Le Brave qui s'Engagea Seul sur le Sentier de la Guerre et Gagna le Nom de Guerrier Solitaire

10 jours restants

Investissez dans l'enseignement de l'Histoire

En soutenant notre organisation reconnue d'utilité publique, World History Foundation, vous investissez dans l'avenir de l'enseignement de l'Histoire. Votre don nous aide à transmettre à la nouvelle génération les connaissances et les compétences dont elle a besoin pour comprendre le monde qui l'entoure. Aidez-nous à démarrer la nouvelle année prêts à publier des contenus historiques fiables et gratuits pour tous.
$3081 / $10000

Article

Joshua J. Mark
de , traduit par Babeth Étiève-Cartwright
publié le 09 octobre 2023
Disponible dans ces autres langues: anglais
Écouter cet article
X
Imprimer l'article

Le Brave qui s'Engagea Seul sur le Sentier de la Guerre et Gagna le Nom de Guerrier Solitaire est un conte sioux dans la tradition du voyage du héros dans lequel un jeune homme surmonte des défis apparemment impossibles et est reconnu comme un grand champion et un leader de son peuple.

Comanche Warrior Lancing an Osage
Guerrier Comanche attaquant un guerrier Osage
George Catlin (Public Domain)

L'histoire illustre en fait le thème du voyage du héros dans lequel le héros (le plus souvent un homme), qui est généralement aux prises avec des difficultés internes ou externes (ou les deux) lorsque le récit commence, se lance dans une aventure et en revient transformé, ayant atteint la réalisation de soi et ramenant avec lui un pouvoir de transformation qui profite à son peuple et élève son statut. Le voyage du héros est l'un des modèles d'histoire les plus populaires de l'histoire et, à l'époque actuelle, il est le plus largement reconnu comme la forme sous-jacente de la franchise Star Wars.

Supprimer la pub
Publicité

Valeurs amérindiennes

L'histoire illustre non seulement les valeurs des Sioux, mais aussi celles de toutes les nations amérindiennes de la culture des Indiens des plaines, notamment la valeur des chevaux, l'importance pour un homme de faire ses preuves dans un combat singulier ou une bataille pour montrer son caractère, les valeurs de la débrouillardise et du courage personnel, et la façon dont on est récompensé pour sa persévérance et son endurance dans des circonstances éprouvantes. Le conte met également en lumière un autre aspect important de la culture amérindienne: le lien entre la terre et le peuple. Le premier public du conte aurait compris que la terre décrite dans l'histoire était la même que celle sur laquelle il vivait, ce qui les reliait au passé, aux événements de la narration et aux valeurs mises en avant dans l'histoire.

Dans cette histoire, un jeune homme pauvre et sans avenir, rejeté par ses pairs, quitte son village pour faire ses preuves en volant des chevaux aux ennemis.

Parmi ces valeurs figurent les chevaux, au centre du récit, que le jeune héros doit s'approprier pour faire ses preuves. Les chevaux furent introduits en Amérique du Nord par les Espagnols au XVIe siècle et faisaient déjà partie de la culture des Indiens des Plaines vers 1700. La "culture du cheval" qui se développa à cette époque reconnaissait le cheval comme un symbole de prestige, que ce soit pour un individu ou pour une nation tribale, et les chevaux en vinrent à représenter la richesse et le pouvoir. Le cheval servait au transport, à la chasse, à la guerre et au commerce et, au XIXe siècle, il faisait partie intégrante de la vie des Indiens des plaines, notamment des Sioux, qui devinrent célèbres en tant que grands experts du cheval. Voler des chevaux à une autre tribu augmentait son propre prestige et celui de son peuple en démontrant sa force personnelle et sa ruse en privant un ennemi d'une ressource importante.

