Blitzkrieg

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Définition

Mark Cartwright
de , traduit par Babeth Étiève-Cartwright
publié le 28 novembre 2024
Disponible dans ces autres langues: anglais
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German Panzers, Western Front (by Bundesarchiv, Bild 101I-382-0248-33A / Böcker, CC BY-SA)
Panzers allemands, front ouest
Bundesarchiv, Bild 101I-382-0248-33A / Böcker (CC BY-SA)

La Blitzkrieg ("guerre éclair") est une tactique militaire combinant des forces aériennes et terrestres déployées à grande vitesse contre les points faibles de l'ennemi, tandis que les lignes arrière sont simultanément perturbées par des actes de sabotage et des bombardements. La vitesse, la concentration et la surprise sont conçues pour submerger psychologiquement l'ennemi, détruire sa structure de commandement et provoquer un effondrement total sans avoir à l'anéantir complètement.

La Blitzkrieg fut développée à partir de tactiques antérieures au 19e siècle, où des forces armées telles que l'artillerie et la cavalerie étaient utilisées en concentration et déployées à un rythme soutenu, mais la première utilisation réussie d'armes mécanisées a été celle des forces armées allemandes pendant la guerre civile espagnole (1936-1939) et, à plus grande échelle, pendant les premières années de la Seconde Guerre mondiale (1939-1945). Cette tactique continue d'être employée dans les guerres modernes.

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Origine de la tactique

On attribue souvent au général prussien Carl von Clausewitz (1780-1831) la paternité de l'idée de la Blitzkrieg dans son livre De la guerre, publié à titre posthume en 1832. L'armée prussienne déploya ses forces de manière concentrée et rapide pendant les guerres napoléoniennes (1803-1815). Clausewitz souligna également l'importance de lancer des attaques sur les forces ennemies qui, par la force du nombre, la vitesse et la surprise, les affecteraient négativement en termes psychologiques. Un autre avantage de cette tactique est qu'elle peut être utilisée par des armées relativement petites, comme celle de la Prusse à cette époque, pour contrebalancer l'avantage numérique de l'ennemi.

La BLITZKRIEG ÉTAIT EN QUELQUE SORTE LA TACTIQUE DE LA GUERRE TOTALE.

Les idées du commandant de l'armée allemande, le général Hans von Seeckt (1866-1936), marquèrent une nouvelle avancée en la matière dans les années 1920. Seeckt dirigeait une armée dont la taille était alors limitée par le traité de Versailles (100 000 hommes) qui avait officiellement conclu la Première Guerre mondiale (1939-45). Pour surmonter le désavantage de taille par rapport aux autres armées européennes, Seeckt mit l'accent sur la vitesse et la mobilité dans les tactiques de campagne, même s'il était interdit à l'Allemagne de posséder des chars et des avions à des fins militaires. Pour contourner cette restriction, Seeckt utilisa des maquettes et envoya des unités en URSS pour un entraînement secret. L'idée d'utiliser les armes combinées, c'est-à-dire l'infanterie mobile, les véhicules blindés, l'artillerie mobile et les avions de manière à perturber et à pénétrer les lignes ennemies, n'était pas propre à l'Allemagne, puisqu'elle était également soutenue par des stratèges militaires britanniques tels que le major-général J. F. C. Fuller (1878-1966) et Basil Liddell Hart (1895-1970). C'est toutefois l'armée allemande qui serait la première à mettre en pratique la tactique de la Blitzkrieg.

