Retraite de Kaboul de 1842

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Mark Cartwright
de , traduit par Babeth Étiève-Cartwright
publié le 13 janvier 2023
Disponible dans ces autres langues: anglais
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La retraite de Kaboul de 1842 fut l'un des désastres les plus notoires de l'histoire de l'Empire britannique. Une armée de la Compagnie des Indes orientales avait envahi l'Afghanistan mais fut obligée de se retirer. Cette armée de 4 500 soldats et de 12 000 partisans fut totalement détruite avant d'atteindre la frontière, et cette débâcle condamna la Grande-Bretagne à la défaite lors de la première guerre anglo-afghane (1838-42).

Remnants of an Army by Thompson
Les vestiges d'une armée par Thompson
Tate Britain (Public Domain)

L'Afghanistan et le Grand Jeu

Dans la première moitié du XIXe siècle, le gouvernement britannique était devenu obsédé par l'idée que la Russie nourrissait des intentions dangereuses à l'égard de son empire dans le sous-continent. L'Empire russe cherchait en effet à étendre son influence au-delà de l'Asie centrale par le biais de son État client, la Perse, mais la question de savoir s'il souhaitait réellement envahir l'Inde est très controversée. L'Afghanistan, situé entre la Perse et l'Inde britannique, devint un pion dans ce que l'on a appelé le Grand Jeu entre la Grande-Bretagne et la Russie. Les deux parties tentaient d'exercer une influence sur l'émirat d'Afghanistan sans provoquer leur rival dans un conflit direct. En 1838, les Britanniques étaient convaincus que la Russie avait l'intention de s'emparer de l'Afghanistan et de la route commerciale cruciale du passe de Khyber. Par conséquent, le gouverneur général de l'EIC, Lord Aukland (1784-1849), annonça son intention d'envahir l'Afghanistan, de destituer l'émir Dost Mohammad (1793-1863) et d'établir un dirigeant fantoche favorable aux Britanniques, Shah Shuja, l'ancien roi d'Afghanistan (r. de 1803 à 1809). Ainsi commença la première guerre anglo-afghane.

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Les Britanniques surestimèrent fortement le soutien local dont bénéficiait Shah Shuja et le nouveau régime était loin d'être populaire.

Une armée britannique de 21 000 hommes marcha sur l'Afghanistan, mais en l'absence d'une opposition unifiée des différents chefs tribaux afghans, la logistique s'avéra être la plus grande menace pour les envahisseurs. En juillet 1839, la forteresse de Ghazni fut prise, ainsi que des produits indispensables. L'armée de l'EIC réussit ensuite à prendre Kaboul en août, mais les Britanniques avaient fortement surestimé le soutien local à Shah Shuja et le nouveau régime était loin d'être populaire.

Les occupants britanniques tentèrent d'utiliser des pots-de-vin pour exploiter les factions séculaires entre les différentes tribus afghanes, ce qui s'avéra inefficace à long terme. Le coup d'État militaire et l'occupation qui s'ensuivit, l'impopularité de Shah Shuja, les réformes d'Aukland en Afghanistan, comme la décision de réduire les subventions versées aux tribus locales, et la colère suscitée par la fraternisation entre les soldats britanniques et les femmes afghanes, tout cela se combina pour créer les conditions instables qui conduisirent à un soulèvement populaire et à une guerre totale en 1841. Les chefs tribaux afghans n'étaient toujours pas unis, mais ils avaient au moins un objectif commun : chasser les Britanniques d'Afghanistan.

