Retables de la Renaissance

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Mark Cartwright
de , traduit par Babeth Étiève-Cartwright
publié le 26 novembre 2021
Disponible dans ces autres langues: anglais, néerlandais, espagnol
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À la Renaissance (1400-1600), presque tous les artistes de valeur se virent confier, à un moment ou à un autre de leur carrière, la réalisation d'un retable. Certains des plus grands noms de l'art européen furent ainsi sollicités, de Jan van Eyck au Titien. Conçus pour être placés derrière ou sur les autels des églises, les retables pouvaient être composés de panneaux peints, de sculptures ou des deux. Certaines de ces œuvres étaient si spectaculaires qu'elles restaient fermées, voire cachées, pendant la majeure partie de l'année, pour n'être dévoilées qu'à des occasions très spéciales, comme Pâques et Noël.

Altarpiece of the Death of the Virgin, Krakow
Retable de la Mort de la Vierge, Cracovie
Hans A. Rosbach (CC BY-SA)

Fonction

Les retables étaient conçus pour remplir plusieurs fonctions et étaient généralement placés sur ou à l'arrière de l'autel de l'église, la table consacrée que les prêtres utilisent pour placer les objets utilisés lors d'un service particulier. De nombreuses églises possédaient des autels secondaires sur les côtés de l'église ou dans des niches, et ceux-ci étaient souvent dotés d'un retable. Les retables de l'autel principal étaient le point central de la messe ou de l'office, destinés à attirer l'attention de l'assemblée sur le centre de l'activité rituelle, en particulier lorsque le prêtre tournait le dos à l'assemblée. Les retables pouvaient également rappeler la dédicace de l'autel en montrant une représentation du saint concerné ou une scène clé de la Bible, et ils encourageaient la prière et la contemplation. D'autres images pouvaient rappeler le fondateur de l'autel ou un personnage important enterré à proximité dans l'église. Comme les églises possédaient souvent plusieurs retables, ceux-ci étaient généralement utilisés à tour de rôle, leur sujet artistique particulier étant adapté à l'office.

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Les retables et autres œuvres peintes ou sculptées dans une église étaient généralement recouverts pendant le carême, ce qui constituait un autre avantage pour les versions pliantes.

Alors que les retables italiens étaient souvent des façades monumentales avec des éléments architecturaux tels que des colonnes (voir le retable du monastère de San Zeno à Vérone en 1456 par Andrea Mantegna, par exemple), en Europe du Nord, en particulier, les retables pliants étaient très populaires car ils pouvaient être fermés en repliant les volets de chaque côté. Cette disposition avait deux fonctions: d'une part, elle permettait de révéler au public les images principales de manière spectaculaire; d'autre part, la fermeture des battants permettait de mieux protéger les œuvres d'art peintes à l'intérieur. Les peintures à l'huile et leurs coûteux pigments brillants étaient particulièrement menacés par la lumière du soleil, la fumée des bougies et les environnements potentiellement humides. Il est intéressant de noter le nombre relativement élevé de petits dommages à l'extérieur des retables par rapport à leur intérieur, ce qui suggère qu'ils étaient le plus souvent gardés fermés. Cette précaution est également mentionnée dans des instructions spécifiques pour les églises, comme celle-ci d'Andreas Stoss, le prieur de la maison carmélitaine de Nuremberg:

Le retable ne doit être ouvert que lors des fêtes de la Nativité, de Pâques, de la Pentecôte et des deux jours suivants, de l'Ascension, de la Trinité, de la Toussaint, de l'Épiphanie, de la Fête-Dieu, de la dédicace de l'église du couvent et de toutes les fêtes de la Bienheureuse Vierge Marie. Le jour d'une fête, il doit être fermé immédiatement après les deuxièmes vêpres. Deux fois par an, il doit être nettoyé. Il ne doit pas y avoir de grandes lumières sur l'autel, à cause de la fumée, deux petites bougies murales suffisent et toutes les autres doivent être placées loin de l'autel.

