Martyrs Chrétiens et Célibat

Article

Rebecca Denova
de , traduit par Babeth Étiève-Cartwright
publié le 02 avril 2025
Disponible dans ces autres langues: anglais, arabe
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Les martyrologes, genre unique de littérature chrétienne, sont apparus à partir du IIe siècle de notre ère. Un martyrologe raconte les souffrances et les épreuves d'un martyr chrétien et détaille son procès et son exécution. Un élément commun aux martyrologes est l'affirmation selon laquelle tous les martyrs auraient connu la virginité du berceau à la tombe, sans avoir été touchés par la pollution mondaine des rapports sexuels, de la procréation et du péché de luxure.

Saint Augustine Ordained a Bishop
Saint Augustin est ordonné évêque
Fr Lawrence Lew, O.P. (CC BY-NC-ND)

Le concept de martyre

La réponse de Rome à la propagation du christianisme à la fin du 1er siècle fut la persécution, officiellement sous le règne de l'empereur Domitien (r. de 81 à 96). Les chrétiens étaient accusés d'athéisme, d'incrédulité et de non-participation aux cultes d'État de l'Empire romain. L'athéisme signifiait donc que l'on ne souhaitait pas la prospérité de l'Empire. Cela équivalait à de la trahison qui, partout et toujours, était passible de la peine de mort. Ainsi, "les chrétiens aux lions . . . "

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Le martyre devint un sacrifice, une offrande de sa vie pour ses convictions religieuses.

La réponse chrétienne à la persécution fut d'adopter le concept juif du martyre, tiré de l'histoire de la persécution des Juifs pendant l'occupation grecque et de la révolte maccabéenne contre la domination grecque qui s'ensuivit (167 avant notre ère). Le terme "martyr" signifiait "témoin" dans le sens de témoignage devant un tribunal, "témoin de la vérité". Le martyre est devenu un sacrifice, une offrande de sa vie pour ses convictions religieuses. La récompense était la résurrection au ciel après la mort.

Les livres des Maccabées utilisaient des concepts antérieurs tirés des livres des prophètes juifs. La conquête assyrienne du nord d'Israël (722 av. J.-C.) et la conquête babylonienne et la destruction du premier temple de Jérusalem (587 av. J.-C.) provoquèrent une crise théologique. Il fallait répondre à des questions difficiles: Les dieux des Assyriens et des Babyloniens étaient-ils plus grands que le Dieu d'Israël ? Pourquoi Dieu a-t-il permis que cela se produise ?

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Les prophètes affirmaient que le Dieu d'Israël était toujours le plus puissant, mais qu'il utilisait les autres nations pour punir Israël de ses dérives constantes dans l'idolâtrie, c'est-à-dire l'adoration d'autres dieux. De manière polémique, l'idolâtrie conduisait à l'immoralité sexuelle des non-Juifs, les païens (les futurs païens de la chrétienté). Dans la littérature maccabéenne, l'oppression politique était assimilée à l'immoralité sexuelle: "En effet, le temple était rempli de débauche et de réjouissances de la part des nations, qui se livraient à la prostitution et avaient des rapports sexuels avec des femmes dans l'enceinte sacrée, et qui apportaient en outre des objets impropres aux sacrifices" (2 Maccabées 6:4). Les Juifs établissaient des "listes de vices" des modes de vie des Gentils. Les lettres de Paul, l'apôtre des païens, contiennent les mêmes listes de vices polémiques contre la culture dominante de l'Empire romain.

Les Pères de l'Église

Pendant la période où le christianisme s'est séparé du judaïsme, la majeure partie de notre littérature provient des écrits d'un groupe appelé rétrospectivement les Pères de l'Église, du Ier au IVe siècle. Au fur et à mesure que le christianisme évoluait et s'institutionnalisait, ces écrivains étaient considérés comme des experts dans leur domaine. Ils répondaient aux critiques de la culture dominante à l'égard du christianisme primitif, ainsi qu'aux débats entre les différentes communautés chrétiennes. Cette littérature contribua à ce qui est devenu le dogme chrétien, c'est-à-dire les enseignements et les croyances officiels de l'Église.

