Chiens en Chine Ancienne

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Joshua J. Mark
de , traduit par Babeth Étiève-Cartwright
publié le 31 janvier 2019
Disponible dans ces autres langues: anglais, chinois
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Les chiens sont les plus anciens animaux domestiqués en Chine et étaient élevés pour en faire des gardiens, pour le transport de marchandises, la garde de troupeaux, la chasse et comme source de nourriture. Des preuves archéologiques datent la domestication du chien en Chine d'environ 15 000 ans. Des restes de chiens ont été retrouvés dans des tombes néolithiques et leurs ossements dans des dépôts datant de la même époque.

Dans la Chine ancienne, le chien était toujours considéré comme un animal à vocation utilitaire et non comme un animal de compagnie. Malgré cela, les chiens étaient très appréciés non seulement pour leurs usages pratiques, mais aussi en tant qu'êtres liminaux qui jetaient un pont entre le royaume des vivants et celui des morts, entre le monde des mortels et celui des invisibles. Le folklore chinois met souvent en scène un chien aux qualités transformatrices ou associé au divin, et le chien est le 11e signe du zodiaque chinois.

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Chinese Ceramic Dog
Chien en céramique chinois
Wikipedia User: Rosemania (CC BY)

La grande loyauté du chien est soulignée non seulement dans les contes et légendes, mais aussi dans l'art et l'iconographie protectrice. Les amulettes de jade étaient souvent sculptées en forme de chien et des statues de chiens étaient placées à l'extérieur des maisons, des entreprises et des résidences royales. Le chien fut reconnu très tôt en tant que force protectrice et cette image persiste jusqu'à aujourd'hui, même si les chiens sont aujourd'hui également appréciés en tant qu'animaux de compagnie et membres de la famille.

Les débuts

Le site néolithique du village de Banpo, dans la province de Shaanxi, est l'un des nombreux sites qui témoignent de la domestication précoce du chien. Le village fut occupé entre 4500 et 3750 avant notre ère, et il ne fait aucun doute que les habitants élevaient de nombreux chiens à cette époque. Des ossements de chiens et de porcs ont été trouvés en abondance, et il est possible, voire probable, qu'à cette époque, les chiens étaient déjà associés au monde des esprits. Une image ressemblant à un chien a été trouvée sur des tessons de céramique, ainsi que celle du mythique dragon-cochon (précurseur du célèbre dragon chinois et représentant également la bonne fortune et la protection), ce qui suggère que les villageois reconnaissaient au chien un aspect spirituel important.

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Cependant, le chien était avant tout un outil fonctionnel dans la vie quotidienne du village. La spécialiste Judith M. Treistman écrit:

Le chien était probablement utilisé pour se nourrir et se vêtir, mais surtout pour se déplacer. Dans cette dernière fonction d'animal de trait, qui était également importante pour les tribus ultérieures, le chien faisait partie de la technologie de l'efficacité forestière. (31-32)

Bien que les habitants de Banpo aient été essentiellement végétariens, ils chassaient le gibier et pêchaient dans les eaux avoisinantes. Treistman note que les animaux chassés comprenaient le loup, le putois, le mouton de montagne, le musc, le cerf, le chevreuil, le sanglier, l'élan, la belette et bien d'autres encore. Les chiens étaient utilisés pour ramener les animaux morts au village afin qu'ils soient préparés. Lorsqu'ils devenaient trop vieux pour aider les chasseurs, ils étaient probablement tués eux-mêmes pour leur pelage ainsi que toute autre partie utile de leur corps.