(Nash, 229)

James IV of Scotland Kneeling in Prayer
Jacques IV d'Écosse agenouillé en prière
Unknown Artist (Public Domain)

Les prières étaient formulées par les fidèles devant les retables, une action que l'on retrouve parfois dans d'autres œuvres d'art, en particulier chez les souverains désireux de se montrer pieux comme il se doit. Un excellent exemple est une illustration sur parchemin datant d'environ 1502 montrant Jacques IV d'Écosse (r. de 1488 à 1513) agenouillé en prière devant un retable représentant le Salvator Mundi. Des fidèles plus modestes pouvaient visiter une église lorsqu'il n'y avait pas d'office et prier devant le retable, qui pouvait être conservé dans une chapelle latérale.

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Les retables et autres œuvres peintes ou sculptées dans une église étaient généralement recouverts pendant le carême, ce qui constituait un autre avantage pour les versions pliantes. Certaines églises pouvaient également couvrir leurs retables et ne les dévoiler qu'à l'occasion de fêtes ou d'offices spécifiques. Les retables à panneaux multiples pouvaient n'être ouverts qu'en partie pour certains services et il était donc très rare de les voir entièrement ouverts. Ce n'est que lors d'une occasion très spéciale, comme un service de Noël ou de Pâques, que tous les retables de l'église étaient placés à l'intérieur, découverts et entièrement ouverts en même temps, offrant aux fidèles un rare plaisir visuel avec des pigments à l'huile brillants et des dorures étincelantes, ajoutant à l'air festif de l'occasion. Parfois, les retables "cachés" pouvaient être vus en privé moyennant le paiement d'un droit, comme le fit Albrecht Dürer (1471-1528) lors de sa tournée des églises des Pays-Bas en 1521.

Conception et matériaux

Les retables pouvaient prendre plusieurs formes et utiliser différents matériaux, bien que le bois doré ou l'albâtre aient été les plus courants à la Renaissance. De nombreuses essences de bois pouvaient être utilisées, comme le tilleul, le chêne, le pin et le noyer. Les sculptures en bois étaient recouvertes d'une couche de craie et de colle afin que la couche suivante, la peinture, ne pénètre pas dans le bois. Les parties destinées à être dorées étaient d'abord peintes avec du bol d'Arménie (alias bolus), un matériau rouge qui rendait les feuilles d'or plus brillantes. La feuille d'or était ensuite polie ou de petites zones étaient peintes et rayées pour révéler l'or sous-jacent. Les panneaux peints étaient réalisés à la détrempe ou, plus couramment dans le nord de l'Europe, à la peinture à l'huile.

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Closed View of the Ghent Altarpiece
Vue fermée du retable de Gand
Flanderstoday.eu (Public Domain)

Les diptyques comportent deux panneaux peints ou sculptés (en haut-relief ou en ronde-bosse), et les triptyques trois panneaux articulés. Le panneau central d'un triptyque est souvent plus grand (mais pas toujours) et il peut être protégé en repliant le panneau de chaque côté devant lui. À la Renaissance, la forme du polyptyque était très populaire, c'est-à-dire un retable comportant beaucoup plus de trois panneaux, parfois jusqu'à 20. Les cadres de ces panneaux sont parfois très simples, parfois dorés et très décoratifs et, à d'autres occasions, ils sont même conçus pour ressembler à des éléments architecturaux de l'église elle-même. Les retables peuvent combiner la peinture et la sculpture, la peinture apparaissant souvent sur les panneaux extérieurs et fermés, tandis que la sculpture se trouve dans l'espace central.

Les panneaux centraux sont généralement plus richement décorés et présentent une scène narrative plus complexe que les panneaux extérieurs. Lorsqu'ils sont fermés, de nombreux retables ne présentent que deux panneaux, et ceux-ci sont souvent ornés de peintures représentant des sculptures en pierre à l'aide d'une gamme limitée de couleurs, souvent des nuances de gris (technique connue sous le nom de grisaille).

Mérode Altarpiece
Retable de Mérode
Metropolitan Museum of Art (Copyright)

Les retables plus tardifs, notamment en Italie, pouvaient être composés uniquement de sculptures sur pied. Ces figures étaient souvent conçues pour être déplacées lors de certains offices et possédaient donc des roues, voire des membres articulés. Vers la fin de la Renaissance, une grande toile unique commença à prendre la place des retables tridimensionnels.

