premier ministre whig Sir Robert Walpole (1676-1745). Comme le déclara un jour Walpole : "Elle peut lui faire proposer la chose qu'une semaine plus tôt il avait rejetée comme étant la mienne" (Starkey, 426).

Le roi George Ier et son héritier se brouillèrent publiquement et de manière spectaculaire en 1717, la crise survenant lors du baptême du fils du prince George. Le roi bannit George du palais de Saint-James et prit même la garde de ses petits-enfants, ne leur permettant qu'une visite hebdomadaire avec leurs parents. Le prince George mit alors en place une cour rivale centrée sur Leicester House. La cour du prince attira des conspirateurs, des tories discrédités et Walpole, entre autres. Les relations royales se rétablirent quelque peu en avril 1720, mais le lien entre le roi et l'héritier ne serait plus jamais tout à fait le même. Le roi souffrait de problèmes de santé dans les dernières années de sa vie et mourut le 11 juin 1727. Le prince George devint alors George II de Grande-Bretagne et reprit le titre d'électeur de Hanovre de son père.

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George Ier était un admirateur du compositeur Georg Friedrich Haendel (1685-1759), et George II l'était aussi. Lors du couronnement à l'abbaye de Westminster le 11 octobre 1727, quatre nouveaux morceaux de Haendel furent joués, dont l'entraînant Zadok the Priest, qui a été jouée à chaque couronnement britannique depuis.

George II of Great Britain by Jervas
George II de Grande-Bretagne par Jervas
Charles Jervas (Public Domain)

Caractère et conflit avec son héritier

George II était un personnage complexe et difficile, comme le résume ici J. Black:

Les excentricités de George masquaient ses vertus. Son jugement était fondamentalement sain, mais son mauvais caractère et son esbroufe le faisaient paraître imprévisible. Bien qu'il ait visé la dignité royale, elle était souvent entachée de pomposité et d'autosatisfaction; son courage était incontestable, mais il en parlait trop souvent. Son manque de courtoisie était proverbial, mais il était dépourvu de malice, et honnête à l'excès. (Cannon, 320)

Tout comme il ne s'était pas entendu avec son propre père, le roi au tempérament vif avait une mauvaise relation avec son héritier, Frédéric Louis. Guillaume Auguste devint le favori de son père. Frédéric, criblé de dettes, tout comme son père l'avait fait lorsqu'il était prince de Galles, établit sa propre cour rivale à Leicester House. Même la mère de Frédéric ne put le supporter et sur son lit de mort, parle de lui comme "ce monstre" (Phillips, 184).

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La reine Caroline mourut le 20 novembre 1737 à l'âge de 54 ans. Le roi avait eu de nombreuses maîtresses, mais il avait toujours entretenu une bonne relation avec sa femme et lui était dévoué au sens familial du terme. En 1740, l'une des maîtresses allemandes du roi, Amelia Sophia de Walmoden, fut nommée comtesse de Yarmouth. Deux maîtresses anglaises notables furent Henrietta Howard, comtesse de Suffolk, et Mary Scott, comtesse de Deloraine.

La rébellion jacobite

Les Jacobites étaient ceux qui soutenaient la revendication du trône britannique par le fils exilé de Jacques II, Jacques François Édouard Stuart (1688-1766), également connu sous le nom de Vieux Prétendant. Le Vieux Prétendant, qui représentait également un retour à une monarchie catholique, avait échoué lamentablement à s'emparer du trône durant l'hiver 1715-16, en 1719 et en 1722. Son fils, beaucoup plus charismatique, reprit alors repris la cause sous le nom de Jeune Prétendant, même s'il défendait en fait la cause de son père encore vivant. Charles Édouard Stuart, également connu sous le nom de "Bonnie" Prince Charlie (1720-1788, bonnie étant souvent traduit comme "beau"), mena une importante rébellion jacobite en 1745.

