Récit de Custer sur la Bataille de la Washita

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Article

Joshua J. Mark
par , traduit par Babeth Étiève-Cartwright
publié sur 24 octobre 2024
Disponible dans d'autres langues: Anglais
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My Life on the Plains or Personal Experiences with Indians (1874) est un récit complet de George Armstrong Custer (1839-1876) sur son séjour dans l'Ouest entre 1867 et 1874. L'ouvrage comprend ses observations sur les Amérindiens et des récits des campagnes militaires auxquelles il participa, notamment la bataille de la Washita/Massacre de la Washita du 27 novembre 1868.

Lt. Colonel George Armstrong Custer by Mora
Le lieutenant-colonel George Armstrong Custer par Mora
José María Mora (CC BY-NC-SA)

Custer avait reçu l'ordre du général Philip Sheridan (1831-1888) de mener une "guerre totale" contre les "hostiles" Indiens des plaines qui refusaient de céder leurs terres et de s'installer dans des réserves, ce qui impliquait de tuer les guerriers au combat, de pendre les hommes, de capturer les femmes et les enfants pour les garder en otage et de détruire les villages, les chevaux, les poneys et les réserves de nourriture. Le chef des Cheyennes du Sud, Black Kettle (c. 1803-1868), avait clairement indiqué qu'il recherchait la paix (et qu'il n'était en aucun cas aligné sur les "hostiles") depuis 1851 et avait signé tous les traités de paix présentés aux Cheyennes par le gouvernement américain entre cette année-là et 1867.

En novembre 1868, Black Kettle demanda aux autorités américaines de lui permettre, ainsi qu'à son peuple, de se mettre en sécurité près de Fort Cobb, où ils ne seraient pas pris pour des "hostiles", mais sa demande fut rejetée et il retourna dans son village sur la rivière Washita, dans l'Oklahoma actuel, près des campements d'hiver de nombreuses autres nations autochtones. Custer traquait les groupes de raiders amérindiens lorsqu'il trouva le camp de Black Kettle, situé plus à l'ouest et un peu à l'écart des autres villages.

Estimant que ce camp abritait les raiders qu'il recherchait, Custer attaqua à l'aube du 27 novembre 1868, tuant entre 60 et 150 Cheyennes et Arapahos, principalement des femmes, des enfants, des personnes âgées, des infirmes ou des blessés. Custer captura ensuite 53 femmes et enfants et retourna à sa base d'opérations de Camp Supply. Son récit fait état d'une "bataille", mais en janvier 1869, après que d'autres versions de l'événement furent révélées, on parlait de massacre.

Le récit de Custer

La version des événements qui figure dans le livre de Custer présente le combat comme une bataille entre des forces égales.

Le rapport initial de Custer à Sheridan indique qu'il avait tué 103 guerriers, mais lorsque Sheridan et lui retournèrent sur les lieux en décembre 1868, le nombre de cadavres était considérablement plus élevé, et les morts n'étaient manifestement pas tous des guerriers. La plupart des Cheyennes n'étaient pas au camp ce matin-là, car ils étaient partis chasser ou rendre visite à leurs amis et à leur famille dans les camps situés en aval. Les hommes qui se trouvaient au camp défendirent leurs maisons et leurs familles contre l'attaque de Custer, très probablement de la manière décrite ci-dessous, mais, contrairement à ce qu'il affirme dans son rapport initial et plus tard, il n'y avait pas de grand groupe d'"hostiles" dans le camp, et les pillards qu'il avait suivis appartenaient probablement à l'un des villages situés plus en aval.

Pourtant, son rapport de 1868, sur lequel est basé le récit suivant, établit l'événement comme la bataille de la Washita, et même après que cette interprétation eut été contestée en 1869, Custer et ses partisans continuèrent à insister sur le fait qu'il avait suivi les traces de raiders jusqu'au camp de Black Kettle et qu'il avait obéi aux ordres en attaquant une forteresse hostile. Les survivants amérindiens du combat de la Washita le décrivent comme un massacre, et une lettre écrite par le capitaine Frederick Benteen (1834-1898), qui commandait les troupes sous les ordres de Custer lors de l'événement, suggère fortement la même chose.

