Mahavira

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Définition

Joshua J. Mark
de , traduit par Babeth Étiève-Cartwright
publié le 23 septembre 2020
Disponible dans ces autres langues: anglais
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Vardhamana Mahavira (by Jules Jain, CC BY-NC-SA)
Vardhamana Mahavira
Jules Jain (CC BY-NC-SA)

Mahavira ("Grand Héros", c. 599-527 av. J.-C.), également connu sous le nom de Vardhamana est le sage à qui l'on attribue la fondation de la religion non théiste du jaïnisme, un système de croyances établi aux VIe et Ve siècles avant notre ère en Inde, qui propose à ses adeptes une voie disciplinée vers la libération spirituelle.

Selon la tradition jaïne, il n'est cependant pas le fondateur de la religion, mais seulement le 24e tirthankara ("bâtisseur de gué") de la foi, qui hérita de la vision de ses prédécesseurs et l'établit sous sa forme actuelle. Les Jaïns croient que les principes de la foi sont anciens, plus anciens que l'hindouisme, et qu'ils furent "reçus" par les tirthankaras précédents, qui les enseignèrent à leurs disciples et les transmirent de génération en génération.

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Selon la tradition jaïne, Vardhamana vit le jour dans la caste des guerriers (kshatriya) dans une famille royale, grandit dans le luxe en tant que prince et héritier présomptif, et renonça à tout cela à l'âge de 30 ans après la mort de ses parents. Il se retira dans les bois pour vivre comme un ascète spirituel et, après 12 ans de méditation intense, de jeûne et de renoncement à la chair, il atteignit l'omniscience alors qu'il était assis sous un arbre Sala sur les rives d'une rivière. Après son illumination, il commença à prêcher ce qui lui avait été révélé, attirant des disciples et établissant son école philosophique qui, à l'époque, n'était qu'une parmi tant d'autres. Le jaïnisme fut popularisé par le mécénat royal, en particulier au début de l'empire maurya (322-185 av. J.-C.), et continua à gagner des adeptes par la suite. Aujourd'hui, les jaïns continuent de résider principalement en Inde, mais ont établi des communautés dans le monde entier.

Contexte historique

Les spécialistes s'accordent à dire que Vardhamana a bel et bien existé et qu'il était un contemporain plus âgé de Siddhartha Gautama (le Bouddha, c. 563-483 av. J.-C.), mais les détails de sa vie sont en grande partie légendaires. Il vit le jour à une époque de réformes sociales et religieuses importantes et déploya les efforts qui aboutirent à l'établissement du jaïnisme en réaction aux problèmes perçus par la foi hindoue dominante pour répondre aux besoins spirituels des gens de son époque. C'était une époque de transition et de changement; l'urbanisation transformait les communautés agraires des petits villages et des villes en cités, et les gens remettaient en question les paradigmes acceptés de la religion. Pour reprendre les termes de l'universitaire Jeffrey D. Long, cette période fut une sorte de "Réforme protestante" indienne au cours de laquelle la tradition monolithique de l'hindouisme, jusqu'alors acceptée comme vérité sans discussion, fut remise en question.

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La vision jaïne mettait l'accent sur l'importance de la foi dans la poursuite du chemin vers la libération et le rejet des tentations des plaisirs de ce monde.

L'hindouisme était fondé sur l'acceptation des Vedas, les écritures hindoues, censées avoir été reçues par des sages - directement de l'univers - dans un passé lointain. Ces ouvrages étaient donc les paroles de Dieu faisant autorité, ne pouvant être remises en question, et étaient récitées par les prêtres hindous et interprétées par eux à l'intention du peuple. Cependant, les Védas avaient été prononcés et compris en sanskrit - une langue que les gens du peuple ne comprenaient pas - et les prêtres ne semblaient pas offrir d'interprétation ou d'assistance.