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Hans von Seeckt
Hans von Seeckt
Musvage (CC BY-SA)

Le terme Blitzkrieg, qui signifie "guerre éclair" en raison de l'accent mis sur la vitesse, "a été attribué à Hitler et a probablement été inventé à des fins d'intimidation" (Dear, 109). L'historien A. Gilbert suggère qu'Adolf Hitler (1889-1945), le dirigeant de l'Allemagne nazie, aurait utilisé pour la première fois le terme Blitzkrieg dans un discours politique en 1935. Hitler avait l'intention d'étendre le territoire contrôlé par l'Allemagne. La tactique de la Blitzkrieg convenait parfaitement aux forces armées allemandes, qui étaient moins nombreuses que certains de ses rivaux en 1939, mais beaucoup plus modernes en termes d'équipement. Des technologies telles que les radios (y compris à l'intérieur des chars) et les lignes téléphoniques, qui pouvaient être rapidement installées dans de nouvelles zones, permettaient aux commandants de rester en contact avec leurs troupes avancées, voire de rejoindre en personne ces unités avancées, tout en restant en mesure de diriger le reste de l'armée. La formation des officiers allemands mettait l'accent sur l'autonomie de décision, ce qui contribua également à accroître la rapidité des mouvements de troupes sur le terrain, puisque les ordres pouvaient être adaptés aux besoins de la situation.

LA RAPIDITÉ DE LA VICTOIRE ALLEMANDE SURPRIt même LES GÉNÉRAUX ALLEMANDS.

Les commandants de l'armée française, contrairement à toute cette mobilité, étaient toujours enclins à mettre l'accent sur les défenses statiques telles que la ligne Maginot. Les chars faisaient partie de l'armée française, mais ils étaient déployés en renfort des défenses statiques et ne faisaient pas partie des tactiques agressives axées sur l'attaque. À bien des égards, les commandants français et britanniques étaient encore assis sur les lauriers de leur victoire de la Première Guerre mondiale. Dans cette guerre, les batailles de tranchées étaient typiques. La Première Guerre mondiale était un conflit d'usure, c'est-à-dire que l'objectif était d'utiliser la supériorité numérique pour épuiser l'ennemi en éliminant ses soldats à un rythme plus rapide que celui de la perte de ses propres troupes. La Blitzkrieg, en revanche, avait un objectif tout à fait différent, comme l'explique ici l'historien B. Pitt:

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Le principe de base de la technique de la Blitzkrieg est qu'il est plus simple, plus facile et moins coûteux de réduire la force d'une armée ennemie par la famine (en coupant ses approvisionnements) ou par la paralysie (en détruisant son haut commandement ou en coupant ses lignes de communication et de contrôle) qu'en la réduisant en bouillie.

(Liddell Hart, 19-20)

La guerre totale

La Blitzkrieg était en grande partie la tactique de la guerre totale. Tous les éléments des forces armées d'une nation devaient être utilisés, tels que l'armée de l'air, les véhicules blindés, l'artillerie, l'infanterie et les forces spéciales telles que les unités de génie et de sabotage. La concentration était souvent obtenue en attaquant sur un front très étroit. Ce que l'armée allemande appelait le Schwerpunkt pourrait être traduit approximativement comme le "centre de gravité" de toute l'attaque, le point identifié dans les positions ennemies qui devait être soumis à l'effort principal concentré de la manœuvre Blitzkrieg.

Stuka Releasing its Bombload
Un Stuka lâche ses bombes
Imperial War Museums (CC BY-NC-SA)