La version des événements qui figure dans le livre de Custer présente ce combat comme une bataille entre des forces égales et, comme Custer bénéficia d'un statut légendaire après sa mort à la bataille de Little Bighorn en 1876, cette version de l'événement fut plus largement acceptée et les contestations de 1869 furent oubliées. Ces objections à l'interprétation de la "bataille" ont toutefois été ravivées au milieu du XXe siècle, et le débat sur la question de savoir si le combat de la rivière Washita était une bataille ou un massacre se poursuit aujourd'hui.

The Attack on Black Kettle's Cheyenne Camp
Attaque sur le camp cheyenne de Black Kettle
Frank Leslie's Illustrated Newspaper (Public Domain)

Texte

Le récit suivant est extrait de My Life on the Plains (1874) de Custer, pp. 160-164, republié par First Rate Publishers/CreateSpace Independent Publishing Platform en 2014. Il ne s'agit que d'un extrait d'un récit beaucoup plus long, qui couvre l'événement depuis l'attaque initiale du village jusqu'à la conclusion du conflit et à l'arrestation des femmes et des enfants survivants en tant que prisonniers.

Enfin, de faibles signes de l'approche du jour étaient visibles et j'ai rassemblé les officiers, réveillant ceux qui dormaient... Tous ont reçu l'ordre de se préparer à avancer; pas un mot à l'intention des officiers ou des hommes n'a été prononcé au-delà d'un murmure... Selon cet ordre, nous avons commencé à dévaler la pente menant au village. La distance qui nous séparait du bois de la vallée s'avéra plus grande qu'elle ne l'avait semblé à l'œil dans l'obscurité de la nuit. Nous atteignîmes bientôt les abords du troupeau de poneys. Ces derniers semblèrent nous reconnaître en tant que groupes hostiles et s'éloignèrent rapidement.

La lumière du jour devenait chaque minute plus forte et nous craignions d'être découverts avant d'avoir pu nous approcher suffisamment pour attaquer le village. Le mouvement de nos chevaux sur la neige durcie produisait un bruit considérable et aurait sans doute causé notre perte mais, si les indiens ont entendu quoi que ce soit, ils ont dû supposé que cela provenait de leur propre troupeau de poneys. J'aurais donné beaucoup à ce moment-là pour savoir où se trouvaient les deux premières colonnes envoyées. Avaient-elles atteint les positions qui leur avaient été assignées ou des obstacles invisibles et inconnus les avaient-ils retardées ou induites en erreur? Il était impossible de répondre à ces questions à ce moment-là. Nous avions maintenant atteint le niveau de la vallée et commencé à avancer en ligne vers les bois denses près desquels nous savions que le village était situé.

Immédiatement derrière mon cheval venait la fanfare, tous montés et chacun avec son instrument prêt à commencer à jouer dès que leur chef, qui chevauchait à leur tête et qui gardait son cornet aux lèvres, recevrait le signal. Je lui avais dit auparavant de jouer "Garry Owen" comme morceau d'ouverture. Nous nous étions approchés suffisamment du village pour apercevoir çà et là les grandes huttes blanches qui se dressaient en ordre irrégulier parmi les arbres. Par les ouvertures au sommet de certaines d'entre elles, nous pouvions percevoir de légères colonnes de fumée s'élevant, les occupants ayant sans doute entretenu leurs maigres feux pendant toute la nuit.