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The Khyber Pass by Rattray
Le passe de Khyber par Rattay
James Rattray (Public Domain)

Crise

La crise survint en novembre 1841 lorsqu'une foule assassina Alexander Burnes, un important responsable politique de l'East India Company. L'agitation s'étendit rapidement aux garnisons britanniques périphériques. À Kaboul, l'absence de réponse décisive du commandant britannique, le major-général William Elphinstone (1782-1842), aux troubles ne fit qu'aggraver la situation, car de plus en plus de chefs tribaux prirent confiance et entrèrent en lice. L'armée de l'EIC campait en permanence à l'extérieur de Kaboul, mais ses défenses étaient médiocres et vulnérables aux canons et aux tireurs d'élite afghans cachés dans les collines surplombant le camp. Le nombre d'Afghans dans les collines augmentait de jour en jour à mesure que les soldats arrivaient à Kaboul depuis les villes périphériques. Une évasion des Britanniques de leur camp fut facilement repoussée sous un feu nourri.

L'hiver fut rude et il neigea abondamment à Kaboul et dans les cols.

Les Britanniques aggravèrent la situation en commettant une série de bévues et en communiquant mal entre officiers. La décision la plus grave fut de stocker toutes les provisions de l'armée dans le même fort, qui fut ensuite capturé par les Afghans. À court de munitions et de nourriture (trois jours de rations seulement), avec 600 hommes malades et blessés, et avec peu de chances qu'une colonne de secours de l'EIC ne leur vienne en aide depuis l'Inde, l'armée britannique fut contrainte de négocier un retrait de Kaboul en décembre. Certains dirigeants afghans voulaient que les Britanniques déposent complètement les armes avant de quitter la ville. Pendant ces négociations, le 23 décembre, Sir William Macnaughten (1793-1841), l'envoyé de l'EIC à Kaboul, fut assassiné par Akbar Khan (1816-1845), le fils de Dost Mohammad. Akbar Khan avait piégé Macnaughten et voulait seulement lui faire payer son double jeu et ses tentatives de corruption des dirigeants afghans. Macnaughten fut abattu avec le pistolet qu'il venait de présenter à Akbar Khan. Il est clair que la position britannique était désespérée. Pour ajouter à leurs malheurs, l'hiver était rude, et une neige abondante tomba à Kaboul et dans les cols que l'armée de l'EIC devait négocier pour atteindre la sécurité de l'Inde.

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Le 1er janvier 1842, les dirigeants afghans acceptèrent de permettre un retrait pacifique de l'armée britannique et de ses préposés du territoire afghan. Les autres garnisons britanniques, outre Kaboul, devaient également être abandonnées. Pour garantir un retrait pacifique, quatre officiers britanniques furent pris en otage. Une autre référence à la paix et à "l'amitié et la bonne volonté" était explicitement mentionnée dans l'accord de retrait écrit. Ces beaux sentiments ne furent aucunement respectés de part et d'autre lors des événements qui suivirent.

British Conquest in India c. 1857
Conquête britannique en Inde vers 1857
Simeon Netchev (CC BY-NC-ND)

La course vers Jalalabad

L'armée en retraite, qui quitta Kaboul le 6 janvier, était composée de 4 500 soldats (700 Européens et 3 800 cipayes) et de 12 000 partisans. Ils se dirigèrent vers Jalalabad, à 144 km de là, mais les problèmes commencèrent presque immédiatement. Les préposés au camp furent particulièrement difficiles à organiser, et la colonne se dispersa rapidement. Le lieutenant Vincent Eyre nota avec regret :

Une foule mêlée de soldats, de suiveurs de camp et de bétail à bagages, ne conservant même pas le plus petit semblant de cette régularité et de cette discipline dont dépendait notre seule chance d'échapper aux dangers qui nous menaçaient.

(Holmes, 56)

Au départ, il y avait deux groupes distincts et une arrière-garde, mais cet arrangement perdit rapidement de sa substance. La traversée des rivières était un cauchemar. La rivière Kaboul devait être traversée à l'aide d'un pont temporaire soutenu par des wagons à canon submergés, mais il ne fut pas prêt à temps, et les partisans du camp traversèrent là où ils pensaient pouvoir le faire.