Supprimer la pub
Publicité

Dans l'histoire suivante, un jeune homme pauvre et sans avenir, rejeté par ses pairs, quitte son village pour faire ses preuves en volant des chevaux aux ennemis de son peuple et en rapportant les scalps de ceux qu'il a vaincus au combat. La tension de l'histoire, comme dans tout récit de voyage d'un héros, augmente au fur et à mesure que les défis du jeune homme se multiplient, et le public attend de voir s'il réussira ou non. Comme pour toutes les histoires amérindiennes, il n'y a pas de date attachée à ce récit, qui aurait été transmis oralement par les conteurs de la tribu, de génération en génération, jusqu'à ce qu'il ne soit consigné par les colons blancs au 19e et au début du 20e siècle. Cette version de l'histoire est tirée de Myths and Legends of the Sioux (1916) de Marie L. McLaughlin, d'origine Sioux qui enregistra leurs histoires pour les préserver.

Texte

Il était une fois un jeune homme dont les parents n'étaient pas encombrés par les richesses de ce monde et qui, par conséquent, ne pouvaient pas habiller leur fils unique d'un costume aussi riche que celui des autres jeunes hommes de la tribu et, parce qu'il n'était pas aussi richement vêtu qu'eux, il était méprisé et évité. Il n'avait jamais été invité à participer à aucun de leurs sports, ni à se joindre à aucun de leurs groupes de guerre.

Dans le village vivait un vieil homme avec une fille unique. Tout comme l'autre famille, ils étaient pauvres, mais la fille était la belle de la tribu. Elle était la plus recherchée par les jeunes hommes du village, et des guerriers de tribus très éloignées venaient tenter de l'épouser. En vain; elle leur répondait de la même façon qu'elle répondait aux jeunes hommes du village.

Supprimer la pub
Publicité

Le pauvre jeune homme était également très beau malgré ses pauvres vêtements, mais n'ayant jamais tué d'ennemi, ni ramené les chevaux de ses ennemis, il n'était pas autorisé (selon les règles) à faire l'amour avec une jeune ou une vieille femme. Il essaya en vain de se joindre à certains groupes de guerre, afin d'avoir la chance de gagner ses lettres de noblesse en tant que guerrier. À toutes ses supplications, il reçut la même réponse: "Tu n'es pas apte à te joindre à un groupe de guerriers. Tu n'as pas de chevaux et si tu te faisais tuer, on se moquerait de notre tribu, car tu es si mal habillé, et nous ne voulons pas que l'ennemi sache que nous avons un membre de notre tribu qui s'habille aussi mal que toi".

Il essaya encore et encore d'autres groupes, mais on se moquait de lui et on l'insultait.

Une nuit, il s'assit dans le pauvre tipi de ses parents. Il était plongé dans ses études et n'avait rien à dire. Son père, remarquant son humeur mélancolique, lui demanda ce qui s'était passé pour qu'il soit si calme, lui qui était toujours d'humeur joyeuse. Le fils répondit et dit :

"Père, je pars seul sur le sentier de la guerre. C'est en vain que j'ai essayé de faire partie de l'un des groupes de guerre. À toutes mes supplications, je n'ai reçu que des insultes en retour."

Supprimer la pub
Publicité

"Mais, mon fils, tu n'as ni fusil ni munitions. Où peux-tu en trouver et comment peux-tu t'en procurer ? Nous n'avons rien pour t'en acheter", dit le père.

"Je n'ai pas besoin d'armes. Je vais ramener les chevaux des ennemis et je n'ai pas besoin d'un fusil pour cela.

Tôt le lendemain matin (malgré les supplications du vieux couple de ne pas partir sans armes), le jeune homme quitta le village et se dirigea vers le nord-ouest, la direction toujours prise par les groupes de guerre.

Supprimer la pub
Publicité

Pendant dix jours, il voyagea sans voir le moindre signe de campement. Le soir du dixième jour, il atteignit une très haute butte, dont le sommet était très boisé. Il y monta et, alors qu'il était assis entre deux gros rochers, regardant les magnifiques rayons du soleil couchant, il fut soudain surpris d'entendre le hennissement d'un cheval. En regardant vers le bas dans la belle vallée qui était traversée par un beau ruisseau bordé de bois, il remarqua près de la base de la butte sur laquelle il était assis, un grand troupeau de chevaux qui broutaient paisiblement et tranquillement. En regardant de plus près, il remarqua, à une certaine distance du groupe principal, un cheval avec une selle sur le dos. C'était celui qui avait henni, alors que le groupe s'éloignait de lui. Il était attaché par un long lasso à un grand buisson de sauge.