Nous étions si près du village que, vu le silence de mort qui y régnait, je craignais que les huttes ne soient désertes, les Indiens s'étant enfuis avant que nous n'avancions. J'étais sur le point de me mettre en selle et de donner le signal de l'attaque, toujours inquiet de savoir où se trouvaient les autres détachements, lorsqu'un seul coup de fusil retentit, net et précis, de l'autre côté du village où nous nous trouvions. Me tournant rapidement vers le chef de bande, je lui demandai de nous donner "Garry Owen". Aussitôt, les notes entraînantes de cet air familier de marche et de combat retentirent dans toute la vallée et, en un instant, furent reprises des côtés opposés par les acclamations bruyantes et continues des hommes des autres détachements qui, fidèles à leurs ordres, étaient là et prêts à bondir sur les Indiens au moment où l'attaque commencerait.

C'est ainsi que commença la bataille de la Washita. Les clairons sonnèrent la charge et tout le commandement s'élança rapidement dans le village. Les Indiens furent pris au dépourvu, mais ils réalisèrent immédiatement les dangers de leur situation. Ils surmontèrent rapidement leur première surprise et saisirent en un instant leurs fusils, leurs arcs et leurs flèches, et s'élancèrent derrière les arbres les plus proches, tandis que certains sautèrent dans le cours d'eau, profond de près d'une taille, et, se servant de la rive comme d'une fosse de tir, commencèrent une défense vigoureuse et déterminée. Aux acclamations exaltées de mes hommes se mêlait le hurlement de défi des guerriers qui, dès le début, s'étaient battus avec un désespoir et un courage qu'aucune race d'hommes ne pouvait surpasser.

Nous avons pris possession du village et de ses huttes quelques instants après la charge, mais cela serait une victoire vaine si nous ne pouvions pas vaincre ceux qui les avaient récemment occupées, qui avaient alors déclenché un feu rapide et bien dirigé depuis leurs positions derrière les arbres et les talus. Au premier coup de feu, un nombre considérable d'Indiens se précipitèrent du village dans la direction par laquelle le groupe du major Elliot avait attaqué. Certains percèrent la ligne, tandis que d'autres entrèrent en contact avec les cavaliers et furent tués ou capturés.

Avant d'engager le combat, des ordres avaient été donnés afin d'empêcher la mise à mort de toute personne autre que les combattants du village, mais, dans une lutte de cette nature, il est parfois impossible de faire la distinction, en particulier lorsque, dans un conflit au corps à corps tel que celui dans lequel les troupes étaient alors engagées, les squaws étaient des adversaires aussi dangereux que les guerriers, tandis que les garçons indiens âgés de dix à quinze ans se révélèrent aussi experts et déterminés dans l'utilisation du pistolet et de l'arc et des flèches que les guerriers les plus âgés. Nous avons eu de nombreuses illustrations de ces faits.

[Le capitaine] Benteen, en menant l'attaque de son escadron à travers les bois en dessous du village, rencontra un jeune Indien d'à peine quatorze ans; il était à cheval et essayait de se frayer un chemin à travers les lignes. Nous ignorions alors l'objectif de ces Indiens en tentant ce mouvement, mais nous l'apprîmes bientôt à notre grand regret. Ce garçon se dirigea hardiment vers [Benteen], semblant vouloir l'affronter. Son allure juvénile et le fait qu'il n'était pas considéré comme un combattant incitèrent Benteen à tenter de le sauver en lui faisant des signes de paix et en obtenant sa reddition, lorsqu'il pourrait être placé en position de sécurité jusqu'à la fin de la bataille; mais le jeune sauvage ne désirait et n'acceptait aucune concession amicale de ce genre. Il se considérait comme un guerrier et le fils d'un guerrier et, en tant que tel, il avait bien l'intention de jouer son rôle de guerrier.

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Le revolver à la main, il s'élança sur [le capitaine] qui ne pouvait toujours pas le considérer autrement que comme un garçon inoffensif. L'arme en main, tout en chevauchant, il tira, mais sous l'effet de l'excitation ou du changement de position des deux parties, sa visée fut défectueuse et le coup passa inoffensivement à côté de la tête de Benteen. Un autre coup de feu suivit rapidement, mais sans meilleur effet. Pendant tout ce temps, le petit chef au teint sombre s'avançait hardiment pour réduire la distance qui le séparait de son adversaire. Une troisième balle fut tirée, et cette fois-ci à bon escient, puisqu'elle traversa le cou du cheval de Benteen, près de l'épaule.