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À cette époque, la majorité des chrétiens étaient des païens convertis et ne tenaient plus aux marqueurs d'identité du judaïsme, à la circoncision ni aux lois alimentaires. Mais ils conservèrent les éléments fondamentaux du judaïsme, affirmant que le christianisme honorait les prophètes d'Israël, avec la venue d'une figure messianique, Jésus de Nazareth. Les principales contributions proviennent des écrits de Justin Martyr (100-165), d'Irénée de Lyon (c. 130 à v. 202), de Clément d'Alexandrie (c. 150- 215) et de Tertullien (155-220).

Justin Martyr
Justin de Naplouse
Theophanes the Cretan (Public Domain)

Cette période vit la formation de la hiérarchie de l'Église, l'élection des évêques ("surintendants") et des diacres. Les évêques et les diacres devinrent les administrateurs de la communauté. Dans un recueil de lettres connu sous le nom de Pastorales (1 & 2 Timothée; Tite), nous avons des règles pour l'élection des évêques qui ont absorbé les conventions sociales de la société romaine et de la famille:

L'adage est sûr: celui qui aspire à la charge d'évêque désire une noble tâche. L'évêque doit être irréprochable, marié une seule fois, tempérant, raisonnable, respectable, hospitalier, bon pédagogue, non ivrogne, non violent mais doux, non querelleur, non amateur d'argent. Il doit bien tenir sa maison, garder ses enfants soumis et respectueux en tout point - car si quelqu'un ne sait pas tenir sa maison, comment peut-il s'occuper de l'église de Dieu? Il ne doit pas être un converti de fraîche date, sous peine de se gonfler d'orgueil et de tomber sous la condamnation du diable. De plus, il doit être bien considéré par les étrangers, afin de ne pas tomber dans l'opprobre et dans les pièges du diable.

(1 Timothée 3:1-7)

Un évêque marié faisait valoir que les chrétiens adhéraient aux concepts séculaires du devoir religieux de l'homme, en tant que chef de famille, de procréer et d'engendrer une descendance pour le bien de la communauté.

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L'autorité des évêques

Dans les communautés d'identités ethniques différentes (anciens juifs, païens et chrétiens), en théorie, tous sont égaux en recevant le salut, alors pourquoi un évêque devrait-il avoir autorité sur les autres? Les dirigeants chrétiens adoptèrent les concepts de célibat et de chasteté. Le célibat consistait à ne pas conclure légalement de contrat de mariage; la chasteté consistait à ne pas avoir de relations sexuelles. Les évêques s'élevaient ainsi au-dessus de la masse, ce qui conférait une aura de sainteté à leur personne. Les chrétiens créèrent le rituel de la pénitence, où l'évêque avait le pouvoir de pardonner les péchés sur terre. C'est à ce moment-là qu'apparut la conception chrétienne de la sexualité humaine en tant que péché; les rapports sexuels ne devaient être tolérés que pour la procréation d'enfants.

Un évêque n'avait pas besoin de mourir dans les arènes pour être un martyr. Leur sacrifice consistait à renoncer aux conventions normales du mariage et des enfants.

Simultanément, nous avons le concept de martyrs vivants. En d'autres termes, un évêque n'avait pas besoin de mourir dans les arènes pour être un martyr. Leur sacrifice consistait à renoncer aux conventions normales du mariage et des enfants, à se consacrer à Dieu et à la communauté. Ils recevaient la même récompense, à savoir l'existence au paradis après la mort.

Rétrospectivement, les chrétiens ont relu les concepts de célibat et de chasteté dans les légendes et les martyrologes des premiers chrétiens, à commencer par les disciples de Jésus. Dans le monde antique, la virginité désignait simplement l'état de jeunesse avant la puberté; il n'y avait aucune connotation de concept théologique. Mais le renoncement à un comportement sexuel normal est devenu un idéal théologique pour les chrétiens.

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Les actes des apôtres

Au-delà des évangiles, nous disposons de peu d'informations contemporaines sur les premiers disciples de Jésus. Les quatre évangiles canoniques ne furent attribués à un auteur qu'au milieu du IIe siècle. C'est à cette époque que Marc, Matthieu, Luc et Jean reçurent leur nom, avec des justifications qui permettaient de savoir où ils avaient été écrits.