À l'époque de Vardhamana, ce paradigme fut remis en question par un certain nombre de penseurs qui affirmaient qu'il n'était plus acceptable que les prêtres hindous revendiquent la connaissance absolue des vérités éternelles. De nombreuses écoles de pensée se développèrent à cette époque, parmi lesquelles le charvaka, le jaïnisme et le bouddhisme. Ces trois écoles sont connues sous le nom de nastika ("il n'existe pas") parce qu'elles étaient hétérodoxes et rejetaient l'autorité des Védas. D'autres écoles, qui acceptaient les Védas et les pratiques des prêtres hindous, sont connues sous le nom d'astika ("il existe") et étaient considérées comme orthodoxes.

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L'école de Charvaka affirmait que la vérité ne pouvait être connue que par une perception directe et personnelle. Les ouï-dire n'étaient pas considérés comme valables pour établir la vérité. Puisque personne ne pouvait appréhender la vérité ou la transmettre avec exactitude, la seule réponse appropriée était de poursuivre le plaisir comme but ultime de la vie. Vardhamana, cependant, n'était pas d'accord et prêchait une vision destinée à fournir à l'adepte une transformation spirituelle directe et individuelle, à condition qu'il maintienne l'autodiscipline nécessaire. En opposition à Charvaka, la vision jaïne mettait l'accent sur l'importance de la foi dans la poursuite du chemin vers la libération et le rejet des tentations des plaisirs du monde.

Jain Narayana Temple
Temple Jaïn Narayana
Dineshkannambadi (CC BY-SA)

Le jaïnisme rejetait également le concept hindou de libération, selon lequel l'âme immortelle d'un individu doit endurer une série d'incarnations au fil des actions passées (karma), en accomplissant son devoir (dharma) selon sa caste. La caste la plus élevée était celle des brahmanes (prêtres), suivie des kshatriyas (guerriers), des vaishyas (marchands) et des shudras (ouvriers), les dalits (manipulateurs d'abats) se situant au bas de l'échelle. En accomplissant son dharma conformément à sa caste, l'individu gravit les échelons de la hiérarchie dans sa prochaine vie pour finalement parvenir à s'unir à l'âme suprême (atman) et atteindre la libération. Vardhamana prétendait que l'on pouvait accomplir la même chose en une seule vie en adhérant aux principes et à la discipline jaïns.

Jeunesse et renoncement

Bien que Vardhamana soit actuellement cité comme le fondateur du jaïnisme, la tradition jaïne rejette cette affirmation et maintient qu'il n'est que le plus récent tirthankara à avoir reçu une vision intemporelle. L'érudit Jeffrey D. Long commente:

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Selon le jaïnisme - et, en fait, toutes les grandes traditions indiennes - l'univers est un processus sans commencement ni fin, qui passe par une série continue de cycles cosmiques, dont chacun dure des milliards d'années. Au cours de chaque cycle, ou kalpa, selon la version jaïne de ce modèle, 24 Tirthankaras apparaissent. Mahavira, en tant que 24e Tirthankara de notre cycle actuel, n'est donc pas, à proprement parler, le fondateur du jaïnisme, mais plutôt son redécouvreur et son réinitiateur, après que la voie ait décliné pendant la période qui s'est écoulée entre son époque et celle de son prédécesseur, le 23e Tirthankara, qui s'appelait Parsvanatha. (Jaïnisme, 29)

Parsvanatha (c. 872 - c. 772 av. J.-C.) est le premier personnage historiquement attesté parmi les tirthankaras précédant Vardhamana. Comme Vardhamana, il serait né d'un membre de la famille royale, aurait reçu une éducation de classe supérieure et aurait renoncé à sa richesse et à sa position à l'âge de 30 ans pour devenir un ascète religieux. Il atteignit l'illumination sous un arbre dhaataki à Bénarès et prêcha ensuite sa vision de la manière de vivre une vie ordonnée et paisible, sans souffrance, pendant les 70 années suivantes. La vie de Vardhamana suit de près ce récit.

