Les Sculptures du Parthénon

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Article

Mark Cartwright
de , traduit par Babeth Étiève-Cartwright
publié le 14 décembre 2014
Disponible dans ces autres langues: anglais
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La qualité et la quantité extraordinaires des sculptures en marbre qui ornaient le Parthénon d'Athènes, au Ve siècle avant notre ère, en faisaient le temple grec le plus richement décoré. Les sculptures, aujourd'hui essentiellement scindées entre les marbres du Parthénon (marbres d'Elgin) et la collection du musée de l'Acropole d'Athènes, comprenaient autrefois 92 métopes, une frise unique courant sur les quatre côtés de l'édifice, et les deux frontons remplis de 50 figures monumentales. Les sculptures présentaient des scènes de la mythologie qui étaient une métaphore du triomphe grec sur Darius et Xerxès lors des récentes guerres perses. L'ensemble de l'édifice et des œuvres d'art était conçu pour impressionner les spectateurs et glorifier Athènes et sa déesse patronne Athéna. En tant qu'instigateur de l'ensemble du projet, Périclès se vantait à juste titre de "...nous serons la merveille du jour présent et des âges à venir".

Dionysos from the Parthenon.
Dionysos, Parthénon, Fronton Est
James Lloyd (CC BY-NC-SA)

Le Parthénon

Construit entre 447 et 432 avant notre ère, le Parthénon était dédié à Athéna, la divinité protectrice d'Athènes, et contenait une énorme statue de culte de la déesse, haute de douze mètres, faite de bois, d'ivoire et de 1 140 kilos d'or. Construit à l'âge d'or de Périclès, cet immense temple mesure environ 31 x 70 mètres et célèbre le triomphe des Grecs sur les armées d'invasion de la Perse. Il fut conçu par les architectes Ictinos et Callicratès pour proclamer au monde la gloire d'Athènes, et c'est pour cette raison que son extérieur fut orné de certaines des plus belles sculptures architecturales jamais produites dans l'Antiquité.

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Le marbre pentélique, 22 000 tonnes, avait été extrait du mont Pentélique voisin et utilisé pour la construction, car il était apprécié pour son aspect blanc pur et son grain fin. Les traces de fer dans le marbre ont, au fil du temps, donné à la pierre une douce couleur miel qui est particulièrement visible au lever et au coucher du soleil.

Jamais un temple grec n'avait été aussi richement décoré.

La sculpture décorative fut supervisée par le maître sculpteur Phidias, qui était également responsable de la statue géante d'Athéna qui se trouvait à l'intérieur du temple. Le fait que des sculpteurs différents aient travaillé sur des pièces différentes est attesté par la qualité variable de la sculpture et par le volume de travail requis. Il s'agissait sans doute aussi d'une nécessité en raison du délai très court de la construction. Jamais un temple grec n'avait été aussi richement décoré. Le thème principal de la sculpture était la lutte entre l'ordre et le chaos, une métaphore des guerres entre les Grecs et l'ennemi perse qu'ils considéraient comme des "barbares". Une grande partie de la sculpture subit des dommages divers au cours des siècles, mais grâce aux descriptions de Pausanias du IIe siècle de notre ère et aux dessins réalisés par un artiste flamand (peut-être Jacques Carrey) en 1674, certaines des pièces les plus gravement endommagées peuvent être identifiées (sous réserve de confirmation).

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West Pediment of the Parthenon (Reconstruction)
Fronton ouest du Parthénon (reconstruction)
Tilemahos Efthimiadis (CC BY-SA)

Les frontons

Les frontons représentent pour le sculpteur le défi de remplir un espace triangulaire, et dans ce cas, un grand espace de 28,55 mètres de long avec une hauteur maximale de 3,45 mètres au centre. Cinquante figures d'une qualité exceptionnelle décorent les frontons (onze seulement ont été conservées). Elles furent sculptées en ronde-bosse, bien que le dos ne soit pas visible depuis le sol, à 16 mètres plus bas. En outre, les extrémités des frontons étaient dotées d'une sima en forme de tête de lion ou d'une gouttière (fausse dans ce cas), dont l'une, provenant de l'angle nord-est, a survécu.

Pour résoudre le problème de la diminution de l'espace dans les angles, les sculpteurs placèrent des personnages allongés près des extrémités ou se dissolvant dans une mer imaginaire, voire firent déborder la sculpture sur le bord inférieur du fronton. Le fronton est représentait la naissance d'Athéna (ce qui est en rapport avec la représentation de la fête panathénaïque organisée le jour de l'anniversaire de la déesse sur la frise), tandis que le fronton ouest montrait la compétition entre Poséidon et Athéna pour devenir patron d'Athènes, le premier offrant aux Athéniens une source salée, la seconde le premier olivier. Il s'agit là d'une autre caractéristique inhabituelle: la divinité du temple apparaît sur les deux frontons.