Où peut bien être le cavalier, se dit-il. Comme pour répondre à sa question, un homme d'âge moyen apparut à une vingtaine de pas de lui, traversant un profond ravin. Cet homme était manifestement à la recherche d'un gibier quelconque, car il tenait son fusil prêt à l'emploi, et ne quittait pas des yeux chaque anfractuosité et chaque touffe de buisson. Il était si déterminé à localiser le gibier qu'il traquait qu'il ne remarqua jamais le jeune homme qui était assis comme une statue à moins de vingt pas de lui. Lentement et prudemment, l'homme s'approcha, et lorsqu'il fut à quelques pas du jeune homme, il s'arrêta et, se retournant, se tint debout en regardant la vallée.

C'était la seule chance qu'avait notre brave jeune ami. N'étant pas armé, il n'aurait rien à craindre si l'ennemi l'apercevait. Lentement et sans bruit, il tira son couteau de chasse (que son père lui avait donné lors de son départ de la maison) et, le tenant fermement dans sa main droite, il se rassembla et fit un bond qui l'amena sur les épaules de l'ennemi qui ne se doutait de rien. La force avec laquelle il atterrit sur l'ennemi lui fit perdre la maîtrise de son arme, qui tomba avec fracas dans le gouffre, quarante pieds plus bas.

Vous aimez l'Histoire?

Abonnez-vous à notre newsletter hebdomadaire gratuite!

Ils redescendirent ensemble, le jeune homme en tête. A peine eurent-ils touché le sol que l'ennemi sortit son couteau et entama un duel au corps à corps. L'ennemi, plus expérimenté, prit le meilleur sur notre jeune ami. Celui-ci avait déjà deux vilaines coupures, l'une sur la poitrine et l'autre sur l'avant-bras.

Il s'affaiblissait à cause de la perte de sang et ne pouvait plus supporter le rythme du combat. Rassemblant toutes ses forces pour tenter une dernière fois de vaincre son antagoniste, il le précipita vers le gouffre et, dans sa hâte d'échapper à cette attaque féroce, l'ennemi recula d'un pas de trop, et ils tombèrent tous les deux dans le gouffre. Enserrés dans les bras l'un de l'autre, le jeune homme enfonça son couteau dans le flanc de l'ennemi et lorsqu'ils touchèrent le fond, l'ennemi relâcha son emprise et se raidit, raide mort.

S'emparant de son scalp et de son fusil, le jeune homme descendit jusqu'à l'endroit où le cheval était attaché au buisson de sauge, puis, rassemblant la meute de chevaux, il retourna à son village. Grièvement blessé, il dut avancer très lentement. Pendant les longues heures de la nuit, il conduisit les chevaux vers son village.

Pendant ce temps, les habitants du camp ennemi s'étonnaient de la longue absence de l'homme qui surveillait leur chevaux et, finalement, sept jeunes gens partirent à la recherche de l'homme disparu. Toute la nuit, ils fouillèrent les collines à la recherche des chevaux et de cet homme et, le matin, quand il fit assez clair, ils aperçurent sur le sol l'endroit où il y avait eu une lutte acharnée.

En suivant les traces dans le sable et les feuilles, ils arrivèrent au gouffre où les combattants étaient tombés et là, couché sur le dos, les regardant dans la mort, se trouvait leur homme. Ils se hâtèrent de rejoindre le campement et racontèrent ce qu'ils avaient trouvé. Immédiatement, les guerriers montèrent sur leurs poneys de guerre (ces poneys ne sont jamais lâchés mais gardés attachés près du tipi du propriétaire), et, suivant la piste du troupeau chassé par notre jeune ami, ils poussèrent leurs poneys et furent bientôt loin de leur camp sur la piste de notre jeune ami.