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Banpo Village, Xi'an, China
Village de Banpo, Xi'an, Chine
Ian Armstrong (CC BY-SA)

Ils étaient également tués pour libérer leur esprit à des fins de protection et étaient enterrés devant les maisons, non seulement à Banpo, mais aussi tout au long de l'histoire de la Chine. Les histoires de fantômes constituent la première forme de littérature en Chine et, comme dans pratiquement toutes les cultures anciennes, les Chinois avaient une peur profonde des fantômes. La raison la plus fréquente de la présence d'un fantôme était un mauvais enterrement, et si un fantôme apparaissait, c'était généralement pour cette raison ou parce que la tombe du défunt avait été dérangée. Il existait cependant de nombreuses sortes de fantômes, dont certains étaient simplement des esprits coléreux ou dérangés dont l'intérêt était de posséder une personne ou de lui rendre la vie impossible. Les chiens étant reconnus comme des protecteurs naturels, il est logique qu'ils aient été particulièrement efficaces contre les esprits en tant qu'esprits eux-mêmes.

Les chiens comme défenseurs spirituels

Avec le temps, la pratique des sacrifices de chiens s'estompa et des chiens de paille furent placés devant les portes d'une maison ou d'une ville dans le même but. Cette pratique finit par laisser place à des statues de chiens-lions, généralement en pierre, connues sous le nom de "chiens de Fu" en Occident (fu signifiant Bouddha). Ce concept vit le jour lorsque le bouddhisme arriva en Chine en provenance de l'Inde, accompagné du mythe selon lequel Bouddha traverserait le ciel sur le dos d'un lion. Les Chinois n'avaient jamais vu de vrai lion, mais ils avaient vu le petit chien connu sous le nom de Pékinois. Le Pékinois fut élevé et soigneusement toiletté pour ressembler aux descriptions du lion que les Chinois avaient entendues. La statue du chien-animal en vint à représenter le pouvoir protecteur du Bouddha.

La statue du chien-animal en vint à représenter le pouvoir protecteur du Bouddha.

Les bêtes en pierre, généralement rugissantes et ornées d'un collier orné, avaient la même fonction que le cadavre d'un vrai chien ou d'un chien de paille. La cloche était censée avertir de l'approche d'un esprit, tandis que le collier était gravé de symboles de protection et, souvent, de la tête ou du visage d'une entité spirituelle protectrice. Ils étaient toujours placés par paires; le mâle avait une patte sur une boule ornée, représentant le pouvoir et la domination sur les affaires humaines du monde, tandis que la femelle avait une patte sur un chiot qui semblait gigoter, pour symboliser le contrôle des forces de la nature.

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Le décoration du collier avec des cloches était issu de la pratique consistant à attacher des cloches au collier des chiens, car on croyait que les cloches (ou les carillons) sonnaient en présence d'esprits invisibles. L'association des chiens de Fu est également significative dans la mesure où la femelle représente la force yin et protège les habitants de la maison, tandis que le mâle représente le yang et protège la structure elle-même.

Chinese Lion-Dog
Chien-lion chinois
Ib Aarmo (CC BY-NC-ND)

Cette pratique est encore observée aujourd'hui en Chine et ailleurs, à l'extérieur des établissements appartenant à des Chinois. Il n'est pas rare de voir des statues de lions et de chiens de part et d'autre de la porte d'un restaurant chinois, afin de se protéger des mauvais esprits et des forces obscures. Si l'on s'arrête pour observer attentivement les statues, on constate que le petit sous la patte de la femelle semble être en train de téter. Ce détail provient de l'ancienne croyance selon laquelle les lionnes sécrétaient du lait par les coussinets de leurs pattes. Les chiens-lions ne ressemblent pas tant à des lions ou à des chiens qu'à des créatures mythiques d'un autre monde. Les chiens étaient souvent associés à l'entre-deux qui sépare la vie de la mort, ce qui a contribué à la haute estime dont ils jouissaient, même s'ils continuaient à être utilisés comme source de nourriture.