La Blitzkrieg comportait un aspect propagandiste consistant à saper le moral de l'ennemi avant l'attaque physique en diffusant de fausses informations par le biais de tracts, d'affiches et d'émissions radiophoniques. Lors de l'attaque proprement dite, la guerre aérienne et la guerre terrestre étaient combinées pour une dévastation maximale. Les bombardiers frappaient les défenses ennemies et les lignes de communication, les approvisionnements et les concentrations de réserves derrière le champ de bataille principal. Des colonnes blindées, composées principalement de chars, mais aussi de divisions d'infanterie entièrement motorisées et d'un soutien d'artillerie mobile, perçaient ensuite le Schwerpunkt, contournant souvent délibérément les positions de défense les plus solides. Des unités de génie spécialisées veillaient à ce que la vitesse de l'attaque soit maintenue en construisant des ponts temporaires sur les rivières et autres obstacles lorsque cela était nécessaire. Parallèlement, des troupes spécialement entraînées étaient utilisées derrière les lignes ennemies, souvent parachutées afin de perturber les réseaux de communication, de transport et de services publics de l'ennemi. Cet aspect subversif de la campagne signifiait que les commandants ennemis avaient beaucoup de mal à répondre à l'attaque principale ou même à connaître l'état de la bataille et l'état de leurs forces. Enfin, la nature concentrée de l'attaque et les bombardements incessants, effectués sur des zones cibles spécifiquement identifiées, signifiaient généralement que l'ennemi était submergé psychologiquement, un objectif qui incluait de cibler les civils sur lesquels on pouvait tirer lorsqu'ils tentaient de fuir, par exemple les villes bombardées, ce qui entravait encore davantage la capacité de l'ennemi à déplacer ses troupes là où il en avait besoin.

L'objectif d'un commandant utilisant la tactique de la Blitzkrieg était de percer les lignes ennemies ou de les déborder à l'aide de colonnes blindées à grande vitesse. Ces manœuvres d'encerclement créaient une situation de Kesselschlacht ou "bataille du chaudron". L'infanterie motorisée poursuivait ensuite l'attaque principale en encerclant les parties des lignes ennemies qui n'avaient pas été touchées par les colonnes blindées initiales qui les avaient percées. Le résultat final de la Blitzkrieg était l'anéantissement de la structure de commandement et du soutien logistique de l'ennemi, ce qui entraînait la capitulation totale des forces ennemies.

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Totalitarian Regimes in Europe in 1939
Les régimes totalitaires en Europe en 1939
Simeon Netchev (CC BY-NC-ND)

Les campagnes de Blitzkrieg

Pologne

Bien que les forces allemandes l'aient pratiquée dans une certaine mesure pendant la guerre civile espagnole, c'est lors de l'invasion de la Pologne, en 1939, que l'on vit pour la première fois le terrible potentiel d'anéantissement d'une force ennemie à l'aide de la tactique de la Blitzkrieg. L'Allemagne attaqua la Pologne le 1er septembre et balaya l'armée polonaise. Des avions tels que le chasseur Messerschmitt Bf 109, le bombardier moyen Heinkel He 111 et le bombardier en piqué Junkers Ju 87 "Stuka", qui pouvaient larguer des bombes avec la précision de l'artillerie lourde, furent déployés en grand nombre. Les chars utilisés comprenaient le faible Panzer I, dont la puissance de feu était très limitée, mais aussi le bien meilleur Panzer II, doté d'un canon de 37 mm et d'une mitrailleuse de 7,92 mm. Grâce à la tactique de la Blitzkrieg, la plupart des forces aériennes polonaises furent détruites au sol par les bombardiers allemands. Les bombardiers détruisirent les aérodromes polonais, les routes, les réseaux ferroviaires et toutes les cibles militaires qu'ils purent identifier. Les avions de transport allemands assurèrent le ravitaillement de l'armée en marche. Cracovie fut prise le 6 septembre. Varsovie, la capitale, capitula le 27 septembre. La rapidité de la chute de la Pologne fut extraordinaire. Comme l'indique l'Oxford Companion to World War II:

Le bilan de la campagne de septembre reflète le succès de la doctrine Blitzkrieg. Les pertes allemandes au cours de cette campagne de quatre semaines s'élevaient à moins de 50 000 personnes, dont 8 082 tués, 27 278 blessés et 5 029 disparus. Les pertes polonaises étaient nettement plus élevées: on estime à 70 000 le nombre d'officiers et d'hommes tués et à environ 130 000 le nombre de blessés... Les forces armées polonaises avaient tout simplement succombé face à un ennemi plus nombreux et mieux équipé, qui employait une doctrine militaire nouvelle et meurtrière.