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Il y avait cependant des problèmes bien plus graves que la logistique. Il s'avéra que, malgré les souhaits pacifiques du traité de retrait, les plus agressifs des dirigeants afghans obtinrent ce qu'ils voulaient et attaquèrent systématiquement l'arrière de la colonne britannique lors de son départ du pays. Les Afghans étaient armés d'un mousquet à long canon, à allumettes ou à silex, connu sous le nom de djezaïl. Le djezaïl avait une crosse incurvée distinctive, qui permettait un tir plus précis depuis un cheval. Ce mousquet avait une portée beaucoup plus longue et était plus précis que tous les autres mousquets dont disposaient les Britanniques à cette époque. Les tireurs d'élite dissimulés au sommet des collines rocheuses, en particulier, représentaient une menace mortelle pour l'ennemi. Une attaque dans le col de Khord Kaboul le 8 janvier réduisit l'armée en retraite de 3 000 hommes.

Major-General William Elphinstone
Major-général William Elphinstone
William Salter (Public Domain)

Dans ce retrait chaotique, des chameaux et des provisions furent saisis lors de raids et le 9 janvier, 12 épouses et 22 enfants d'officiers britanniques furent pris en otage (bien qu'Akbar Khan ait affirmé qu'ils avaient été emmenés pour leur propre sécurité). L'une d'entre elles, Lady Sale, survécut à son épreuve de neuf mois et écrivit un journal à succès sur sa captivité, et elle devint connue sous le nom de grenadier in petticoats (grenadier en jupon). Les Britanniques n'avaient pas de tentes et très peu de provisions alors qu'ils continuaient à traverser les rivières et le terrain inhospitalier. L'hypothermie fit de nombreuses victimes. Les canons furent abandonnés car les chevaux devenaient trop faibles pour les transporter, et de nombreux partisans du camp abandonnèrent leurs charges, bloquant le passage à travers les gorges étroites pour ceux qui arrivaient derrière eux.

Le 10 janvier, après une autre attaque d'envergure dans le col de Tunghee Tereekee, il ne restait plus qu'environ 4 000 survivants sur les 16 500 qui avaient quitté Kaboul. La force décroissante ne disposait plus que d'un seul petit canon. Akhbar Khan envoya une offre pour permettre à l'armée écrasée de se retirer en paix si elle laissait derrière elle toutes ses armes, mais Elphinstone la refusa.

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Le 11 janvier, l'avant-garde de la colonne britannique fut attaquée lorsqu'elle atteignit le col de Jagdalak. Le lieutenant Eyre donna la description suivante d'une embuscade typique contre la colonne lente et désordonnée :

Les malheureux cipayes, ne voyant aucun moyen de s'échapper, et poussés au désespoir, jetèrent leurs armes et accessoires... et avec les partisans du camp, s'enfuirent pour sauver leur vie. (Holmes, 57)

Le 12 janvier, Elphinstone fut pris en otage alors qu'il assistait naïvement à une conférence avec Akbar Khan pour négocier une sorte de cessez-le-feu ; le général mourut ensuite de dysenterie. Ce qui restait de l'armée en fuite devait maintenant négocier le col de Jagdalak que les Afghans avaient bloqué avec des branches de houx. Seuls 200 d'entre eux environ survécurent à la traversée du col alors que les tireurs d'élite afghans faisaient pleuvoir leurs tirs mortels. Un cipaye, le subedar Sita Ram, nota : "Nous avons été attaqués à l'avant, à l'arrière et depuis le sommet des collines. En vérité, c'était l'enfer même." (Macrory, 80)

The Jugdulluk Pass
Le col de Jagdalak
James Rattray (Public Domain)

L'affrontement final

Alors qu'il ne restait plus qu'environ 80 hommes du 44e régiment de l'armée de terre à combattre, un dernier combat pathétique eut lieu le 13 janvier sur la colline de Gandamak, juste à l'extérieur du village du même nom. Ce petit groupe, qui ne disposait que de 20 mousquets et de deux cartouches, refusa l'ordre de déposer les armes et fut pratiquement anéanti par les tirs de tireurs embusqués. Eyre décrit cette dernière résistance désespérée :

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L'ennemi, prenant position sur une colline opposée, marqua homme après homme, officier après officier, avec une visée infaillible. Des groupes d'Afghans se précipitaient par intervalles pour achever le travail d'extermination, mais étaient aussi souvent repoussés par cette poignée d'invincibles. Finalement, presque tous les soldats étant plus ou moins blessés, un assaut final sur l'ennemi, l'épée à la main, mit fin à cette lutte inégale.