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Les retables présentent souvent des histoires complexes qui se prêtent à une narration visuelle sur plusieurs panneaux.

Des retables plus petits étaient réalisés pour les chapelles privées de personnes fortunées, et ils pouvaient être fabriqués dans des matériaux précieux tels que l'ivoire. L'exemple le plus célèbre d'un petit retable destiné à un usage privé est sans doute le triptyque Mérode de Robert Campin, réalisé vers 1425. Aujourd'hui conservé au Metropolitan Museum of Art de New York, il mesure 118 x 65 cm (46 x 25 pouces) et représente l'Annonciation dans une intéressante tentative de perspective spatiale.

Sujets traités

Les peintures ou les sculptures en relief d'un retable illustrent généralement un thème spécifique. Plusieurs panneaux permettent de raconter une histoire en utilisant uniquement des images, par exemple les événements clés de la vie d'un saint. Les thèmes les plus courants sont l'Annonciation, la Nativité de Jésus, la Vierge Marie entourée de saints, la Cène et la Crucifixion. Il peut également s'agir de sujets plus obscurs, souvent des histoires complexes qui se prêtent à une narration visuelle sur plusieurs panneaux. La Profanation de l'hostie (vers 1468) de Paolo Ucello (1397-1475), composée de six panneaux, aujourd'hui conservée à la Galleria Nazionale delle Marche à Urbino, en est un exemple. Les panneaux racontent l'histoire d'une femme qui vole une hostie consacrée afin de rembourser un prêt à un usurier juif. Les autorités découvrent cet acte sacrilège et les arrêtent tous les deux. La femme est pendue tandis que l'usurier est brûlé sur le bûcher.

San Zeno Altarpiece by Mantegna
Retable San Zeno de Mantegna
Web Gallery of Art (Public Domain)

Les retables à plusieurs panneaux laissaient de la place non seulement aux figures religieuses centrales, mais aussi à ceux qui avaient peut-être commandé l'œuvre ou joué un rôle important dans la fondation de l'église. Ces simples mortels pouvaient être représentés dans les coulisses, à une distance respectueuse des figures sacrées. Parfois, les artistes eux-mêmes apparaissent en tant que personnages d'une scène mineure.

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Enfin, bien que les retables, en tant que genre, aient été soumis à certaines contraintes quant aux attentes du commanditaire, de l'église et du public, les panneaux peints, en particulier, offraient aux artistes de la Renaissance l'occasion d'exprimer leur talent et leur passion pour certains des thèmes qui définissent cette période de l'histoire de l'art. Par conséquent, nous pouvons voir dans de nombreux retables des scènes qui célèbrent la forme et les proportions du corps humain, capturent des postures dramatiques, jouent avec la perspective, réinventent l'iconographie traditionnelle et suscitent une forte réaction émotionnelle de la part du public.

Quelques chefs-d'œuvre

Le retable de Saint Wolfgang

Le grand retable de l'église Saint Wolfgang à Salzkammergut, en Autriche, fut achevé en 1481. Conçu par Michael Pacher (1430-1498), il est fait de bois de pin et d'épicéa, richement peint et doré. Il s'agit d'un excellent exemple de retable dont les panneaux peints frontaux s'ouvrent sur une vaste collection de sculptures centrales. Tant les peintures que les sculptures sont placées dans des scènes architecturales impressionnantes. Ouvert, le retable mesure 10,88 x 6,60 mètres (environ 35 x 21 pieds). Une technique de Pacher consistait à utiliser du blanc pour faire ressortir les figures centrales dans ses panneaux peints et sculptés.

