Geronimo

Définition

Joshua J. Mark
de , traduit par Babeth Étiève-Cartwright
publié le 27 janvier 2025
Disponible dans ces autres langues: anglais
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Geronimo, Apache Medicine Man and War Chief (by Ben Wittick, Public Domain)
Geronimo, homme-médecine et chef de guerre apache
Ben Wittick (Public Domain)

Geronimo (Goyahkla, c. 1829-1909) était un homme-médecine et un chef de guerre de la tribu Bedonkohe de la nation apache Chiricahua, surtout connu pour sa résistance contre l'empiètement des colons et des forces armées mexicains et euro-américains sur le territoire apache et pour avoir été l'un des derniers chefs autochtones à se rendre au gouvernement des États-Unis.

Pendant les guerres apaches (1849-1886), il s'allia à d'autres chefs tels que Cochise (c. 1805-1874) et Victorio (c. 1825-1880) pour attaquer les forces américaines après que les terres apaches eurent été intégrées aux territoires américains à la suite de la guerre américano-mexicaine (1846-1848). Entre 1850 et 1886, Geronimo mena des raids contre des villages, des avant-postes et des convois de bétail dans le nord du Mexique et le sud-ouest des États-Unis; il frappait souvent avec des bandes de guerriers relativement petites contre des effectifs supérieurs et s'enfuyait à travers les montagnes avant de regagner ses terres natales dans la région de l'Arizona et du Nouveau-Mexique d'aujourd'hui.

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Il se rendit trois fois aux autorités américaines, mais comme les conditions de sa reddition n'étaient pas respectées, il s'échappa de la réserve et recommença à lancer des raids contre les colonies. En 1886, le premier lieutenant Charles B. Gatewood (1853-1896), sous le commandement du général Nelson A. Miles (1839-1925), réussit à le convaincre de se rendre pour de bon. Aucune des conditions stipulées par Miles ne fut respectée, mais à cette époque, Geronimo se sentait trop vieux et trop fatigué pour continuer à courir. La reddition de Geronimo à Gatewood est racontée avec précision, bien qu'avec une certaine licence poétique, dans le film hollywoodien Geronimo (1993).

Geronimo a été emprisonné à Fort Pickens, à Pensacola, en Floride, avant d'être transféré à Fort Sill, en Oklahoma. Vers la fin de sa vie, il fit sensation à l'exposition universelle de Saint-Louis (1904) et à la parade inaugurale du président Theodore Roosevelt (1905), ainsi qu'à d'autres événements. Bien que l'une des stipulations de sa reddition ait été son retour sur ses terres natales en Arizona, il fut retenu comme prisonnier pendant 23 ans avant de mourir en 1909 d'une pneumonie à Fort Sill.

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Nom et jeunesse

Il est possible qu'il ait acquis le nom de Geronimo au cours de ses campagnes contre les troupes mexicaines qui invoquaient saint Jérôme pour qu'il leur vienne en aide.

Son nom apache était Goyahkla ("Celui qui baille") et, selon certains spécialistes, il aurait acquis le nom de Geronimo lors de ses campagnes contre les troupes mexicaines qui invoquaient saint Jérôme (San Jeronimo en espagnol) pour qu'il leur vienne en aide. Il s'agit peut-être de Saint Jérôme Emilien (1486-1537), patron des orphelins et des enfants abandonnés, et non de Saint Jérôme de Stridon (c. 342-420), traducteur de la Bible en Vulgate et patron des traducteurs, des érudits et des bibliothécaires.

Geronimo vit le jour à Turkey Creek, près de la rivière Gila, dans la région aujourd'hui connue sous le nom d'Arizona et de Nouveau-Mexique, vers 1825. Il était le quatrième de huit enfants et avait trois frères et quatre sœurs. Dans son autobiographie, Geronimo: The True Story of America's Most Ferocious Warrior (1906), dictée à S. M. Barrett, Geronimo décrit sa jeunesse:

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Lorsque j'étais enfant, ma mère m'a enseigné les légendes de notre peuple; elle m'a parlé du soleil et du ciel, de la lune et des étoiles, des nuages et des tempêtes. Elle m'a également appris à m'agenouiller et à prier Usen [Dieu] pour obtenir force, santé, sagesse et protection. Nous ne priions jamais contre quelqu'un, mais si nous avions quelque chose à reprocher à quelqu'un, nous nous vengions nous-mêmes. On nous enseignait que l'Usen ne se soucie pas des petites querelles des hommes. Mon père m'avait souvent parlé des exploits de nos guerriers, des plaisirs de la chasse et de la gloire du sentier de la guerre. Avec mes frères et sœurs, je jouais dans la maison de mon père. Parfois, nous jouions à cache-cache entre les rochers et les pins; parfois, nous flânions à l'ombre des peupliers... Quand nous avons été assez grands pour être vraiment utiles, nous sommes allés aux champs avec nos parents, non pas pour jouer, mais pour travailler.

(12)

Après la mort de son père, sa mère ne se remaria pas et Geronimo la prit en charge. En 1846, alors qu'il avait environ 17 ans, il fut admis au Conseil des guerriers, ce qui signifiait qu'il pouvait désormais participer à des groupes de guerre et se marier. Il épousa Alope, de la tribu Nedni-Chiricahua, avec laquelle il aurait trois enfants. Geronimo installa sa famille près du tipi de sa mère et, comme il le dit lui-même, "nous avons suivi les traditions de nos pères et nous avons été heureux. Trois enfants sont venus à nous - des enfants qui jouaient, flânaient et travaillaient comme je l'avais fait" (Barrett, 25). Cette période heureuse de la vie de Geronimo ne durerait cependant pas longtemps.

Le massacre de Kas-Ki-Yeh/Janos et la guerre contre les Mexicains

Bien que Geronimo donne l'année 1858 (Barrett, 29), la plupart des sources s'accordent à dire que c'est probablement en 1850/1851 que la bande de Bedonkohe campa à l'extérieur de la ville mexicaine connue par les Apaches sous le nom de Kas-Ki-Yeh et par les Mexicains sous le nom de Janos. Alors que les Apaches se trouvaient à Janos pour faire du commerce avec les marchands locaux, une compagnie de soldats venus de Sonora attaqua le camp, tuant de nombreuses personnes, dont la mère, la femme et les trois enfants de Geronimo.

Comme toutes les armes qu'ils avaient dans le camp avaient été prises par les soldats, les survivants de Bedonkohe ne purent riposter et rentrèrent chez eux. Geronimo raconte:

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En l'espace de quelques jours, nous sommes arrivés à notre propre campement. Il y avait les décorations qu'Alope avait faites - et les jouets de nos petits. Je les ai tous brûlés, même notre tipi. J'ai également brûlé le tipi de ma mère et détruit tous ses biens. J'avais juré de me venger des soldats mexicains qui m'avaient fait du tort et chaque fois que je m'approchais de la tombe [de mon père] ou que je voyais quelque chose qui me rappelait les jours heureux passés, mon cœur brûlait du désir de me venger du Mexique.

(Barrett, 30)

Après cet événement, Geronimo déclara la guerre aux Mexicains, non pas à l'État du Mexique, mais à tous les Mexicains, soldats ou civils, hommes, femmes et enfants, sans en épargner aucun. On raconte que c'est au cours de ses premières attaques contre les avant-postes mexicains qu'il entendit les soldats appeler San Jerôme à l'aide. D'autres interprétèrent cela comme le fait que les soldats criaient le nom de leur agresseur, et le chef de guerre et guérisseur apache Goyahkla devint Geronimo.

Guerres apaches et campagne de Geronimo

Geronimo ne fut chef (bien qu'il soit souvent désigné comme tel), mais il était d'abord un "homme-médecine", communément appelé chaman, un homme saint qui recevait des visions du monde des esprits, interprétait les rêves et s'était vu accorder une plus grande "médecine" (pouvoir spirituel) que d'autres. On dit qu'il était au courant d'événements survenus à des kilomètres de distance, qu'il comprenait les plans d'un adversaire et qu'il avait des visions de l'avenir. Peu après la mort de sa famille, il devint chef de guerre, un guerrier qui prend le commandement d'un groupe de guerriers avant un conflit armé, mais il ne fut jamais chef, entendu comme le dirigeant général de son peuple. Le chef de Geronimo était Mangas Coloradas ("Manches rouges", c. 1793-1863), qui, avec son conseil des anciens, approuva l'entrée en guerre. Geronimo fut alors nommé chef de guerre du groupe de guerriers qu'il dirigea.