Toute la journée, ils suivirent sa piste et, au moment où le soleil déclinait, ils l'aperçurent qui conduisait le troupeau en avant sur une haute colline. Ils poussèrent à nouveau leurs poneys fatigués. Le jeune homme, regardant en arrière le long de la piste, vit des objets sombres s'approcher et, attrapant un nouveau cheval, fit avancer les autres à vive allure. Il les conduisit encore toute la nuit et, au lever du jour, il regarda en arrière (depuis une haute butte) sur son sentier et aperçut deux cavaliers venant d'une colline lointaine. Ces deux-là montaient sans doute les meilleurs poneys, car il ne vit rien des autres.

Conduisant les chevaux dans un épais bosquet, il se dissimula près de la piste tracée par les chevaux et se mit en embuscade pour les deux audacieux cavaliers qui l'avaient suivi jusqu'ici. Enfin, ils apparurent sur la butte d'où il s'était retourné pour les voir le suivre. Pendant un long moment, ils restèrent assis à scruter le pays devant eux dans l'espoir d'apercevoir des traces de leurs chevaux volés. Ils ne virent rien. S'ils l'avaient su, leurs chevaux n'étaient qu'à quelques centaines de mètres d'eux, mais l'épais bosquet les cachait solidement.

Finalement, l'un d'eux se leva et montra du doigt le bois. Laissant son cheval à son ami, il descendit de la butte et suivit la piste jusqu'à l'endroit où ils étaient entrés dans le bois. Il était loin de se douter qu'il se trouvait au bord de l'éternité. Le jeune homme qui se cachait à moins de cent mètres de lui aurait pu l'abattre là où il se trouvait mais, voulant jouer franc-jeu, il s'avança dans son champ de vision. À ce moment-là, l'ennemi visa rapidement et tira. Il était trop pressé. S'il avait visé plus attentivement, il aurait pu tuer notre jeune ami, mais sa balle passa au-dessus de la tête du jeune homme et s'enfonça dans un arbre.

Le jeune homme visa bien et tira. L'ennemi leva les deux mains et tomba à la renverse. L'autre jeune homme, voyant son ami tué, monta précipitamment à cheval et, conduisant le cheval de son ami, descendit rapidement la butte dans la direction d'où il était venu. Après avoir attendu un certain temps pour s'assurer que celui qui était encore en vie ne s'approchait pas pour lui tirer dessus, le jeune homme s'avança finalement vers l'ennemi tombé au combat et, s'emparant de son fusil, de ses munitions et de son scalp, monta à cheval et conduisit le troupeau à travers les bois et, traversant une longue prairie plate, monta une longue chaîne de collines et s'assit en regardant en arrière le long de sa piste à la recherche d'un ennemi qui aurait pu continuer à le suivre.

Il resta ainsi jusqu'à ce que les longues ombres des collines lui rappellent que le soleil allait bientôt se coucher et, comme il devait dormir un peu, il voulut trouver un coude de ruisseau où il pourrait conduire le troupeau de poneys et se sentir en sécurité pour qu'ils ne s'égarent pas pendant la nuit. Il trouva un bon endroit pour le troupeau et, attrapant un cheval frais, il l'attela près de l'endroit où il allait dormir et, s'enveloppant dans sa couverture, il s'endormit rapidement. Il était si fatigué et endormi qu'une forte pluie tombée pendant la nuit le trempa de part en part, mais il ne se réveilla pas avant que le soleil ne soit haut dans l'est.

Il se réveilla et, se rendant à l'endroit où il avait laissé le troupeau, il fut heureux de le retrouver. Il monta à cheval et reprit le chemin du retour. Il les conduisit pendant deux jours et, le soir du deuxième jour, il arriva en vue de son village.

Les guerriers les plus âgés, lorsqu'ils apprirent que le jeune homme avait entrepris ce voyage seul et sans armes, avaient dit aux parents de porter le deuil de leur fils, car il ne reviendrait jamais vivant. Lorsque les habitants du village virent ce grand troupeau de chevaux s'avancer vers eux, ils pensèrent tout d'abord qu'il s'agissait d'un groupe de guerriers de l'ennemi et les chefs rassemblèrent les jeunes guerriers et se préparèrent à une grande bataille. Ils s'avancèrent vers l'ennemi supposé. Lorsqu'ils furent assez près pour discerner un cavalier solitaire conduisant ce grand troupeau, ils encerclèrent les chevaux et le guerrier solitaire, et l'amenèrent triomphalement au village. En arrivant au village, les chevaux furent comptés et leur nombre s'élevait à cent dix têtes.