(707-8)

Les Pays-Bas et la France

La tactique de la Blitzkrieg fut à nouveau utilisée avec succès par l'Allemagne lors de la campagne de Norvège en avril 1940 et au Luxembourg, en Belgique et aux Pays-Bas le mois suivant. Ces campagnes impliquaient le parachutage de troupes derrière les lignes ennemies afin de créer le chaos. Une fois de plus, la rapidité de la tactique porta ses fruits puisque les armées s'effondrèrent les unes après les autres.

German Motorised Infantry, 1940
Infanterie motorisée allemande, 1940
Bundesarchiv, Bild 101I-124-0219-20 / Hinz (CC BY-SA)

Vint ensuite le coup le plus dévastateur, la chute de la France. L'armée française disposait de plus de chars que l'armée allemande, et certains d'entre eux étaient même supérieurs, mais la nature concentrée de la tactique de la Blitzkrieg utilisa les blindés allemands de manière beaucoup plus efficace. Les généraux français avaient adopté l'approche inverse et avaient réparti leurs blindés en une longue ligne défensive, trop mince pour faire face à la menace. Les bombardiers moyens de l'armée de l'air allemande frappèrent des cibles stratégiquement importantes derrière les lignes françaises, tandis que les bombardiers en piqué "Stuka" furent utilisés pour soutenir directement l'avancée des blindés et de l'infanterie allemande sur le terrain en attaquant des points forts défensifs situés directement sur leur chemin. L'armée allemande créa la surprise en attaquant à travers les Ardennes, un terrain que l'on croyait inadapté aux véhicules, en contournant la ligne Maginot et en l'attaquant par l'arrière, qui était relativement peu protégé. La rapidité de la victoire allemande surprit même les généraux allemands, mais les ordres d'Hitler de stopper l'avance permirent aux Alliés de mettre à l'abri en Grande-Bretagne quelque 340 000 soldats britanniques, français et alliés lors de l'évacuation de Dunkerque en mai-juin 1940. Paris fut prise le 14 juin. Le gouvernement français s'installa à Bordeaux et se rendit le 22 juin. La défaite catastrophique de la France ne prit que six semaines. Une fois de plus, la Blitzkrieg s'était avérée non seulement efficace, mais aussi rentable pour les attaquants. Comme le souligne à nouveau l'Oxford Companion to World War II :

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La France [a subi] des pertes estimées à 90 000 morts, 200 000 blessés et 1,9 million de prisonniers ou disparus [...] pour un coût de 29 640 morts allemands (armée de terre et armée de l'air confondues) et un nombre total de victimes de 163 213.

(326)

Balkans et Afrique du Nord

La Blitzkrieg fut à nouveau déployée avec succès lors des campagnes allemandes dans les Balkans au printemps 1941. La campagne d'Afrique du Nord était un autre théâtre où ces tactiques furent utilisées. Le commandant allemand Erwin Rommel (1891-1944), vétéran de la bataille de France, utilisa à plusieurs reprises la tactique de la Blitzkrieg, combinant habilement les avions et les chars d'assaut pour faire le poids face à un ennemi bien supérieur en nombre. Les Alliés, du moins pendant les premières années de la guerre du désert, perdirent leur avantage numérique en n'utilisant pas leurs chars de manière concentrée. Rommel était expert dans l'art de s'assurer que ses forces, en particulier son Afrika Korps d'élite entièrement mécanisée, pouvaient attaquer à grande vitesse et aux endroits où l'ennemi s'y attendait le moins, par exemple à travers une zone de terrain difficile ou en déployant les troupes dans un large arc de cercle qui débordait complètement les positions défensives de l'ennemi. Les Alliés subirent plusieurs défaites notables, comme lors de la bataille du col de Kasserine en février 1943, où Rommel lança une attaque surprise classique à travers un terrain difficile en utilisant la tactique de la Blitzkrieg, mais ils finirent par apprendre les avantages de ce nouveau type de guerre et les utilisèrent pour vaincre les armées allemandes et italiennes en Afrique.