St. Wolfgang Altarpiece
Retable de Saint Wolfgang
Bede735 (CC BY-SA)

Retable de la mort de la Vierge, Cracovie

Le retable de 1489 de Veit Stoss dans la basilique Sainte-Marie de Cracovie, en Pologne, est un excellent exemple de la monumentalité de l'idée des panneaux de fermeture. Les deux immenses portes, qui présentent chacune trois grands panneaux peints, peuvent être ouvertes pour révéler un ensemble de figures sculptées richement dorées. L'œuvre mesure 13 mètres de haut (plus de 42 pieds), et les figures centrales mesurent 2,7 mètres (12 pieds). Les panneaux montrent des scènes de la vie de Marie et de Jésus, tandis que le groupe central de figures représente Marie avec les 12 apôtres.

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Retable du Saint-Sang, Rothenburg

Le retable du Saint-Sang de l'église Saint-Jacques de Rothenburg, en Allemagne, fut réalisé par Tilman Riemenschneider (vers 1460-1531). Achevé en 1505 et très orné, il est réalisé en bois de tilleul vernissé, les détails tels que les yeux, les lèvres et le sang n'étant colorés que par petites touches. Il fut conçu pour mettre en valeur la chapelle qui contenait une sainte relique du sang de Jésus-Christ. Le panneau central représente la dernière Cène, le panneau gauche l'entrée à Jérusalem et le panneau droit une scène avec Judas. Le retable était destiné à être admiré des deux côtés, car l'arrière comporte des fenêtres de chapelle ornées qui permettent d'éclairer les personnages de l'autre côté par l'arrière, ce qui compense quelque peu l'absence de couleur et aide à distinguer les personnages vus de loin.

Altarpiece of the Holy Blood, Rothenburg
Retable du Saint-Sang, Rothenburg
Berthold Werner (Public Domain)

Le retable de San Zaccaria de Bellini

Giovanni Bellini (c. 1430-1516) reçut plusieurs commandes de retables à Venise, mais le plus célèbre d'entre eux se trouve aujourd'hui dans l'église de San Zaccaria. Achevé vers 1505, il s'agit d'une œuvre curieusement pieuse et sereine qui reprend le thème de la sacra conversazione, à savoir la Vierge et l'Enfant entourés de saints et de bienfaiteurs. Les panneaux de l'autel mesurent plusieurs mètres de haut et sont encadrés de manière élaborée pour imiter les développements architecturaux contemporains. Ce sont des œuvres beaucoup plus grandes que celles des retables du nord de l'Europe.

Le panneau central, haut de 5 mètres, présente un arrière-plan architectural symétrique, curieusement ouvert sur les côtés à un paysage d'arbres. Le nombre réduit de personnages par rapport à la tradition dans ce genre de scènes, ainsi que la disposition et l'attitude de ces personnages, qui regardent tous vers le bas, produisent un effet apaisant. Il y a aussi de petites astuces de perspective qui semblent donner aux personnages plus d'espace pour exister. Ces techniques comprennent les colonnes derrière les colonnes, le sol en damier et le plafond en dôme. Malgré la tranquillité de la scène, Bellini n'a pas négligé son amour de la couleur, comme en témoignent les robes vibrantes de bleu, de rouge, de jaune et de vert.

San Zaccaria Altarpiece by Giovanni Bellini
Retable San Zaccaria de Giovanni Bellini
Didier Descouens (Public Domain)

Le retable de Gand

Le plus célèbre des retables de la Renaissance est L'adoration de l'agneau mystique, plus connu sous le nom de Retable de Gand. Son nom populaire provient de son emplacement, la cathédrale Saint-Bavon de Gand, en Belgique. L'œuvre fut créée en 1432 et est généralement attribuée à Jan van Eyck (c. 1390-1441). Elle porte cependant une inscription qui indique: "Le peintre Hubert van Eyck, plus grand que personne, a commencé [cette œuvre] et Jan, son frère, second dans l'art, l'a achevée. L'authenticité de cette inscription, qui est en fait une transcription du XVIe siècle de la (possible) version originale, a été remise en question par certains historiens de l'art et linguistes. Le débat n'a pas encore été tranché quant à l'identité de l'auteur du tableau et à ses différentes parties.