Il convient de noter, avant de raconter l'histoire de Vardhamana, que son lieu de naissance, son influence et le lieu de sa mort sont contestés, tout comme les détails de sa vie. Après Vardhamana, le jaïnisme se scinda en deux grandes écoles de pensée (il en existe d'autres), la Digambara ("vêtue de ciel", dont les moines ne portent pas de vêtements) et la Svetambara ("vêtue de blanc", dont le clergé porte des vêtements blancs sans couture), qui prétendent toutes deux détenir la "véritable" vision jaïne. L'histoire bien connue des débuts de la vie de Vardhamana, de son renoncement et de son illumination est considérée comme vraie par la secte Svetambara, mais est rejetée par la secte Digambara.

L'histoire de Vardhamana apparaît pour la première fois dans le texte connu sous le nom d'Acaranga (3e-2e siècle av. J.-C.), quelque 300 ans après sa mort. Selon la tradition Svetambara, il serait né en mars ou avril 599 avant notre ère, fils du roi Siddhartha et de la reine Trishala, tous deux adeptes de la vision de la vérité de Parsvanatha. À sa naissance, il fut distingué pour sa grandeur lorsque le dieu Indra apparut pour l'oindre et l'emmener dans les cieux afin de le consacrer à sa mission de sage religieux. Des esprits lumineux et diverses divinités auraient chanté à sa naissance et il rayonnait de lumière et d'un doux parfum. Lorsqu'il fut rendu à ses parents, ceux-ci et tous ceux qui les entouraient prospérèrent et ils nommèrent le nouveau-né Vardhamana ("prospère").

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Vardhamana
Vardhamaná
Vassil (CC BY-SA)

Dans sa jeunesse, on dit qu'il aurait accompli de grands exploits, notamment en sauvant ses camarades de jeu d'un grand serpent sans le blesser, puis en les sauvant d'un démon qui était d'abord apparu comme l'un d'entre eux. Selon certaines légendes, c'est à ce moment-là qu'il fut appelé Mahavira pour ses exploits héroïques. Une fois plus âgé, en tant que prince, on attendait de lui qu'il participe à la chasse, mais il refusa, affirmant qu'il fallait traiter tous les êtres vivants comme il souhaitait être traité, et il fut ainsi libéré de cette obligation.

Il vécut dans le palais de ses parents, dans le luxe, jusqu'à ce qu'ils ne meurent peu avant son trentième anniversaire. Quelque temps après cet événement, il renonça à sa position et à sa richesse et quitta son royaume pour vivre en ascète dans les bois. Il pratiqua des jeûnes extrêmes, s'exposa aux éléments, mortifia la chair et rejeta toutes les tentations qui lui étaient offertes de se détourner de son objectif, qui était d'atteindre l'illumination. Après 12 ans de discipline ascétique, il atteignit l'omniscience complète à l'âge de 43 ans, alors qu'il était assis sous un arbre Sala.

Principes et enseignements

L'école Digambara affirme qu'après sa libération, il aurait transmis son message de manière non verbale et aurait continué à pratiquer l'ascèse. Les Svetambara, en revanche, soutiennent qu'il aurait enseigné comme n'importe quel autre sage, voyageant à travers le pays avec onze disciples connus sous le nom de Ganadharas, dont le principal était Gautama Swami, le scribe qui écrirait plus tard les enseignements de son maître.

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Le problème central que le jaïnisme cherche à résoudre est la souffrance causée par le cycle des renaissances et des morts répétées dans lequel l'âme est piégée en raison de l'accumulation de matière karmique. Contrairement à l'hindouisme et au bouddhisme, qui définissent le karma comme une action, Vardhamana le conçoit comme une matière, une sorte de pollution qui s'accroche à l'âme et l'obscurcit, l'empêchant de reconnaître sa véritable nature ainsi que la nature de l'existence.