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Le fronton ouest était dominé par les deux dieux Athéna et Poséidon (chacun mesurant trois mètres de haut) qui se disputaient la faveur des Athéniens. Ce qui se trouvait entre eux n'a survécu que par fragments, mais il pourrait s'agir soit de la foudre de Zeus, soit de l'olivier, cadeau gagnant d'Athéna, peut-être en bronze. De chaque côté se trouvait un char avec des chevaux cabrés, celui le plus proche de Poséidon transportant probablement sa servante Amphitrite, tandis qu'à gauche, le char d'Athéna est conduit par Nike. Athéna est également accompagnée d'Hermès, tandis qu'Iris se tient près de Poséidon. Sur les bords s'étendent diverses figures debout ou assises, probablement des rois et des héros du début de l'Attique; le plus certainement identifié est Cécrops, représenté avec ses enroulements de serpent conventionnels. Une autre figure facilement identifiable est un monstre marin représentant le pouvoir de Poséidon de contrôler les mers. La figure couchée à l'extrême gauche, dont la jambe disparaît dans la base du fronton, a été identifiée comme le dieu du fleuve Ilissos ou Eridanos.

East Pediment of the Parthenon
Fronton est du Parthénon
Solipsist (CC BY-SA)

La composition centrale du fronton est est plus spéculative en raison de la rareté des pièces conservées et de la perte des attributs d'identification en bronze que les personnages devaient tenir dans leurs mains. Zeus est au centre de la scène et sa fille Athéna, qui vient de naître, se tient immédiatement à droite, armée. À côté d'Athéna se tient Héphaistos, qui a participé à la naissance en fendant la tête de Zeus avec sa hache. Les autres dieux de l'Olympe constituent le reste de la sculpture du fronton. Hélios et les chevaux de son char jaillissent de l'angle gauche qui représente Océan, qui encercle le monde. Vient ensuite Dionysos allongé sur sa peau de panthère (la figure la mieux conservée, mais peut-être aussi identifiée à Hercule sur une peau de lion, même si sa présence précoce serait incongrue à la naissance d'Athéna), puis Déméter et Coré (ou Perséphone) assises sur des coffres en bois, puis Artémis (ou Hébé) qui semble sur le point de sortir du fronton en se penchant vers l'avant. Héra et Apollon se tenaient peut-être à gauche de Zeus. Sur le côté droit, après le char de Poséidon, se trouvent probablement Hestia, Dioné et Aphrodite, qui est allongée sur les genoux de sa mère et peut être identifiée par sa robe qui laisse séduisamment une épaule nue. Dans le coin le plus à droite se trouve peut-être Séléné (la Lune) ou Nyx (la Nuit), les têtes des chevaux de son attelage remplissant le coin droit, reflétant celles d'Hélios sur le côté opposé. Les chevaux d'Hélios sont cependant représentés pleins d'énergie alors qu'ils entament leur voyage quotidien à travers le ciel, tandis que les chevaux de Séléné semblent épuisés, car ils sont à la fin de leur course quotidienne et s'enfoncent dans l'Océan. Cela signifie que toute la scène doit se dérouler à l'aube.

Centaur & Lapith Metope, Parthenon
Métope de Centaure et Lapithe, Parthénon
Dschwen (CC BY-SA)

Les Métopes

Le Parthénon est encore une fois exceptionnel car toutes les métopes ont été remplies. Les 92 métopes ont été sculptées en haut-relief (jusqu'à 25 cm de profondeur et presque en ronde-bosse), et chaque dalle mesure environ 1,25 x 1,2 mètre. Trente-deux métopes, alternant avec des triglyphes, ont été placées le long des longs côtés du bâtiment, tandis que chaque façade en comptait 14. Tous les fonds étaient à l'origine peints en rouge.

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Les métopes les plus importantes se trouvaient sur le côté est, car c'était l'entrée principale du temple. Ici, les dieux de l'Olympe combattent des géants pour le contrôle de l'univers; quatre scènes montrent des chars, mais certains dieux ne sont pas identifiés en raison de leur état endommagé. Les métopes occidentales représentent des Grecs combattant des Amazones, ces dernières étant une autre métaphore des étrangers et, à ce titre, elles portent des chapeaux et des costumes orientaux. Les figures sont tellement abîmées qu'il est impossible d'être certain qu'il s'agit bien de femmes, mais l'autre possibilité, à savoir qu'il s'agisse de soldats perses, semble peu probable étant donné les sujets mythologiques du reste de la sculpture du Parthénon. Les Grecs sont semi-nus, et le héros Thésée est probablement inclus dans la narration, tandis que les Amazones montent à cheval ou combattent à pied. Chaque métope représente un duel en tête-à-tête, les Amazones l'emportant parfois, les Grecs d'autres fois.