La bande de Geronimo n'épargnait personne dans ses raids.

Au début, ses attaques se concentrèrent sur les communautés et les garnisons mexicaines, mais après 1848, lorsque les terres mexicaines devinrent officiellement des territoires américains, il attaqua également les colonies euro-américaines, les avant-postes, les trains de chariots, les diligences et les convois de bétail. Tout comme ses adversaires mexicains, la bande de Geronimo n'épargnait personne dans ses raids contre les citoyens américains. En 1849, après que Cochise eut déclaré la guerre aux États-Unis, Geronimo participa à des attaques conjointes avec ses guerriers et continua à le faire jusque dans les années 1860.

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Mangas Coloradas et Cochise avaient juré de chasser tous les Blancs du territoire apache mais, en 1863, après que Coloradas eut été à nouveau blessé et qu'il se fut lassé de la guerre, il accepta de négocier la paix avec les autorités américaines. Coloradas arriva au camp du général de brigade Joseph R. West sous un drapeau de trêve, mais il fut arrêté. Il s'échappa en se frayant un chemin hors de la tente, mais il fut repris et exécuté. Cochise, Victorio et Geronimo jurèrent de se venger et la guerre des Apaches se poursuivit avec de nouvelles pertes dans les deux camps.

Le gouvernement américain souhaitait capturer ces trois hommes mais, le nom et la réputation de Geronimo étant devenus si notoires, il concentra ses efforts sur lui dans le cadre de la campagne Geronimo, une entreprise sans espoir dès le départ car Geronimo frappait puis dispersait ses guerriers, se retrouvant ensuite à un point de rendez-vous secret, et il changeait sans cesse l'emplacement de ses camps. Les Autochtones, quelle que soit leur nation ou leur tribu, qui savaient où il se trouvait ne le disaient pas, et même ceux qui n'étaient pas avec lui ne le trahissaient pas. Après l'attaque d'un train et l'exécution des prisonniers, Geronimo raconte:

Quelques jours plus tard, des troupes furent envoyées à notre recherche, mais comme nous étions dispersés, il leur était bien sûr impossible de localiser un quelconque camp hostile. Pendant qu'ils nous cherchaient, beaucoup de nos guerriers (que les soldats prenaient pour des Indiens pacifiques) parlaient aux officiers et aux hommes, leur indiquant où ils pourraient trouver le camp qu'ils cherchaient, et pendant qu'ils cherchaient, nous les observions depuis nos cachettes et nous riions de leurs échecs.

(Barrett, 71)

Le général George R. Crook (1828-1890), chargé de capturer Geronimo, ne se limita pas à envoyer des troupes américaines à ses trousses et employa des éclaireurs apaches et navajos. Vétéran de la Grande Guerre des Sioux (1876-1877), Crook avait conclu, notamment après son expérience de la bataille de Rosebud (juin 1876), que les autochtones étaient plus aptes à combattre d'autres autochtones que n'importe qui d'autre. Crook envoya deux colonnes de troupes américaines, dirigées par des éclaireurs apaches, à la poursuite de Geronimo. Les éclaireurs parvinrent à trouver ses camps, détruisant les provisions, s'emparant des armes et tuant tous ceux qu'ils trouvaient sur place. Au fur et à mesure, Geronimo perdit de plus en plus de guerriers et finit par perdre le soutien de son peuple qui quitta son groupe et retourna dans les réserves.