Les chiens dans le folklore

Les chiens étaient considérés comme si importants qu'on pensait qu'ils méritaient une protection divine pour les services qu'ils rendaient. Un conte populaire raconte l'histoire d'un homme nommé Li, une brute cruelle qui s'en prenait aux animaux sans défense, en particulier aux chiens et aux chats. Un jour, Li reçoit la visite de deux hommes vêtus de robes violettes qui lui annoncent qu'il a été condamné par les dieux de l'au-delà pour les mauvais traitements qu'il avait infligés aux animaux. Li prend leurs commentaires pour une plaisanterie, mais ils produisent alors un document détaillant les plaintes de 460 chiens et chats dans l'au-delà, l'accusant de cruauté dans leur mort.

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Li est jugé coupable de ses crimes et emmené dans l'au-delà pour y être puni. Cette histoire, comme beaucoup d'autres histoires de fantômes de la Chine ancienne, servait à donner une leçon de morale sur la manière dont il fallait se comporter avec les autres, en l'occurrence les animaux, et sur le sort désagréable qui attendait celui qui rompait avec le type de comportement attendu par les dieux.

Traiter les chiens avec respect et rester fidèle à sa parole est l'une des morales du conte de Panhu. Les ethnies chinoises Yao et She considèrent le chien Panhu comme leur ancêtre. Selon leurs légendes, un empereur nommé Ku était en conflit avec un puissant ennemi et promit sa fille en mariage à quiconque lui apporterait la tête de son adversaire. Le chien Panhu atteignit son but et se présenta au palais avec la tête, et c'est à contrecœur que l'empereur lui donna la princesse. La légende se termine par leur disparition dans les montagnes, où Panhu devient un prince humain et la princesse et lui ont beaucoup d'enfants.

Les chiens étaient considérés comme si importants qu'ils méritaient une protection divine pour leurs services.

La nature transformatrice du chien fait partie intégrante d'un autre conte folklorique connu sous le nom de "chien de la lampe". Dans cette histoire, l'intendant d'un riche marchand remarque une lampe brillante qui brille au-dessus de son abri sur la propriété de son maître. La lumière de la lampe semble descendre lentement en une boule scintillante vers le sol où elle se transforme en chien. L'intendant se lève et suit le chien dans le jardin où il le voit se transformer en une belle jeune femme. L'intendant et la dame passent de nombreuses nuits ensemble jusqu'à ce que le maître en entende parler et exige qu'il capture la femme et la lui amène.

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L'intendant ne veut pas trahir son amante, mais craint son maître et tente de la piéger, mais elle disparaît. Des mois plus tard, l'intendant aperçoit sa dame alors qu'il rentre chez lui après une course et elle le conduit dans un champ de sorgho où se dresse un magnifique manoir. Elle lui annonce que leur liaison est terminée à cause de sa trahison, mais qu'elle lui offrira une fête d'adieu. Elle lui prépare un festin et le fait servir par de charmantes servantes. Lorsqu'il a terminé et qu'il rentre chez lui, il se retourne et ne voit qu'un champ de sorgho.

La dame du conte est toujours fidèle à l'intendant, jusqu'à la fin, lorsqu'elle lui prépare le festin, même s'il l'a maltraitée, comme le ferait un chien. La loyauté du chien et les mauvais traitements qu'il a subis sont au cœur de cette histoire, comme le suggère la femme qui se transforme en chien.

Tiangou, the Heavenly Dog
Tiangou, le chien céleste
Yeahsoo (Public Domain)

Le chien fidèle est présent dans de nombreux autres contes, mais il n'est pas toujours perçu comme une présence bénéfique. Le mythe du chien céleste décrit un chien (connu sous le nom de Tiangou, qui signifie littéralement "chien céleste") qui mange le soleil ou la lune pendant une éclipse et qui est responsable des mariages sans enfants. L'expert Edward T. C. Werner écrit :

Le chien est le chien-étoile et si le "destin" de la famille est sous cette étoile, il n'y aura pas de fils ou l'enfant ne vivra pas longtemps. Chang Hsien est le patron des femmes qui portent des enfants et était vénéré par les femmes désireuses d'avoir une descendance. (178)