(Holmes, 57)

Seul le capitaine Souter et trois ou quatre autres survécurent puisque les Afghans les capturèrent. Souter fut capturé parce que les Afghans pensaient qu'il était un individu important à cause de son gilet coloré, en fait le drapeau régimentaire qu'il avait enroulé autour de sa taille. Le drapeau finit par atteindre l'église paroissiale d'Alverstoke dans le Hampshire, en Angleterre, puis la chapelle du régiment d'Essex à Warley - on peut encore en voir un morceau à cet endroit aujourd'hui.

Douze cavaliers parvinrent à s'éloigner du champ de bataille de la colline de Gandamak, mais ils furent abattus, et un seul Européen survécut à la retraite de Kaboul et arriva à Jalalabad : le docteur William Brydon, qui parvint à se mettre en sécurité sur un poney boiteux. L'approche de Brydon vers le fort tenu par les Britanniques fut observée par un télescope sur les remparts :

À mesure qu'il s'approchait, on voyait clairement qu'il portait des vêtements européens et qu'il était monté sur un yaboo [poney afghan] souillé par le voyage, qu'il poussait avec toute la vitesse dont il était encore maître... Il était couvert de légères coupures et contusions, et terriblement épuisé... le récit du Dr Brydon remplit tous les auditeurs d'horreur, de chagrin et d'indignation. (Holmes, 57)

Un certain nombre de cipayes s'en sortirent également, ainsi que des retardataires parmi les préposés au camp. La retraite et la destruction d'une armée entière fut l'un des pires désastres militaires de l'histoire de l'Empire britannique. Entre-temps, Shah Shuja avait été assassiné en avril 1842. L'occupation britannique de l'Afghanistan touchait à sa fin.

The Last Stand of the Retreat from Kabul
Affrontement final de la retraite de Kaboul
William Barnes Wollen (Public Domain)

Revanche et conséquences

Le nouveau gouvernement conservateur britannique dirigé par Sir Robert Peel (1788-1850) était déterminé à mettre fin à l'ingérence britannique en Afghanistan, mais pas avant que le major-général expérimenté et méticuleux George Pollock (1786-1872) ne soit chargé de mener une attaque de Kaboul pour sauver la face. Pollock avait appris de précieuses leçons sur la guerre en montagne pendant la guerre anglo-népalaise (1814-16), et il devint le premier général de l'histoire à mener avec succès une armée à travers le passe de Khyber en avril 1842. Cette armée, connue sous le nom Retribution Army (armée de représailles), vainquit Akbar Khan à Tezin et atteignit Kaboul en septembre 1842, où les otages britanniques survivants furent libérés - 10 femmes, 11 enfants et 85 soldats. Le 9 octobre, dans un acte de vengeance symbolique, les Britanniques firent exploser le Grand Bazar de la ville. Une série d'attaques de vengeance, de viols et de pillages s'ensuivirent. Trois jours plus tard, l'armée britannique quitta l'Afghanistan et retraversa le passe de Khyber.

De retour en Grande-Bretagne, une enquête officielle fut menée sur la débâcle de la retraite, mais elle n'aboutit pas. Le major Pottinger, officier politique supérieur à Kaboul à l'époque, fut exonéré de toute responsabilité, et le commandant en second d'Elphinstone, le brigadier Shelton, fut traduit en cour martiale mais ne fut finalement pas reconnu coupable d'incompétence. Une proposition des conservateurs au Parlement visant à censurer le parrainage de la campagne initiale par le gouvernement whig précédent n'aboutit pas, car les deux principaux partis politiques avaient alors donné leur accord. En politique, comme dans l'art et la littérature de l'époque, la réussite de la marche de Pollock vers Kaboul fut mise en valeur, et la retraite désastreuse d'Elphinstone fut minimisée en tant qu'une des conséquences malheureuses de la construction d'un empire.