Le mot "disciple" signifiait "étudiant" ou "suiveur". Les Actes des Apôtres (attribués à l'auteur connu sous le nom de Luc) décrivent la manière dont les disciples ont commencé leurs missions à partir de Jérusalem vers les villes orientales de l'empire. Ils sont désormais qualifiés d'"apôtres", ce qui signifie "héraut", c'est-à-dire quelqu'un qui apporte un message. Les apôtres, les premiers missionnaires chrétiens, ont apporté le message de la "bonne nouvelle" de l'imminence du royaume de Dieu sur terre.

The Twelve Apostles of Christianity
Les douze apôtres du christianisme
Simeon Netchev (CC BY-NC-ND)

À l'époque (comme aujourd'hui), on s'intéressait à la vie des disciples, en particulier à ce qui leur était arrivé après l'ascension de Jésus au ciel. À partir du IIe siècle et au-delà, les écrits apocryphes (c'est-à-dire qui n'ont pas été acceptés dans le canon du Nouveau Testament) et les actes des apôtres ont proliféré. Ils partagent tous deux thèmes principaux: les récits affirment que les premiers apôtres étaient célibataires et chastes, et qu'ils sont tous morts en martyrs.

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Les actes de Thomas

Thomas, l'un des premiers disciples, voyagea de Jérusalem jusqu'en Inde. Les chrétiens indiens le considèrent comme leur fondateur; son tombeau se trouve dans l'État indien de Goa. En chemin, il traversa tous les empires du Moyen-Orient, convertissant des gens partout où il passait. Le thème dominant de son histoire est la mise en évidence du célibat et de la chasteté.

Dans une histoire typique de Thomas, il est invité (par un roi ou un magistrat local) à assister à un mariage. Thomas prend le couple à part et les dissuade de consommer leur mariage cette nuit-là. Partout où Thomas s'est rendu, nous avons de longs discours sur le célibat et la chasteté. Dans une scène, Jésus apparaît assis sur le lit conjugal d'un couple, énumérant toutes les choses polluantes impliquées dans le sexe et les risques de l'accouchement. L'histoire se termine par le martyre de Thomas en Inde, transpercé de lances parce qu'il avait converti les femmes du roi, qui avaient alors choisi la chasteté.

Actes de Pierre

Les Actes de Pierre sont l'un des récits les plus longs et les plus complets qui nous soient parvenus. Certaines informations ont été tirées des Évangiles et des Actes, mais d'autres sources restent inconnues. Le premier miracle décrit par Marc a lieu dans la synagogue de Capharnaüm, puis Jésus et les disciples se sont retirés dans la maison de Pierre. On nous dit que la belle-mère de Pierre était malade et que Jésus l'a guérie. Elle s'est ensuite levée et a cuisiné pour eux. D'après nos premiers témoignages (les lettres de Paul), nous savons que certains des disciples avaient des épouses. Dans 1 Corinthiens 9, Paul affirme qu'il devrait avoir autant d'autorité que les premiers disciples, qui recevaient apparemment le soutien des communautés: "Ne suis-je pas libre? Ne suis-je pas apôtre? . . N'avons-nous pas le droit de manger et de boire? N'avons-nous pas le droit de mener avec nous une soeur qui soit notre femme, comme font les autres apôtres, et les frères du Seigneur, et Céphas?" Mais c'est la dernière fois que nous entendons parler des épouses des apôtres.

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Saint Peter in Sinai
Icône de saint Pierre (Sinaï)
Wikipedia (Public Domain)

Au IIe siècle, Pierre est décrit comme veuf, ce qui le maintient dans le célibat. Nous apprenons également qu'il avait eu une fille de son premier mariage, qui voyageait partout avec lui et l'aidait dans sa mission. Cependant, alors qu'elle approchait de la puberté, de nombreux hommes demandèrent à Pierre de l'épouser. Pierre était déchiré sur ce qu'il devait faire. Il pria Dieu (et/ou Jésus) de le guider. Sa fille fut alors frappée par un éclair et resta infirme à vie. Cela fut compris comme un miracle divin; aucun homme ne voulut d'elle après cela. Elle était désormais libre de poursuivre l'œuvre de son père en tant que vierge. Son nom, Pétronille, ne nous est parvenu que par des traditions plus tardives, et l'on affirme que son tombeau se trouvait à Rome. Pierre mourut en martyr lors de la persécution présumée sous Néron, après l'incendie de Rome en 64.