Karma, Ceiling Sculpture, Ranakpur
Karma, Sculpture de Plafond, Ranakpur
Shakti (CC BY-SA)

La matière karmique s'attache à l'âme simplement en raison de la nature de l'âme, mais comme l'âme continue à se réincarner et à s'attacher aux objets des sens, elle attire à elle de plus en plus de matière karmique et devient de plus en plus terne et inconsciente d'elle-même. L'érudit John M. Koller commente:

Dans son état pur, lorsqu'elle n'est pas associée à la matière, la connaissance [de l'âme] est omnisciente, sa félicité est pure et son énergie est illimitée. Mais la matière qui incarne l'âme souille sa félicité, obstrue sa connaissance et limite son énergie. (33)

Pour se libérer de cette matière, il faut rejeter l'attachement aux objets des sens et les illusions que l'on accepte comme étant la réalité. La vision jaïne de la manière d'accomplir cela est une discipline spirituelle qui procède des cinq vœux (entièrement articulés dans le texte fondateur connu sous le nom de Tattvartha Sutra, composé aux 2e-5e siècles de notre ère) qui sont destinés à informer les pensées et le comportement de chacun, à encourager le non-attachement aux choses éphémères de ce monde et à permettre à chacun de mener une vie moralement pure qui le libérera du cycle de la renaissance et de la mort. Les vœux sont les suivants:

  • Ahimsa (non-violence)
  • Satya (véracité)
  • Asteya (ne pas voler)
  • Brahmacharya (chasteté ou fidélité à son conjoint)
  • Aparigraha (non-attachement)

Les cinq vœux constituent une base solide qui permet à l'adepte de s'engager sur un chemin en 14 étapes qui le mènera à la libération. À l'étape 1, l'âme est esclave des passions et de l'ignorance et ne peut se reconnaître. Elle sait qu'elle est dans un état de souffrance, mais elle est incapable de se libérer parce qu'elle est profondément enlisée dans l'illusion. Elle fait diverses tentatives aux étapes 2 à 4, puis, à l'étape 5, elle prend les cinq vœux et commence à se restreindre. Aux étapes 6 à 12, l'âme s'efforce de surmonter la léthargie spirituelle, d'accroître la conscience de soi et de se débarrasser du karma néfaste en menant une vie attentive et réfléchie. À l'étape 13, on maîtrise le détachement des choses de la vie, même l'attachement et l'identification à son propre corps. À l'étape 14, on a atteint la libération de la sagesse transcendante (moksha) et, à la mort, on ne renaît plus jamais. Vardhamana et les tirthankaras qui l'ont précédé ont tous atteint la 14e étape mais, au lieu de se laisser passer du monde physique à la félicité, ils sont restés pour enseigner aux autres comment se libérer à leur tour.

La réalité aux multiples facettes

L'aptitude de l'âme à se détacher des objets des sens - en particulier de l'attachement au corps - repose sur la reconnaissance du fait que la réalité n'est pas uniforme et ne peut pas être facilement définie en raison des limitations subjectives de l'individu. On peut définir une chaise, par exemple, comme étant "en bois, quatre pieds droits, un dossier incurvé avec des tiges" et discuter de chaises avec d'autres personnes sur la base de sa propre définition, pour être surpris lorsque d'autres personnes définissent une chaise comme étant "grande, molle, à pieds courts, avec des coussins". Si l'on discute de chaises, ce n'est peut-être pas très important, mais cela devient plus important lorsqu'il s'agit de définir la Vérité, la Justice ou Dieu. L'insistance sur sa propre définition de quoi que ce soit attache l'âme plus directement au monde physique par l'identification au soi en tant que corps, à l'identité que l'on a construite par l'expérience.

Vardhamana souligna l'importance de l'anekantavada (réalité à multiples facettes), un concept illustré par la parabole de l'éléphant et des cinq sages aveugles.

Vardhamana souligna l'importance de l'anekantavada (la réalité aux multiples facettes) dans cette situation, un concept illustré par la parabole de l'éléphant et des cinq sages aveugles. Un grand roi fait entrer cinq sages aveugles dans une pièce où se trouve un éléphant et leur demande de le définir. Le premier touche la trompe de l'éléphant et le définit comme un serpent; le deuxième touche la queue et affirme qu'il s'agit d'une corde; le troisième place sa main sur une jambe et affirme que l'animal est un tronc d'arbre; le quatrième caresse une oreille et affirme que l'éléphant est comme un éventail, tandis que le cinquième touche son flanc et déclare que les autres ont tort et que l'éléphant est comme un mur.