Les métopes nord montrent la chute de Troie - une fois de plus considérée comme une métaphore de la Perse, une convention établie dans l'art attique - avec les trois premières (à partir de l'extrémité ouest) montrant des divinités qui semblent juger les événements, y compris Athéna descendant de son char. D'autres scènes montrent des guerriers quittant leur navire, Ulysse à la recherche d'Hélène, Ménélas rencontrant Hélène et la fuite d'Énée. Les métopes du sud représentent des Grecs combattant des centaures, autre métaphore du chaos et de la barbarie, peut-être lors du mariage de Perithous, le roi des Lapithes, lorsque les centaures se sont enivrés et ont tenté d'enlever les femmes lapithes. Thésée, le roi d'Athènes, était l'un des invités au mariage, d'où le lien avec la ville. À l'origine, elles devaient comporter des ajouts en bronze tels que des armes; néanmoins, ces métopes, situées plus près des flancs abrupts de l'acropole, sont parmi les mieux conservées des sculptures du Parthénon, et elles montrent une lutte vibrante et dynamique entre les protagonistes.

Lapith & Centaur, Parthenon Metope
Lapithe et Centaure, métope du Parthénon
Marie-Lan Nguyen (CC BY)

La frise

La frise mesure 160 mètres de long, près d'un mètre de haut, et comprend un nombre incroyable de 380 personnages et 220 animaux, principalement des chevaux, tous sculptés en bas-relief (maximum 6 cm) se chevauchant sur 115 dalles. Grâce à une combinaison de pièces conservées et de dessins, 90 % de la frise a pu être reconstituée. Parcourant les quatre côtés du bâtiment entre la colonnade extérieure et la cella intérieure, le récit de la frise commence dans l'angle sud-ouest et se poursuit parallèlement le long des côtés pour s'achever à l'extrémité, exactement au-dessus de la porte principale. Une telle conception était une caractéristique ionique et plus typique des bâtiments du trésor. En réalité, le Parthénon et le drap d'or de la statue d'Athéna servaient également de trésor à la ville et à la ligue de Délos. La frise est inhabituelle en ce sens qu'elle ne représente pas de scènes de la mythologie grecque et unique en ce sens que les quatre côtés représentent un seul et même sujet: la procession panathénaïque. Il s'agissait d'une cérémonie religieuse qui avait lieu tous les quatre ans et qui impliquait une procession le long de la Voie sacrée pour finalement remettre une nouvelle robe ou peplos spécialement tissé, l'arrhephoros, à l'ancienne statue d'Athéna en bois d'olivier qui se trouvait dans l'Erechthéion, à côté du Parthénon.

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Horsemen from the Parthenon Frieze
Cavaliers de la frise du Parthénon
Gavin Anderson (CC BY)

Comme l'espace est étroit pour observer la frise, le fond des scènes avait été peint en bleu, les figures avaient également été peintes en bleu, rouge et or, et le relief avait été approfondi en haut, de sorte que les figures semblent se pencher vers l'observateur situé loin en dessous. Certains détails avaient été peints plutôt que sculptés, des ajouts tridimensionnels tels que des armes et des rênes de chevaux avaient été ajoutés en bronze, et les yeux avaient été rendus à l'aide de verre coloré.

Une cavalcade occupe 70 % de la composition, et la cérémonie de la robe semble être représentée dans la partie centre-est. On y trouve des dignitaires, des musiciens jouant de la kithara et de l'aulos, et des cavaliers représentés nus ou portant des tuniques ou des armures, représentant peut-être les héros de Marathon, mais aussi des athlètes pratiquant le sport; certains voient également dans ces cavaliers le fondateur mythique des Panathénées, Thésée. Parmi les autres personnages de la procession figurent des maréchaux, des anciens ou des juges tenant des branches d'olivier, des chars (des apobátês qui sautent sur leur char en mouvement tout en portant une armure d'hoplite complète, comme lors de l'événement sportif des jeux du festival), des animaux sacrifiés (béliers et bœufs), des femmes portant des pots à eau, des bols et des métiers à tisser, des garçons portant des plateaux d'offrandes, des héros et les dieux de l'Olympe qui semblent être en conversation animée en attendant l'arrivée de la procession.