Romans grecs

Les auteurs des récits des apôtres utilisèrent un genre de récit populaire, le roman d'amour grec. Il s'agissait d'un genre familier, car non seulement il était utilisé par les écrivains chrétiens, mais il a également été reproduit au fil des siècles dans les contes de fées, les romans d'amour Harlequin, les feuilletons et les versions cinématographiques populaires connues sous le nom de "comédies romantiques". Toutes ces histoires suivent le même schéma:

  1. Un garçon rencontre une fille et ils tombent amoureux. Soit ils appartiennent à la mauvaise classe, soit les parents désapprouvent pour diverses raisons, et ils sont séparés.
  2. La fille est enlevée par des pirates ou tombe sous l'emprise d'un méchant.
  3. Le garçon part à sa recherche.
  4. Le garçon a toujours un meilleur ami, un acolyte, qui le soulage sur le plan comique.
  5. Ils vivent tous deux des aventures, généralement un ou deux naufrages, et la fille est toujours menacée de viol ou de quasi-viol, mais sa virginité reste intacte. Il y a souvent un magistrat ou un haut fonctionnaire qui est amoureux d'elle et qui essaie de la forcer à se marier.
  6. Parfois, les dieux interviennent pour les sauver dans ces aventures.
  7. Ils se retrouvent enfin, se marient et vivent heureux pour toujours.

Les Actes des Apôtres utilisent tous ces éléments de romans d'action et d'aventure, mais avec plusieurs variantes chrétiennes. Au lieu de rencontrer des pirates, les chrétiens souffrent et sont persécutés par les autorités en raison de leur foi. La confusion des persécuteurs lorsqu'ils tentent d'exécuter les martyrs donne lieu à un soulagement comique. Les vents divins éteignent toujours les feux lorsqu'ils tentent de les brûler sur le bûcher. Dans les jeux de venatio ("chasse aux animaux sauvages"), les animaux refusent de les manger. Le plus souvent, le martyr doit prendre l'initiative de se donner la mort dans un dernier acte de dévotion.

A Christian Dirce
Dircé chrétienne
Franciszek Stolot (CC BY-SA)

Au IIe siècle, la croyance était que si l'on avait l'esprit de Dieu, on ne pouvait pas mener une vie normale, ce qui signifiait pas de sexe. Au lieu d'une vie d'amoureux heureuse, le bonheur était leur réussite à convertir miraculeusement les païens et à être récompensés par le paradis après la mort.

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Martyrs vierges

Les martyrologes ultérieurs ont mis en avant des femmes martyres célèbres en tant que vierges martyres. Ces histoires suivent un modèle imposé similaire. Les conditions de vie des prisonniers dans les cellules de détention étaient désastreuses: sombres, humides et pleines de rats. Les conditions physiologiques (peu ou pas de nourriture) des futurs martyrs ainsi que leurs conditions émotionnelles (envisager la torture et la mort) se combinaient souvent pour produire des visions.

Les histoires d'Agathe de Catane (231-251), d'Agnès (291-304) et de Catherine d'Alexandrie (287-305) en sont trois exemples. Agathe et Agnès ont affirmé avoir eu des visions et des visites de Marie, la mère de Jésus, et de son enfant. Un membre de la noblesse prétendait toujours tomber amoureux de ces femmes, mais elles refusaient toute tentative de séduction ou de mariage.