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Geronimo and His Warriors, 1886
Geronimo et ses guerriers, 1886
C. S. Fly (Public Domain)

Geronimo commença également à perdre son soutien en raison de son refus de se rendre, ce que de nombreux Apaches commencèrent à considérer comme de l'entêtement personnel et non plus dans l'intérêt du bien commun. Geronimo n'était pas d'accord, citant les nombreux cas où le gouvernement américain avait fait des promesses qu'il n'avait pas l'intention de tenir - y compris l'exécution de Coloradas, qui était arrivé sous un drapeau de trêve pour des négociations de paix. Geronimo commente:

Après tous ces problèmes, les Indiens ont accepté de ne plus être amicaux avec les hommes blancs. Il n'y a pas eu d'engagement général, mais une longue lutte s'en est suivie. Parfois nous attaquions les hommes blancs, parfois ils nous attaquaient. Quelques Indiens étaient tués, et puis quelques soldats. Je pense qu'il y a eu à peu près autant de morts de chaque côté. Le nombre de tués au cours de ces troubles n'était pas très élevé, mais cette trahison de la part des soldats avait mis les Indiens en colère et ravivé le souvenir d'autres torts, de sorte que nous n'avons plus jamais fait confiance aux troupes américaines.

(71)

Malgré cela, alors que les éclaireurs apaches continuaient à repérer ses camps, à détruire ses provisions et ses armes, et à tuer ceux qu'ils y trouvaient, de plus en plus de ses partisans l'abandonnèrent. Geronimo finit par accepter de se rendre à Crook mais, après avoir été averti que ce dernier ne respecterait pas les termes de l'accord, il s'enfuit de l'autre côté de la frontière, au Mexique, et s'enfonça dans les montagnes. Crook fut alors remplacé par le général Nelson A. Miles qui, grâce aux efforts du premier lieutenant Charles B. Gatewood, obtint la reddition de Geronimo en 1886.

Capitulation et emprisonnement

Les mêmes éclaireurs apaches qui avaient aidé à faire venir Geronimo, au lieu d'être récompensés, furent alors désarmés, arrêtés et envoyés avec Geronimo et sa bande à Fort Sam Houston à San Antonio, au Texas, puis à Fort Pickens à Pensacola, en Floride. Les femmes et les enfants furent séparés des hommes et envoyés à Fort Marion à Saint Augustine, en Floride. Tous les éclaireurs, dont certains avaient un grade dans l'armée américaine, étaient désormais considérés comme des hostiles à qui l'on ne pouvait pas faire confiance, même si, sans eux, Geronimo aurait probablement échappé à la capture pendant de nombreuses années encore.

Portrait of Geronimo
Portrait de Geronimo
Edward S. Curtis (Public Domain)

Fort Pickens était situé au large de Pensacola, sur l'île de Santa Rosa, et les hommes d'affaires locaux exploitèrent rapidement la présence de "l'infâme Geronimo" et de sa bande d'Apaches pour en faire une attraction touristique. Des nuées de touristes, parfois jusqu'à 400 par jour, payaient pour prendre le bateau jusqu'à l'île et voir les Apaches dans leurs cellules ou dans la cour. Geronimo et d'autres membres de sa bande en profitaient pour demander des cadeaux aux touristes et faire payer les photos. Malgré cela, la plupart du temps, les prisonniers apaches étaient contraints d'effectuer des travaux forcés. Geronimo commente:

Ici [à Fort Pickens], ils m'ont fait scier de gros troncs d'arbre. Il y avait plusieurs autres guerriers apaches avec moi et nous devions tous travailler chaque jour. Pendant près de deux ans, nous avons été astreints à des travaux forcés dans cet endroit, et nous n'avons pas vu nos familles avant mai 1887. Ce traitement constituait une violation directe de notre traité [de reddition].

(Barrett, 101)

La nouvelle que Geronimo et ses hommes avaient été séparés de leurs familles poussa les citoyens à faire pression pour qu'ils soient réunis en 1887. Les femmes et certains enfants furent alors transférés de Fort Marion à Fort Pickens, mais de nombreux enfants avaient déjà été emmenés par les autorités américaines et envoyés à l'école industrielle indienne de Carlisle, en Pennsylvanie, pour y être endoctrinés et intégrés de force. En 1888, alors que la fièvre jaune menaçait Fort Pickens, les Apaches furent transférés à Mount Vernon Barracks à Mobile, en Alabama, où beaucoup moururent de la tuberculose.