Athéna et Zeus occupent le devant de la scène et sont tous deux légèrement plus grands que les autres dieux de la frise. Les douze dieux sont assis sur des tabourets, un trône étant réservé à Zeus, et ils sont accompagnés de deux divinités de moindre importance. Du côté gauche se trouve Hermès avec son célèbre chapeau sur les genoux, puis Dionysos qui pose son bras sur l'épaule d'Hermès, ensuite Déméter qui tient la torche qu'elle a utilisée pour rechercher sa fille Perséphone dans le monde souterrain, puis Arès, Iris et Héra, qui soulève son voile nuptial, et enfin Zeus sur son trône. À droite, Athéna avec son égide sur les genoux, puis Héphaistos avec le bâton qu'il portait pour sa claudication. Viennent ensuite Poséidon dont le trident a été ajouté à la peinture, Apollon, qui devait porter une couronne dorée comme l'indiquent les petits trous dans ses cheveux, Artémis, Aphrodite et, enfin, Eros tenant une ombrelle.

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Panathenaic Procession
Procession des Panathénées
James Lloyd (CC BY-NC-SA)

Au centre, sur le côté est, se trouve la scène culminante de cinq personnages engagés dans la cérémonie du peplos. Il y a trois enfants, dont deux sont certainement des filles. L'homme adulte est peut-être l'archonte supérieur, qui reçoit le peplos, et la femme est peut-être la prêtresse d'Athéna, qui prend un tabouret à l'une des filles.

Conclusion

Le Parthénon resta en usage pendant plus de 1 000 ans, mais lorsqu'il fut transformé en église chrétienne au Ve siècle de notre ère, une grande partie de la sculpture décorative fut délibérément endommagée ou enlevée dans le but d'effacer le passé païen. En outre, l'ajout d'une abside sur le côté est nécessita la suppression d'une partie de la frise orientale. En 1458, les Turcs transformèrent le bâtiment en mosquée et, en 1687, il fut utilisé comme poudrière. Cela s'avéra désastreux lorsqu'un obus des Vénitiens attaquants déclencha la poudre et arracha le cœur de l'édifice. Le général vénitien Morosini causa d'autres dégâts lorsqu'il tenta d'enlever les figures du fronton ouest, brisant les chevaux lorsque son gréement s'effondra. Il semblait alors que le grand art de ce monument autrefois grandiose était destiné à être perdu à jamais.

En 1801, le comte d'Elgin obtint des autorités turques totalement indifférentes l'autorisation de prendre des moulages des sculptures restantes et d'en extraire tous les morceaux qu'il souhaitait. Cette collection, connue sous le nom de marbres d'Elgin ou marbres du Parthénon, fut achetée par le gouvernement britannique en 1816, pour être finalement exposée au British Museum, à Londres. Une partie de la frise, une métope et une tête d'une figure de fronton se trouvent également au Louvre, à Paris, et plusieurs autres pièces sont dispersées dans divers musées européens. Certaines des pièces restées sur le monument ne furent enlevées que dans les années 1980 et 1990 et ont donc été gravement endommagées par la pollution atmosphérique. Elles sont aujourd'hui exposées au musée de l'Acropole, à quelques centaines de mètres du Parthénon, et disposées exactement dans l'ordre où elles se trouvaient à l'origine, avec des moulages pour les pièces manquantes. Le débat se poursuit pour unifier les sculptures dans un espace d'exposition unique, mais où qu'elles se trouvent, les sculptures du Parthénon continuent d'émerveiller les visiteurs et de susciter l'admiration et l'imagination de tous, sans doute comme elles le faisaient déjà il y a 2 500 ans.

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Bibliographie

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Traducteur

Babeth Étiève-Cartwright
Babeth s'est consacrée à la traduction après avoir enseigné l'anglais au British Council de Milan. Elle parle couramment le français, l'anglais et l'italien et a 25 ans d'expérience dans le domaine de l'éducation. Elle aime voyager et découvrir l'histoire et le patrimoine d'autres cultures.

Auteur

Mark Cartwright
Mark est un auteur, chercheur, historien et éditeur à plein temps. Il s'intéresse particulièrement à l'art, à l'architecture et à la découverte des idées que toutes les civilisations peuvent nous offrir. Il est titulaire d'un Master en Philosophie politique et est le Directeur de Publication de WHE.

Citer cette ressource

Style APA

Cartwright, M. (2014, décembre 14). Les Sculptures du Parthénon [The Parthenon Sculptures]. (B. Étiève-Cartwright, Traducteur). World History Encyclopedia. Extrait de https://www.worldhistory.org/trans/fr/2-780/les-sculptures-du-parthenon/

Style Chicago

Cartwright, Mark. "Les Sculptures du Parthénon." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. modifié le décembre 14, 2014. https://www.worldhistory.org/trans/fr/2-780/les-sculptures-du-parthenon/.

Style MLA

Cartwright, Mark. "Les Sculptures du Parthénon." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. World History Encyclopedia, 14 déc. 2014. Web. 21 déc. 2024.

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