Bonnie Prince Charlie
Bonnie Prince Charlie
nationalgalleries.org (Public Domain)

Le "beau" prince débarqua en Écosse en juillet 1745 avec un entourage ne comptant pas plus d'une douzaine d'hommes. Il partit des Hébrides et parvint à obtenir le soutien des clans MacDonald et Cameron. De son quartier général initial à Loch Shiel, l'armée grandissante marcha vers Perth, puis vers la capitale, Édimbourg. La réponse initiale des loyalistes fut inadéquate et "Bonnie" Prince Charlie remporta la bataille de Pestonpans, près d'Édimbourg, le 21 septembre. Pour soutenir les espoirs des Anglais pendant la rébellion, une chanson populaire dont les paroles sont d'un auteur inconnu circula. Cette chanson devint l'hymne national en 1819 et le reste aujourd'hui (bien que légèrement modifié), intitulé d'après la troisième ligne de son premier couplet "God Save the King".

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George II était déterminé à punir les clans écossais qui avaient soutenu son rival pour le trône lors de la rébellion jacobite.

Charles Stuart conduisit alors son armée en Angleterre en novembre, avec en ligne de mire une cible aussi importante que Londres. L'armée atteignit Derby en décembre, mais, fait crucial, aucun soutien ne fut apporté par l'Angleterre. L'armée des Stuart ne comptait que 4 à 5 000 hommes, ce qui conduisit à la décision judicieuse de se retirer en Écosse. Cela faisait maintenant 57 ans que Jacques II avait fui l'Angleterre, et la plupart des gens ne se souvenaient même pas de l'époque des Stuart. La deuxième réponse du gouvernement à la rébellion fut beaucoup plus efficace. Une armée anglaise de 9 000 hommes dirigée par le duc de Cumberland marcha vers l'Écosse et écrasa l'armée jacobite, plus petite et mal équipée, à la bataille de Culloden, le 16 avril 1746. Le Jeune Prétendant échappa à la bataille et au massacre des blessés et des prisonniers qui s'ensuivit et qui valut au duc victorieux le titre de "boucher" Cumberland. Le prétendant survécut plusieurs mois en tant que fugitif dans les Highlands jusqu'à ce qu'il ne reparte pour la France habillé en femme de chambre. Un voyage secret à Londres en 1750 ne fit pas avancer sa cause désormais désespérée, et Charles Édouard Stuart vécut le reste de ses jours en exil en Italie; il mourut en 1788 et ne laissa aucun enfant.

George II était déterminé à punir les clans écossais qui avaient soutenu son rival pour le trône. Exécutions, massacres et pillages plongèrent de nombreuses communautés écossaises dans la misère. Une vague de législation répressive tenta d'éradiquer le nationalisme écossais. Le tartan et les vêtements écossais furent interdits, tout comme le port d'armes. Des troupes anglaises furent stationnées autour de l'Écosse, mais de nouveaux régiments d'Écossais furent également créés, comme le célèbre Black Watch.

Battle of Culloden
Bataille de Culloden
David Morier (Public Domain)

Les guerres étrangères

Le règne de George comporta des guerres à travers le monde, les puissances européennes se bousculant pour agrandir leurs empires. Un conflit éclata entre la Grande-Bretagne et l'Espagne en 1726, lorsque cette dernière tenta en vain de reprendre Gibraltar. Un traité de paix fut signé en 1729, confirmant que Gibraltar était une possession britannique et autorisant le commerce britannique avec les colonies d'Amérique espagnole. En 1732, le roi accorda une charte royale à une nouvelle colonie en Amérique du Nord, qui serait fondée l'année suivante et qui porterait son nom, la Géorgie.