German 6th Panzer Division, 1940
6ème Panzerdivision (division blindée allemande), 1940
Imperial War Museums (Public Domain)

Limites: Barbarossa

Lorsque Hitler décida d'attaquer l'URSS dans le cadre de l'opération Barbarossa de juin 1941, la Blitzkrieg s'avéra, après quelques succès initiaux, beaucoup moins efficace à long terme, car les vastes distances à parcourir dans le cadre de cette campagne mirent à rude épreuve la logistique des forces armées allemandes. La vitesse, élément essentiel de la tactique, était compromise et les batailles devinrent beaucoup plus statiques, comme la longue bataille de Stalingrad (1942-1943). Comme en Afrique, les adversaires de l'Allemagne avaient également tiré les leçons des campagnes précédentes de la Seconde Guerre mondiale et répondirent de manière appropriée, même lorsqu'ils étaient en position défensive. La défense acharnée et les contre-attaques répétées des Soviétiques, les lignes de ravitaillement sollicitées à l'excès de l'armée allemande, les pertes irremplaçables en hommes et en matériel, ainsi que les rigueurs de l'hiver eurent raison des envahisseurs. L'armée allemande ne s'empara pas de Moscou, la capitale, comme prévu, et fut obligée de mener une guerre de repli défensive sur le front de l'Est. En bref, "la défaite devant Moscou fut un sérieux revers, un échec incontestable du concept de Blitzkrieg" (Dear, 89).

L'Allemagne finit par perdre la Seconde Guerre mondiale, mais la tactique de la Blitzkrieg fut utilisée dans de nombreuses autres guerres depuis lors, en particulier au Moyen-Orient. La Blitzkrieg est encore utilisée aujourd'hui par les forces armées capables de combiner la puissance aérienne et terrestre pour obtenir un effet concentré où le nombre de personnes et de machines compte beaucoup moins que la manière dont elles sont déployées.

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Questions & Réponses

Qu'est-ce que la tactique Blitzkrieg?

La tactique de la Blitzkrieg implique l'utilisation combinée de l'infanterie, des blindés, de l'artillerie et de l'aviation pour submerger l'ennemi en des points précis, dans le but de gagner la bataille par la vitesse et la surprise, à l'opposé d'une bataille d'usure.

Quand la tactique de la Blitzkrieg fut-elle utilisée pour la première fois?

La tactique de la Blitzkrieg fut utilisée pour la première fois par les forces armées allemandes lors de la guerre civile espagnole (1936-19), puis, à plus grande échelle, au cours des premières années de la Seconde Guerre mondiale (1939-1945).

Traducteur

Babeth Étiève-Cartwright
Babeth s'est consacrée à la traduction après avoir enseigné l'anglais au British Council de Milan. Elle parle couramment le français, l'anglais et l'italien et a 25 ans d'expérience dans le domaine de l'éducation. Elle aime voyager et découvrir l'histoire et le patrimoine d'autres cultures.

Auteur

Mark Cartwright
Mark est un auteur, chercheur, historien et éditeur à plein temps. Il s'intéresse particulièrement à l'art, à l'architecture et à la découverte des idées que toutes les civilisations peuvent nous offrir. Il est titulaire d'un Master en Philosophie politique et est le Directeur de Publication de WHE.

Citer cette ressource

Style APA

Cartwright, M. (2024, novembre 28). Blitzkrieg [Blitzkrieg]. (B. Étiève-Cartwright, Traducteur). World History Encyclopedia. Extrait de https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-23015/blitzkrieg/

Style Chicago

Cartwright, Mark. "Blitzkrieg." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. modifié le novembre 28, 2024. https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-23015/blitzkrieg/.

Style MLA

Cartwright, Mark. "Blitzkrieg." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. World History Encyclopedia, 28 nov. 2024. Web. 18 déc. 2024.

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