Chang Hsien est représenté sur des amulettes et des portraits de la dynastie Sung sous la forme d'un homme barbu portant un arc et des flèches levés et se tenant de manière protectrice à côté d'un jeune garçon. Le rôle de Chang Hsien est d'abattre le chien céleste avant qu'il ne cause des problèmes. Les rituels entourant Chang Hsien et Tiangou consistaient notamment à battre les chiens pour chasser l'esprit de Tiangou d'une maison, en particulier si un couple essayait de concevoir un enfant. L'influence spirituelle était considérée comme un facteur majeur dans la conception, comme d'ailleurs dans tous les autres aspects de la vie.

Les chiens et les défunts

Les esprits et le mal qu'ils pouvaient causer préoccupaient beaucoup les habitants de la Chine ancienne, et c'est encore le cas aujourd'hui. La croyance dans les fantômes est si répandue qu'elle affecte même la façon dont les routes sont conçues dans le pays. On croit que les fantômes ne peuvent marcher qu'en ligne droite et les routes sont donc spécialement conçues pour faire des courbes et se déporter afin que certains types d'esprits ne puissent pas suivre quelqu'un chez lui.

Le collier de chien fut également influencé par cette croyance dans les fantômes et leur mode de déplacement. De petites cloches étaient attachées aux colliers des chiens, comme c'est encore le cas aujourd'hui sur les colliers des Shih Tzu, afin d'effrayer les esprits. Avec le temps, les mères attachaient des colliers de chien à leurs enfants avec ce même type de clochettes pour les protéger des esprits invisibles; un fantôme entendait les cloches, pensait que l'enfant était un chien et il faisait demi-tour. Comme un fantôme ne pouvait marcher qu'en ligne droite, on supposait qu'il ne reviendrait pas sur ses pas et que l'enfant serait en sécurité.

Cette croyance dans les fantômes naquit de l'idée que les morts continuent d'exister après la vie et qu'ils peuvent aider les vivants (sous la forme de leurs ancêtres) ou leur causer du tort (sous la forme d'esprits agités ou d'esprits qui s'estiment blessés ou déshonorés par les vivants). Les fantômes étaient des forces puissantes qui pouvaient facilement ruiner la vie de quelqu'un si des précautions n'étaient pas prises, et l'une des défenses les plus efficaces était le chien. Treistman commente les pratiques funéraires chinoises et l'importance du chien:

Ceux qui portaient le prestige de la lignée - et, peut-être au début, ceux qui avaient acquis une reconnaissance spéciale en tant que chefs de raids et de guerre - étaient enterrés dans de grandes chambres funéraires, toujours accompagnés d'un chien (132).

Le chien servait son maître dans l'au-delà comme il l'avait fait sur terre en le protégeant contre les mauvais esprits et les fantômes. Dans l'au-delà chinois, l'âme traversait un pont vers l'autre monde et elle entrait au paradis pour retrouver ses ancêtres ou, si elle n'en était pas digne, tombait du pont dans l'abîme d'une sorte d'enfer. Dans certaines versions du conte, on pensait que le chien accompagnait son maître et lui servait à la fois de guide et de protecteur. La bonne nature et la loyauté du chien le réconfortaient dans son dernier voyage, mais c'est aussi à cause de ces qualités qu'il faillit être exclu des animaux du zodiaque chinois.

Le chien dans le zodiaque

Le chien est le 11e signe du zodiaque chinois et l'un des plus populaires. Selon le récit La grande course, qui explique la naissance du zodiaque, l'empereur de Jade proclama qu'il y aurait un concours et que les douze premiers animaux à franchir la ligne d'arrivée seraient récompensés par une place dans le ciel nocturne. Dix animaux avaient déjà dépassé l'empereur de Jade qui les attendait lorsque le chien passa enfin en gambadant. L'Empereur de Jade l'arrêta et lui demanda pourquoi il était si en retard alors qu'il courait toujours si vite. Le chien expliqua qu'en chemin il avait rencontré des amis qu'il avait dû saluer et avec lesquels il avait dû jouer sans jamais perdre de vue l'endroit où il avait été appelé se rendre.