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En Europe, la guerre de Succession d'Autriche (1740-1748) opposa la Grande-Bretagne et l'Autriche à l'Espagne, la France et la Prusse (ainsi que plusieurs autres États de chaque côté). Le conflit, qui se déroulait initialement en Europe centrale, n'était pas populaire car beaucoup le considéraient comme un exercice visant à étendre les intérêts du Hanovre au prix de la vie des Britanniques. En fait, dans la monarchie constitutionnelle britannique, c'étaient des politiciens comme Walpole et William Pitt l'Ancien (1708-1778) qui prenaient les décisions. George en personne fit remarquer avec ironie que, contrairement à son Hanovre bien-aimé où il avait un pouvoir absolu, en Grande-Bretagne: "les ministres sont les rois dans ce pays" (Miller, 344). Le roi George participa au moins personnellement dans la guerre, menant une armée à la victoire lors de la bataille de Dettingen en Bavière en 1743 aux côtés du duc de Cumberland. Cette bataille n'était pas d'une grande importance, mais elle est significative car ce serait la dernière fois qu'un monarque britannique dirigerait une armée sur le terrain.

La guerre de succession d'Autriche s'étendit à d'autres continents, essentiellement là où les États opposés avaient déjà des intérêts et des colonies. Il y eut la guerre de l'oreille de Jenkin (1739-1748), menée dans le nord de l'Amérique du Sud et dans les Caraïbes contre les Espagnols; une guerre coûteuse et infructueuse pour tous ceux qui y participèrent. En Amérique du Nord, il y eut un autre conflit incertain, la troisième guerre intercoloniale américaine, connue en Grande-Bretagne sous le nom de King George's War (1744-1748), qui fut menée contre la France.

The Death of General Wolfe
La mort du général Wolfe
Benjamin West (Public Domain)

La guerre de Sept Ans (1756-1763), qui dura plus longtemps que le règne de George, fut un autre conflit transeuropéen et intercontinental, opposant la Grande-Bretagne et la Prusse à l'Espagne et à la France (et à plusieurs autres États). Il y eut des pertes britanniques notables au début, mais le point culminant de tous les nombreux conflits et escapades militaires fut la capture britannique de Québec en 1759 et de Montréal et du reste du Canada en 1760. La Grande-Bretagne et la Prusse finirent par gagner la guerre, la première bénéficiant en particulier d'un remaniement des colonies pour acquérir la domination de la partie orientale de l'Amérique du Nord, des Caraïbes et de l'Inde. Le sous-continent indien, où la Compagnie des Indes orientales avait entamé une série de conquêtes lucratives à partir de la bataille de Plassey en 1757, était considéré comme le coin de l'empire présentant le plus grand potentiel. En bref, la Grande-Bretagne était désormais prête à construire un immense empire mondial au cours du siècle suivant.

Les arts

Le style architectural géorgien continua de se répandre avec chaque nouveau bâtiment. Ce style, qui met l'accent sur la symétrie et les proportions, dura tout au long du règne de la Maison de Hanovre. Ce style plutôt austère était une sorte de réaction contre le style baroque très décoratif observé en Europe continentale, et il finit par se développer en style néoclassique, où des éléments des ordres dorique et ionique de l'architecture grecque et romaine antique étaient utilisés avec une nouvelle approche édulcorée pour créer des bâtiments uniformes, des places et des avenues bordées de maisons.

Le style géorgien (ou peut-être plus exactement les styles géorgiens) en architecture s'étendit aux arts visuels, notamment aux céramiques d'aspect épuré (par exemple Wedgwood), aux meubles aux formes arrondies (par exemple Chippendale) et à la riche décoration intérieure (notamment le papier peint décoratif). Le jardinage paysager était un autre domaine de développement de la période géorgienne. La reine Caroline s'intéressait particulièrement à l'horticulture et soutenait les jardins de Kensington. L'épanouissement des arts dans la Grande-Bretagne géorgienne attira des peintres tels que Canaletto (1697-1768), qui passa une décennie à peindre à Londres de 1746 à 1756.