L'appelant une dernière fois, mais en vain, à se rendre, et le voyant s'apprêter à tirer de nouveau, Benteen fut forcé, en état de légitime défense, d'épauler son revolver et de l'abattre, bien qu'il le fit avec admiration pour l'esprit courageux du jeune homme et qu'il regretta souvent qu'aucune autre solution ne lui ait été laissée dans ces circonstances. A l'arc de la selle du jeune Indien était accrochée une magnifique paire de petits mocassins ouvragés et ornés de perles. L'un des hommes de troupe de Benteen s'en empara par la suite et les lui présenta. Ce sont ces éléments qui nous ont permis de déterminer qui était le jeune chef [le fils de Black Kettle], un titre qui lui revenait de droit, à la fois par le sang et par le comportement.

Nous avions gagné le centre du village et nous nous trouvions au milieu des huttes, tandis que de tous côtés on entendait le claquement sec des fusils indiens et les lourdes réponses des carabines des soldats. Après avoir éliminé les petits groupes de guerriers dispersés qui avaient tenté de descendre la vallée, et dont certains avaient réussi, il ne restait que peu d'occasions d'employer avec succès des troupes montées. Comme les Indiens s'étaient alors abrités derrière des troncs et des arbres et au-delà des berges du ruisseau qui traversait le centre du village, et qu'il était impossible de les déloger à l'aide d'hommes montés, une grande partie des troupes reçut immédiatement l'ordre de combattre à pied, et les hommes reçurent l'instruction de profiter des arbres et des autres abris naturels pour combattre les Indiens du mieux possible.

Les tireurs d'élite de Cooke avaient adopté cette méthode dès le début, avec un effet remarquable. Lentement mais sûrement, les Indiens furent chassés de derrière les arbres, et ceux qui avaient échappé aux balles des carabines se postèrent avec leurs compagnons qui tiraient déjà depuis les berges. Un groupe de soldats tomba sur une squaw qui tentait de s'échapper, tenant par la main un petit garçon blanc, prisonnier entre les mains des Indiens, qui avait sans doute été capturé par l'un de leurs groupes de guerre au cours d'un raid sur les colonies. On ne saura jamais qui ou où étaient ses parents, s'ils étaient encore vivants ou s'ils avaient été assassinés par les Indiens, car la squaw, s'apercevant qu'elle et son prisonnier allaient être encerclés par les troupes et que sa fuite était compromise, décida, avec une malignité sauvage, que leur triomphe n'inclurait pas le sauvetage du petit garçon blanc. Jetant rapidement les yeux dans toutes les directions pour se convaincre de l'impossibilité de s'échapper, elle tira de sous sa couverture un énorme couteau et le plongea dans le corps presque nu de son prisonnier. L'instant d'après, la justice rétributive l'atteignit sous la forme d'une balle bien dirigée de l'une des carabines du soldat. Avant que les hommes ne puissent les atteindre, la vie avait abandonné les corps de la squaw et de son captif inconnu.

Le désespoir avec lequel les Indiens se battirent peut être déduit de ce qui suit: Dix-sept guerriers s'étaient postés dans une dépression du sol qui leur permettait de protéger complètement leur corps du feu de nos hommes, et ce n'est que lorsque les Indiens levèrent la tête pour tirer que les soldats purent viser avec quelque chance de succès. Tous les efforts déployés pour chasser les guerriers de ce point s'avérèrent infructueux et entraînèrent de lourdes pertes pour notre camp. Ils ne furent finalement vaincus que par nos hommes qui s'étaient mis à l'abri et qui les éliminaient par des tirs d'élite lorsqu'ils s'exposaient pour tirer sur les cavaliers. Finalement, le dernier fut éliminé de cette manière. Dans un profond ravin dans les alentours du village, les cadavres de trente-huit guerriers furent signalés après la fin du combat.