Les survivants furent ensuite transférés à Fort Sill, en Oklahoma, malgré les termes de la reddition de Geronimo, qui stipulait qu'il pourrait retourner sur ses terres en Arizona. Selon les autorités militaires américaines, cela était impossible car les autorités civiles de l'Arizona voulaient qu'il soit pendu pour meurtre. Lorsque la réserve indienne de Fort Apache fut créée en Arizona en 1891 - où Geronimo aurait pu vivre hors de portée de ces autorités - il resta détenu à Fort Sill. Il resterait prisonnier du gouvernement américain pendant 23 ans et ne revit jamais sa patrie.

Conclusion

Geronimo fut autorisé à sortir de Fort Sill, sous bonne garde, pour assister à divers événements en tant qu'attraction touristique. Il se rendit à New York pour l'Exposition panaméricaine de 1901 et l'Exposition universelle de Saint-Louis en 1904. La même année, il participa aux spectacles du Far West de Pawnee Bill. Ici, comme à Fort Pickens, Geronimo tirait le meilleur parti de la situation en vendant aux touristes des boutons de son manteau; il achetait ensuite d'autres boutons, les cousait et vendait à nouveau des "boutons officiels" du manteau du "chef indien Geronimo".

Geronimo's Grave at Fort Sill, Oklahoma
Tombe de Geronimo à Fort Sill, Oklahoma
Looper5920 (Public Domain)

En 1905, il participa au défilé d'investiture du président Theodore Roosevelt et, la même année, accorda une interview à S. M. Barrett, qui serait publiée en tant qu'autobiographie en 1906. Il passa une grande partie de sa vie à s'occuper d'un petit terrain à Fort Sill ou à se rendre à ces divers événements sous la garde d'un garde armé. En février 1909, alors qu'il rentrait chez lui après une nuit bien arrosée, il tomba de son cheval ou fut désarçonné et passa la nuit évanoui sur le sol froid. Il mourut le 17 février 1909 d'une pneumonie et ses derniers mots auraient été le regret de s'être rendu aux autorités américaines.

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Questions & Réponses

Qui était Geronimo?

Geronimo était un chef de guerre apache qui vécut vers 1829-1909 et qui devint l'un des plus célèbres résistants autochtones pendant les guerres apaches, menées pour empêcher les États-Unis de s'emparer des terres des Apaches.

D'où vient le nom de Geronimo?

Le nom Apache de Geronimo était Goyahkla ("Celui qui baille"), et on pense qu'il aurait acquis le nom "Geronimo" des soldats mexicains qui invoquaient Saint Jérôme (San Jeronimo) lors des attaques qu'il menait contre eux.

Geronimo était-il un chef apache?

Geronimo n'a jamais été un chef apache. Il était un chef de guerre, c'est-à-dire un chef d'une bande de guerriers lors d'un engagement militaire ou d'un raid spécifique. Il était également considéré comme un homme-médecine doté de pouvoirs prophétiques.

Comment est mort Geronimo?

Geronimo est mort d'une pneumonie en février 1909 à Fort Sill, dans l'Oklahoma, où il était retenu prisonnier.

Traducteur

Babeth Étiève-Cartwright
Babeth s'est consacrée à la traduction après avoir enseigné l'anglais au British Council de Milan. Elle parle couramment le français, l'anglais et l'italien et a 25 ans d'expérience dans le domaine de l'éducation. Elle aime voyager et découvrir l'histoire et le patrimoine d'autres cultures.

Auteur

Joshua J. Mark
Joshua J. Mark est cofondateur et Directeur de Contenu de la World History Encyclopedia. Il était auparavant professeur au Marist College (NY) où il a enseigné l'histoire, la philosophie, la littérature et l'écriture. Il a beaucoup voyagé et a vécu en Grèce et en Allemagne.

Citer cette ressource

Style APA

Mark, J. J. (2025, janvier 27). Geronimo [Geronimo]. (B. Étiève-Cartwright, Traducteur). World History Encyclopedia. Extrait de https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-23956/geronimo/

Style Chicago

Mark, Joshua J.. "Geronimo." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. modifié le janvier 27, 2025. https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-23956/geronimo/.

Style MLA

Mark, Joshua J.. "Geronimo." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. World History Encyclopedia, 27 janv. 2025. Web. 04 févr. 2025.

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