Le retable est composé de 12 panneaux encadrés et peints des deux côtés (huile sur chêne). Ouvert, le retable mesure 5,2 x 3,75 mètres. À l'origine, il devait se trouver dans ce qui était alors la chapelle Vijd de l'église Saint-Jean-Baptiste, devenue depuis la cathédrale Saint-Bavon. L'œuvre fut commandée par Jodocus Vijd, qui apparaît dans le panneau inférieur gauche lorsque l'œuvre est fermée; son épouse, Elizabeth Borluut, apparaît dans le panneau inférieur droit. Les autres panneaux du revers ou de la face extérieure montrent une scène d'Annonciation avec deux prophètes, les deux saints Jean (peints de façon magistrale pour ressembler à des sculptures), deux sibylles, l'archange Gabriel et la Vierge Marie. Mais c'est sur l'autre face que se trouvent les panneaux vedettes.

The Ghent Altarpiece by Jan van Eyck
Le retable de Gand de Jan van Eyck
Web Gallery of Art (Public Domain)

Le panneau central intérieur inférieur donne son nom à l'œuvre et montre une foule adorant un agneau, symbole de Jésus-Christ et de son sacrifice lors de la crucifixion, L'adoration de l'agneau de Dieu par les élus. Les panneaux supérieurs montrent Dieu trônant entre la Vierge et saint Jean-Baptiste, ainsi que divers anges. Les panneaux de l'aile gauche montrent un Adam nu, des anges qui chantent et des chevaliers, tandis que l'aile opposée présente Ève, des joueurs d'orgue et des saints ermites et pèlerins. Le thème principal semble être la rédemption de l'humanité.

Les personnages de ces scènes souvent complexes ont une apparence tridimensionnelle réaliste grâce à des effets de coloration et d'ombrage. Les personnages sont dotés de détails hyperréalistes, comme l'anxiété évidente d'Adam dans le panneau à l'extrême gauche. Les scènes sont toutes colorées comme des joyaux et simulées à l'aide de feuilles d'or, ce qui les aurait fait briller dans la pénombre de l'autel de l'église.

Le retable fut menacé à de nombreuses reprises, par des extrémistes calvinistes au XVIe siècle et par les troupes allemandes au XXe siècle. Volé pendant la Seconde Guerre mondiale, le retable fut sauvé de sa cachette dans une mine de sel autrichienne. Dans les années 1940, il fut la première œuvre d'art de la Renaissance à faire l'objet d'une analyse scientifique détaillée. Aujourd'hui, il est de retour dans la cathédrale Saint-Bavon, mais pas dans sa position d'origine. La survie miraculeuse du retable de Gand et de bien d'autres œuvres similaires témoigne peut-être avant tout de leur valeur artistique, appréciée non seulement par les fidèles et les amateurs d'art, mais aussi par les réformateurs et les pilleurs.

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Traducteur

Babeth Étiève-Cartwright
Babeth s'est consacrée à la traduction après avoir enseigné l'anglais au British Council de Milan. Elle parle couramment le français, l'anglais et l'italien et a 25 ans d'expérience dans le domaine de l'éducation. Elle aime voyager et découvrir l'histoire et le patrimoine d'autres cultures.

Auteur

Mark Cartwright
Mark est un auteur, chercheur, historien et éditeur à plein temps. Il s'intéresse particulièrement à l'art, à l'architecture et à la découverte des idées que toutes les civilisations peuvent nous offrir. Il est titulaire d'un Master en Philosophie politique et est le Directeur de Publication de WHE.

Citer cette ressource

Style APA

Cartwright, M. (2021, novembre 26). Retables de la Renaissance [Renaissance Altarpieces]. (B. Étiève-Cartwright, Traducteur). World History Encyclopedia. Extrait de https://www.worldhistory.org/trans/fr/2-1889/retables-de-la-renaissance/

Style Chicago

Cartwright, Mark. "Retables de la Renaissance." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. modifié le novembre 26, 2021. https://www.worldhistory.org/trans/fr/2-1889/retables-de-la-renaissance/.

Style MLA

Cartwright, Mark. "Retables de la Renaissance." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. World History Encyclopedia, 26 nov. 2021. Web. 21 janv. 2025.

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