Pembroke Table by Chippendale
Table Pembroke de Chippendale
Rauantiques (CC BY-SA)

George II était connu pour son aversion pour le savoir et les livres, mais il supervisa quelques innovations culturelles majeures. En juin 1753, le roi apporta son soutien financier à la fondation du British Museum. Le roi aida également le musée à améliorer sa collection en faisant don de la "Old Royal Library", une collection de plus de 10 000 livres. En 1749, le célèbre roman Tom Jones de Henry Fielding (1707-1754) fut publié, et en 1755, le Dr Samuel Johnson (1709-1784) publia son gigantesque dictionnaire de la langue anglaise.

Décès et succession

Le roi souffrait de problèmes de santé dans ses dernières années; il perdit la vue d'un œil et devint également sourd. George II mourout d'une crise cardiaque le 25 octobre 1760 au palais de Kensington. Il avait 76 ans, un âge nettement supérieur à celui que beaucoup d'autres hommes de la Maison de Hanovre avaient réussi à atteindre. Il avait eu un règne difficile, tant à l'intérieur du pays qu'à l'étranger, mais la Grande-Bretagne termina plus forte que lorsqu'il s'était assis sur le trône pour la première fois. Le roi fut enterré dans l'abbaye de Westminster aux côtés de la reine Caroline, réalisant ainsi son troisième grand "dernier" exploit, en l'occurrence être le dernier monarque britannique à être enterré dans l'abbaye.

Frédéric, le fils aîné de George II, étant décédé en 1751 après avoir été frappé à la poitrine par une balle de cricket (ou une balle de tennis ou une simple pneumonie), la couronne revint au fils aîné de Frédéric, George William Frederic (né en 1738), qui devint George III de Grande-Bretagne et d'Irlande. George régna pendant six décennies, plus longtemps que n'importe quel autre roi de l'histoire britannique, mais son mandat fut entaché par la perte des colonies américaines et sa propre descente dans la folie.

Les Hanovre perdurèrent alors que la Grande-Bretagne construisait son empire grâce à ses politiciens et ses armées plutôt qu'à ses souverains. Le lien britannique direct avec le Hanovre à proprement parler prit fin lorsque la reine Victoria monta sur le trône en 1837, car une femme n'était pas autorisée à gouverner le royaume allemand.

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Questions & Réponses

Pour quoi le roi George II est-il connu ?

Le roi George II est connu pour avoir mis fin à la rébellion jacobite en 1645 et avoir fait croître l'Empire britannique à travers plusieurs guerres sur quatre continents.

Qui a succédé à George II ?

Son fils aîné étant déjà mort, George II fut remplacé par son petit-fils qui devint George III de Grande-Bretagne.

Quels furent les trois "derniers" de George II ?

George II fut le dernier monarque britannique né hors de Grande-Bretagne, le dernier à avoir commandé une armée sur le terrain et le dernier à avoir été enterré dans l'abbaye de Westminster.

Traducteur

Babeth Étiève-Cartwright
Babeth s'est consacrée à la traduction après avoir enseigné l'anglais au British Council de Milan. Elle parle couramment le français, l'anglais et l'italien et a 25 ans d'expérience dans le domaine de l'éducation. Elle aime voyager et découvrir l'histoire et le patrimoine d'autres cultures.

Auteur

Mark Cartwright
Mark est un auteur, chercheur, historien et éditeur à plein temps. Il s'intéresse particulièrement à l'art, à l'architecture et à la découverte des idées que toutes les civilisations peuvent nous offrir. Il est titulaire d'un Master en Philosophie politique et est le Directeur de Publication de WHE.

Citer cette ressource

Style APA

Cartwright, M. (2023, janvier 20). George II, Roi de Grande Bretagne [George II of Great Britain]. (B. Étiève-Cartwright, Traducteur). World History Encyclopedia. Extrait de https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-21457/george-ii-roi-de-grande-bretagne/

Style Chicago

Cartwright, Mark. "George II, Roi de Grande Bretagne." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. modifié le janvier 20, 2023. https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-21457/george-ii-roi-de-grande-bretagne/.

Style MLA

Cartwright, Mark. "George II, Roi de Grande Bretagne." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. World History Encyclopedia, 20 janv. 2023. Web. 20 nov. 2024.

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