Saint Catherine, by Fernando Yáñez de la Almedina
Sainte Catherine, de Fernando Yáñez de la Almedina
Fernando Yáñez de la Almedina / Museo del Prado (Copyright, fair use)

La loi romaine interdisait l'exécution d'une vierge; les jeunes filles vierges devaient d'abord être violées dans leur cellule. Une intrigue courante dans ces histoires consistait à envoyer l'accusée dans une maison close pour qu'elle y soit violée et torturée. Agathe eut les seins coupés, symbole du rejet de la sexualité et de la maternité. Mais les miracles interviennent souvent. Les hommes qui avaient tenté de violer Agnès furent immédiatement frappés de cécité.

Jeune fille, Catherine d'Alexandrie prétendit avoir eu une vision de Marie et de l'enfant Jésus qui lui passa l'anneau au doigt, s'engageant ainsi dans un mariage mystique avec le Christ et rejetant le mariage traditionnel. Lorsque l'empereur Maxence l'autorisa à plaider contre les persécutions, il convoqua des philosophes et des orateurs pour un débat, mais le résultat fut qu'ils se convertirent tous au christianisme. Catherine fut condamnée à être attachée à un instrument de torture, une roue, mais celle-ci se brisa. Les feux d'artifice rotatifs modernes qui intègrent plusieurs spectacles dans les festivals urbains sont appelés "feux d'artifice de la roue de sainte Catherine".

Des conciles au droit canon

Bien que cela ait été prescrit au IIe siècle, il était évident que de nombreux évêques continuaient à se marier, à adopter des maîtresses et à avoir une progéniture. Il faudrait plusieurs siècles (et plusieurs réunions de conciles) pour que le célibat des clercs catholiques soit définitivement inscrit dans le droit canon. L'une des premières références est le concile d'Elvire (Espagne, 306) :

Les évêques, les presbytres, les diacres et les autres personnes exerçant un ministère doivent s'abstenir complètement d'avoir des relations sexuelles avec leurs femmes et de procréer des enfants. Si quelqu'un désobéit, il sera destitué de sa charge cléricale

(Canon 33).

L'empereur Justinien Ier (r. de 527 à 565) déclara que de tels mariages étaient nuls et non avenus et que la progéniture était illégitime.

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Le premier concile du Latran (1123) interdit aux prêtres, aux diacres et aux moines de s'associer à des concubines (secondes épouses légales) ou à des femmes qui n'étaient pas de leur famille. Au cours de la période médiévale, des scandales éclatèrent à la suite du mariage d'ecclésiastiques avec des femmes et de la nomination de fils illégitimes au sein du clergé. Le pape Borgia Alexandre VI (r. de 1492 à 1503) nomma son fils illégitime, Cesare Borgia, cardinal. Le clergé célibataire ne fut officiellement canonisé dans l'Église catholique que sous le pape Benoît XV, en 1917.

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Bibliographie

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Traducteur

Babeth Étiève-Cartwright
Babeth s'est consacrée à la traduction après avoir enseigné l'anglais au British Council de Milan. Elle parle couramment le français, l'anglais et l'italien et a 25 ans d'expérience dans le domaine de l'éducation. Elle aime voyager et découvrir l'histoire et le patrimoine d'autres cultures.

Auteur

Rebecca Denova
Rebecca I. Denova, PhD, est Professeure émérite de Christianisme primitif au sein du Département d'Études des religions de l'Université de Pittsburgh. Elle a récemment publié un ouvrage, "The Origins of Christianity and the New Testament" (Wiley-Blackwell)

Citer cette ressource

Style APA

Denova, R. (2025, avril 02). Martyrs Chrétiens et Célibat [Christian Celibate Martyrs]. (B. Étiève-Cartwright, Traducteur). World History Encyclopedia. Extrait de https://www.worldhistory.org/trans/fr/2-2682/martyrs-chretiens-et-celibat/

Style Chicago

Denova, Rebecca. "Martyrs Chrétiens et Célibat." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. modifié le avril 02, 2025. https://www.worldhistory.org/trans/fr/2-2682/martyrs-chretiens-et-celibat/.

Style MLA

Denova, Rebecca. "Martyrs Chrétiens et Célibat." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. World History Encyclopedia, 02 avril 2025, https://www.worldhistory.org/article/2682/christian-celibate-martyrs/. Web. 17 avril 2025.

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