Le guerrier solitaire, qui était désormais autorisé à présenter ses respects à toute fille qui lui plaisait, se rendit immédiatement au camp de la belle fille de la tribu et, comme il avait toujours été son choix, elle consentit immédiatement à l'épouser. La nouvelle se répandit dans le village que le Guerrier Solitaire avait gagné la belle de la nation pour épouse et cela, avec le grand exploit qu'il avait accompli seul en tuant deux ennemis et en ramenant un grand troupeau de chevaux, l'éleva au rang de chef, rôle qu'il remplit fidèlement jusqu'à la fin de ses jours. Et, bien souvent, il dut raconter à ses petits-enfants l'histoire qui lui avait valu le nom de Guerrier Solitaire.

Supprimer la pub
Publicité

Questions & Réponses

De quoi parle l'histoire sioux du guerrier solitaire ?

Le brave qui s'Engagea Seul sur le Sentier de la Guerre et Gagna le Nom de Guerrier Solitaire est un récit sioux qui raconte l'histoire d'un jeune homme qui entreprend de faire ses preuves en volant les chevaux d'une tribu ennemie. Ce récit s'inscrit dans la tradition du voyage du héros.

Pourquoi l'histoire sioux du guerrier solitaire est-elle importante ?

L'histoire du guerrier solitaire est importante car elle illustre les valeurs fondamentales des Sioux, notamment le courage personnel, l'ingéniosité et l'importance de prouver sa valeur à l'ensemble de la communauté de son village.

De quand date l'histoire sioux du guerrier solitaire ?

Comme pour tous les récits amérindiens, aucune date n'est attachée à l'histoire du guerrier solitaire, car elle a été transmise oralement de génération en génération.

Pourquoi le héros de l'histoire du guerrier solitaire prend-il les scalps des ennemis tombés au combat ?

La prise de scalps était une pratique courante dans de nombreuses nations amérindiennes, car ils servaient de trophées de la victoire sur l'adversaire. Le jeune homme prend les scalps de ceux qu'il a tués non seulement pour prouver qu'il l'a fait, mais aussi pour pouvoir raconter comment cela s'est passé.

Traducteur

Babeth Étiève-Cartwright
Babeth s'est consacrée à la traduction après avoir enseigné l'anglais au British Council de Milan. Elle parle couramment le français, l'anglais et l'italien et a 25 ans d'expérience dans le domaine de l'éducation. Elle aime voyager et découvrir l'histoire et le patrimoine d'autres cultures.

Auteur

Joshua J. Mark
Joshua J. Mark est cofondateur et Directeur de Contenu de la World History Encyclopedia. Il était auparavant professeur au Marist College (NY) où il a enseigné l'histoire, la philosophie, la littérature et l'écriture. Il a beaucoup voyagé et a vécu en Grèce et en Allemagne.

Citer cette ressource

Style APA

Mark, J. J. (2023, octobre 09). Le Brave qui s'Engagea Seul sur le Sentier de la Guerre et Gagna le Nom de Guerrier Solitaire [The Brave Who Went on the Warpath Alone and Won the Name of the Lone Warrior]. (B. Étiève-Cartwright, Traducteur). World History Encyclopedia. Extrait de https://www.worldhistory.org/trans/fr/2-2291/le-brave-qui-sengagea-seul-sur-le-sentier-de-la-gu/

Style Chicago

Mark, Joshua J.. "Le Brave qui s'Engagea Seul sur le Sentier de la Guerre et Gagna le Nom de Guerrier Solitaire." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. modifié le octobre 09, 2023. https://www.worldhistory.org/trans/fr/2-2291/le-brave-qui-sengagea-seul-sur-le-sentier-de-la-gu/.

Style MLA

Mark, Joshua J.. "Le Brave qui s'Engagea Seul sur le Sentier de la Guerre et Gagna le Nom de Guerrier Solitaire." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. World History Encyclopedia, 09 oct. 2023. Web. 21 déc. 2024.

Adhésion