Beaucoup de squaws et d'enfants n'avaient, par prudence, pas tenté de quitter le village lorsque nous l'avons attaqué, mais étaient restés cachés à l'intérieur de leurs huttes. Tous échappèrent aux blessures, bien qu'entourés du vacarme et de l'excitation sauvage du combat, et à proximité des parties en présence, leurs craintes aient pris le dessus sur certains d'entre eux et qu'ils aient donné libre cours à leur désespoir en chantant le chant de la mort, une combinaison de sons bizarres qui évoquaient tout sauf des tonalités musicales. Dès que nous eûmes chassé les guerriers du village et que les combats furent repoussés à l'extérieur, j'ordonnai à Roméo, l'interprète, de faire le tour de toutes les huttes et d'assurer aux squaws et aux enfants qui y demeuraient qu'ils seraient sains et saufs et qu'on s'occuperait d'eux avec bienveillance; en même temps, il devait les rassembler dans les grandes huttes prévues à cet effet, qui se trouvaient près du centre du village. Cette mission était assez délicate car il était difficile de convaincre les squaws et les enfants qu'ils ne devaient pas craindre de mourir entre nos mains.

Questions et réponses

Le récit de la bataille de la Washita par Custer est-il exact?

L'exactitude du récit de Custer sur la bataille de la Washita en 1868 fut contestée dès janvier 1869 et l'est encore aujourd'hui. Certains aspects du récit sont toutefois considérés comme exacts.

Qu'est-ce qui poussa Custer à attaquer le village de Black Kettle?

Custer suivait les traces d'un groupe de raiders autochtones qui menaient au village de Black Kettle. Cependant, il y avait de nombreux villages le long de la rivière Washita et le groupe de pillards aurait pu appartenir à n'importe lequel d'entre eux. Le village de Black Kettle n'était que le premier sur le chemin de Custer.

Comment les habitants du village de Black Kettle ont-ils survécu à l'attaque?

Les Cheyennes et les Arapahos ont survécu à l'attaque de Custer en se cachant dans la rivière ou en s'échappant vers d'autres villages situés en aval.

Pourquoi les contestations du récit de Custer en 1869 ont-elles été oubliées?

Custer lui-même défendit ses actions, définissant le combat comme une "bataille" et non un "massacre", et trouva de nombreux partisans; mais les contestations de 1869 furent oubliés après sa mort à la bataille de Little Bighorn en 1876, après quoi il fut considéré comme un grand héros américain.

À propos du traducteur

Babeth Étiève-Cartwright
Babeth s'est consacrée à la traduction après avoir enseigné l'anglais au British Council de Milan. Elle parle couramment le français, l'anglais et l'italien et a 25 ans d'expérience dans le domaine de l'éducation. Elle aime voyager et découvrir l'histoire et le patrimoine d'autres cultures.

A propos de l'auteur

Joshua J. Mark
Joshua J. Mark est cofondateur et Directeur de Contenu de la World History Encyclopedia. Il était auparavant professeur au Marist College (NY) où il a enseigné l'histoire, la philosophie, la littérature et l'écriture. Il a beaucoup voyagé et a vécu en Grèce et en Allemagne.

Citer ce travail

Style APA

Mark, J. J. (2024, octobre 24). Récit de Custer sur la Bataille de la Washita [Custer's Account of the Battle of Washita River]. (B. Étiève-Cartwright, Traducteur). World History Encyclopedia. Récupéré de https://www.worldhistory.org/trans/fr/2-2550/recit-de-custer-sur-la-bataille-de-la-washita/

Le style Chicago

Mark, Joshua J.. "Récit de Custer sur la Bataille de la Washita." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. Dernière modification octobre 24, 2024. https://www.worldhistory.org/trans/fr/2-2550/recit-de-custer-sur-la-bataille-de-la-washita/.

Style MLA

Mark, Joshua J.. "Récit de Custer sur la Bataille de la Washita." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. World History Encyclopedia, 24 oct. 2024. Web. 20 déc. 2024.

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