En Afghanistan, il était désormais clair que ni les Britanniques ni un émir fantoche ne pouvaient gouverner sans le consentement des chefs tribaux militants locaux. En conséquence, Dost Mohammad fut rétabli au pouvoir en 1843, et les tribus afghanes furent autorisées à vivre comme elles l'avaient toujours fait. Comme ni les Russes ni les Britanniques ne pouvaient contrôler une région aussi hostile, les Britanniques optèrent pour une politique d'endiguement, connue sous le nom d'"inactivité magistrale". À la place, les Britanniques tournèrent leur attention vers l'empire sikh et remportèrent la première guerre anglo-sikh (1845-6) et la deuxième guerre anglo-sikh (1848-9) pour s'emparer d'une autre grande partie du sous-continent indien. Les Britanniques n'abandonnèrent jamais le rêve de contrôler l'Afghanistan, ce qui donna lieu à la deuxième guerre anglo-afghane (1878-80) et à la troisième guerre anglo-afghane (1919). Le grand jeu des empires se poursuivit au XXe siècle, mais l'Afghanistan demeura toujours indépendant de la Russie et de la Grande-Bretagne.

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Questions & Réponses

Que s'est-il passé à Gandamak ?

Gandamak a été le dernier bastion de l'armée de la Compagnie britannique des Indes orientales qui s'est retirée de Kaboul en 1842 pendant la première guerre anglo-afghane.

Pourquoi les Britanniques se sont-ils retirés de Kaboul en 1842 ?

Les Britanniques se sont retirés de Kaboul en 1842 car leur invasion de l'Afghanistan et leur nouveau dirigeant fantoche n'étaient pas populaires. Les chefs tribaux afghans s'unissent pour attaquer l'armée de la Compagnie britannique des Indes orientales, qui, à court de vivres, est obligée de se retirer en Inde, où elle est en sécurité.

Combien ont survécu à la retraite de Kaboul en 1842 ?

Un seul Européen a survécu à l'ensemble du voyage de Kaboul à Jalalabad, un certain Dr William Brydon.

Quelles ont été les conséquences de la retraite de Kaboul en 1842 ?

Les conséquences de la retraite de Kaboul sont qu'une armée britannique entière a été anéantie et que les Britanniques ont décidé de quitter l'Afghanistan en tant qu'État indépendant.

Traducteur

Babeth Étiève-Cartwright
Babeth s'est consacrée à la traduction après avoir enseigné l'anglais au British Council de Milan. Elle parle couramment le français, l'anglais et l'italien et a 25 ans d'expérience dans le domaine de l'éducation. Elle aime voyager et découvrir l'histoire et le patrimoine d'autres cultures.

Auteur

Mark Cartwright
Mark est un auteur, chercheur, historien et éditeur à plein temps. Il s'intéresse particulièrement à l'art, à l'architecture et à la découverte des idées que toutes les civilisations peuvent nous offrir. Il est titulaire d'un Master en Philosophie politique et est le Directeur de Publication de WHE.

Citer cette ressource

Style APA

Cartwright, M. (2023, janvier 13). Retraite de Kaboul de 1842 [Retreat from Kabul in 1842]. (B. Étiève-Cartwright, Traducteur). World History Encyclopedia. Extrait de https://www.worldhistory.org/trans/fr/2-2143/retraite-de-kaboul-de-1842/

Style Chicago

Cartwright, Mark. "Retraite de Kaboul de 1842." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. modifié le janvier 13, 2023. https://www.worldhistory.org/trans/fr/2-2143/retraite-de-kaboul-de-1842/.

Style MLA

Cartwright, Mark. "Retraite de Kaboul de 1842." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. World History Encyclopedia, 13 janv. 2023. Web. 21 nov. 2024.

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