Chinese Zodiac
Zodiaque chinois
reibai (CC BY)

Dans une autre version de l'histoire du zodiaque, le chien se trouve dans un pays lointain où il combat des esprits maléfiques, ce qui l'empêche de franchir la ligne d'arrivée en temps voulu. Les deux versions de l'histoire évoquent le caractère ludique, amical, loyal et protecteur du chien. Les personnes nées sous le signe du chien sont considérées honnêtes, sincères, loyales, énergiques et intelligentes. Selon l'astrologie chinoise, leurs heures les plus productives se situent entre 19 et 21 heures et, dans la dichotomie yin-yang, elles sont yang. Leur chaleur et leur loyauté font qu'elles ont de nombreux amis, et ces personnes sont généralement prospères et heureuses.

Conclusion

Le chien et la croyance de longue date en des entités surnaturelles sont au cœur d'une cérémonie chinoise annuelle connue sous le nom de "Journée de balayage des tombes", qui a lieu autour du 4 avril pendant le festival Qingming. Les gens se rendent sur les tombes de leurs proches et y apportent des cadeaux, s'assurent que les tombes sont bien entretenues et parlent avec les morts. Le jour du balayage des tombes ne concerne pas seulement les tombes des êtres humains, mais aussi celles des animaux domestiques.

Les tombes des chiens, en particulier, sont honorées pendant la fête de Qingming, et les cimetières pour animaux de compagnie sont de plus en plus populaires. Depuis les années 1950 jusqu'aux années 1980, il était illégal de posséder un chien à Pékin, car cela était considéré comme un gaspillage frivole de ressources, mais le gouvernement chinois a assoupli cette règle, et de plus en plus de personnes en Chine possèdent aujourd'hui des chiens et dépensent des sommes considérables pour acheter et entretenir leurs tombes une fois qu'ils sont décédés.

Les gens visitent ces cimetières le jour du balayage des tombes et laissent leurs jouets préférés, de la nourriture et d'autres objets en guise de cadeaux pour leurs chiens, comme les Chinois l'ont fait pendant des siècles pour leurs ancêtres. La vision chinoise du chien comme ressource, plutôt que comme animal de compagnie, semble avoir changé radicalement depuis les temps anciens, mais, comme nous l'avons vu, le chien a toujours été plus important pour la culture chinoise que beaucoup ne l'admettent.

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Traducteur

Babeth Étiève-Cartwright
Babeth s'est consacrée à la traduction après avoir enseigné l'anglais au British Council de Milan. Elle parle couramment le français, l'anglais et l'italien et a 25 ans d'expérience dans le domaine de l'éducation. Elle aime voyager et découvrir l'histoire et le patrimoine d'autres cultures.

Auteur

Joshua J. Mark
Joshua J. Mark est cofondateur et Directeur de Contenu de la World History Encyclopedia. Il était auparavant professeur au Marist College (NY) où il a enseigné l'histoire, la philosophie, la littérature et l'écriture. Il a beaucoup voyagé et a vécu en Grèce et en Allemagne.

Citer cette ressource

Style APA

Mark, J. J. (2019, janvier 31). Chiens en Chine Ancienne [Dogs in Ancient China]. (B. Étiève-Cartwright, Traducteur). World History Encyclopedia. Extrait de https://www.worldhistory.org/trans/fr/2-1327/chiens-en-chine-ancienne/

Style Chicago

Mark, Joshua J.. "Chiens en Chine Ancienne." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. modifié le janvier 31, 2019. https://www.worldhistory.org/trans/fr/2-1327/chiens-en-chine-ancienne/.

Style MLA

Mark, Joshua J.. "Chiens en Chine Ancienne." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. World History Encyclopedia, 31 janv. 2019. Web. 20 nov. 2024.

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