De la même manière, les gens n'appréhendent qu'une petite partie de la réalité, prétendent que leur vision est la bonne et, au lieu d'écouter et d'essayer de comprendre d'autres définitions et visions, continuent d'affirmer leur propre droit. Ce faisant, l'individu attache de plus en plus de matière karmique à son âme en maintenant ce que l'emblématique psychologue Carl Jung appellerait une "identité fixe", une identification complète avec le type de personne que l'on croit être, et reste l'esclave de son ignorance et de ses passions. Reconnaître la nature multiforme de l'existence permet d'explorer d'autres possibilités que celles que l'on a de la façon dont le monde fonctionne ou de ce qui constitue une chaise ou un éléphant, et il est plus facile de reconnaître les éléments sans importance dans sa vie et de les laisser partir, ce qui favorise le détachement et une plus grande tranquillité d'esprit.

Conclusion

Vardhamana prêcha la vision jaïne pendant 30 ans après avoir atteint la libération, voyageant nu à travers le pays puisqu'il avait même renoncé à se vêtir. En guidant les autres sur le chemin de la vie éclairée, il mit l'accent sur les cinq vœux et les quatorze étapes, en conjonction avec les concepts connus sous le nom de Ratnatraya, les trois joyaux:

  • la vraie foi
  • la connaissance juste
  • Conduite pure

Le dernier de ces principes met l'accent sur le respect de tous les êtres vivants et sur le fait de ne pas blesser intentionnellement qui que ce soit, même si l'on estime que la violence est justifiée dans l'instant. Son insistance sur l'ahimsa comme meilleure réponse à l'agression d'autrui influencerait plus tard le Mahatma Gandhi (1869-1948) dans ses efforts pour libérer l'Inde de la domination britannique, et les efforts de Gandhi inspireraient ceux du Dr Martin Luther King, jr (1929-1968) dans le mouvement des droits civiques aux États-Unis dans les années 1950 et 1960.

Vardhamana continue d'être vénéré de nos jours à travers les festivals jaïns de Mahavir Janma Kalyanak, qui célèbre son anniversaire, et de Diwali (qui n'est pas la même fête que la fête hindoue, mais qui a lieu en même temps), qui commémore le jour de son illumination, qui est aussi le jour de l'an pour les jaïns. Les temples jaïns l'honorent par des statues et il est inclus dans les prières de gratitude pour ses efforts visant à éveiller l'humanité à la possibilité d'une manière plus élevée de comprendre et de vivre la vie.

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Traducteur

Babeth Étiève-Cartwright
Babeth s'est consacrée à la traduction après avoir enseigné l'anglais au British Council de Milan. Elle parle couramment le français, l'anglais et l'italien et a 25 ans d'expérience dans le domaine de l'éducation. Elle aime voyager et découvrir l'histoire et le patrimoine d'autres cultures.

Auteur

Joshua J. Mark
Auteur indépendant et ex-Professeur de Philosophie à temps partiel au Marist College de New York, Joshua J. Mark a vécu en Grèce et en Allemagne, et a voyagé à travers l'Égypte. Il a enseigné l'histoire, l'écriture, la littérature et la philosophie au niveau universitaire.

Citer cette ressource

Style APA

Mark, J. J. (2020, septembre 23). Mahavira [Vardhamana]. (B. Étiève-Cartwright, Traducteur). World History Encyclopedia. Extrait de https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-11748/mahavira/

Style Chicago

Mark, Joshua J.. "Mahavira." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. modifié le septembre 23, 2020. https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-11748/mahavira/.

Style MLA

Mark, Joshua J.. "Mahavira." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. World History Encyclopedia, 23 sept. 2020. Web. 15 sept. 2024.

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