Georg Friedrich Haendel

Définition

Mark Cartwright
de , traduit par Babeth Étiève-Cartwright
publié le 20 juillet 2023
Disponible dans ces autres langues: anglais, néerlandais
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George Frideric Handel Protrait (by Attributed to Balthasar Denner, Public Domain)
Portrait de Georg Friederich Haendel
Attributed to Balthasar Denner (Public Domain)

Georg Friedrich Haendel (1685-1759) était un compositeur de musique baroque né en Allemagne mais devenu citoyen anglais. Parmi ses œuvres les plus célèbres figurent le Messie, la Water Music, des opéras baroques italiens et des oratorios anglais. Compositeur à succès de son vivant, ses dernières années furent marquées par la cécité. Il est enterré dans l'abbaye de Westminster.

Ses débuts à Halle-sur-Saale et Hambourg

Georg Friederich Haendel vit le jour à Halle-sur-Saale, en Allemagne, le 23 février 1685. Son père était chirurgien-barbier et sa mère était la fille d'un pasteur. George apprit à jouer de l'orgue avec Friedrich Wilhelm Zachow (1663-1712), mais la musique n'était pas au centre de son éducation. Haendel suivit les souhaits de son défunt père et étudia le droit à l'université de Halle en 1701, tout en conservant son intérêt pour la musique en exerçant ses fonctions d'organiste adjoint de la cathédrale de la ville. La famille de Haendel avait refusé à Friedrich l'opportunité d'effectuer un séjour d'études rémunéré en Italie, mais il était désormais décidé à poursuivre une carrière de musicien à plein temps. Haendel était sur le point d'être promu organiste officiel de la cathédrale lorsqu'il décida que Halle n'était pas faite pour lui.

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Haendel quitta Halle pour Hambourg en 1703, le centre de l'opéra en Allemagne, et il fut engagé comme second violon dans l'orchestre de l'opéra de la ville. Il obtint de bons résultats et fut promu maestro al cembalo, c'est-à-dire adjoint du chef d'orchestre principal. Un curieux incident impliquant le chanteur et compositeur Johann Mattheson (1681-1764) prouva que Haendel prenait son opéra au sérieux. Haendel et Mattheson se disputèrent un rôle dans l'un des opéras de ce dernier et se battirent en duel à l'épée en 1704 à l'extérieur du théâtre. Mattheson brisa son épée en frappant un bouton de manteau de Haendel et, finalement, aucune des parties ne fut blessée; ils se réconcilièrent.

Haendel commença bientôt à écrire ses propres opéras. Almira et Nero furent tous deux créés en 1705. Le premier fut un succès, le second un échec. Haendel se vit offrir un poste permanent à l'opéra de Hambourg, mais il préféra se rendre en Italie pour essayer d'en apprendre davantage sur le métier d'auteur d'opéra dans le pays qui en était le berceau. Haendel arriva à Florence à l'automne 1706.

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The Chandos Portrait of George Frideric Handel
Le Portrait Chandos de Georg Friedrich Haendel
Unknown Artist (Public Domain)

Déménagement en Italie

Le compositeur obtint le patronage du prince Ferdinand de Médicis, ce qui lui permit d'écrire un autre opéra, Rodrigo, en 1707. Rodrigo fut créé à Florence et remporta un vif succès. À Rome, Haendel trouva un autre mécène fortuné en la personne du cardinal Pietro Ottoboni, qui lui permit d'apprendre les exigences de la musique sacrée pour les services religieux catholiques. Il écrivit alors de nombreuses cantates et Il trionfo del Tempo e del Disinganno (1707), son premier oratorio. Pendant son séjour à Rome, Haendel fit la connaissance d'un autre compositeur, Arcangelo Corelli (1653-1713), et de la famille de musiciens Scarlatti. Haendel composa son premier oratorio sur le thème de la résurrection, qui fut joué au Palazzo Bonelli le dimanche de Pâques 1708. Haendel se rendit ensuite à Naples et séjourna quelque temps à Venise, où il écrivit son opéra Agrippina. L'œuvre fut mise en scène dans le cadre des célébrations du carnaval de 1710 et fut jouée sur une période impressionnante de 27 nuits..

L'HYMNE ENTRAÎNANT DE HAENDEL, ZADOK THE PRIEST, A ÉTÉ JOUÉ LORS DE CHAQUE COURONNEMENT BRITANNIQUE DEPUIS 1727.

Déménagement en Angleterre

En 1710, Haendel quitta l'Italie et prit ses fonctions de maître de chapelle à la cour de George Ludwig, électeur de Hanovre, futur George Ier de Grande-Bretagne (r. de 1714 à 1727). Ce rôle signifiait que Haendel était le directeur de toutes les affaires musicales de la cour et qu'il devait régulièrement composer de nouvelles œuvres. Il ne resta pas longtemps, car il obtint du prince-électeur le droit de prendre une année de congé, ce qui était en fait une condition pour accepter le poste. En conséquence, Haendel s'installa à Londres en 1711.

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Haendel changea peut-être plusieurs fois de pays, mais son intérêt pour l'opéra resta constant. Il écrivit plus de 40 opéras, reprenant souvent des morceaux de musique d'autres compositeurs, une pratique assez courante à l'époque. À l'époque de Haendel, l'opéra était un opéra baroque, c'est-à-dire que la représentation ressemblait davantage à un concert mis en scène qu'aux drames joués par des compositeurs d'opéra plus tardifs comme Giuseppe Verdi (1813-1901) et Giacomo Puccini (1858-1924). Les opéras baroques comportent très peu d'action, et c'est la musique qui définit l'atmosphère des différentes scènes qui racontent l'histoire de personnages bibliques ou mythologiques. De plus, le public venait avant tout pour apprécier les performances vocales, et le compositeur devait donc en tenir compte dans sa production.

Western Classical Music, c. 1700-1950
Musique classique occidentale, vers 1700-1950
Simeon Netchev (CC BY-NC-ND)

Haendel composa Rinaldo, qui fut joué au Queen's Theatre de Londres en février 1711. L'opéra fut un succès grâce à la musique mais aussi à quelques touches théâtrales comme le lâcher de moineaux pendant l'aria Augellati (Petits oiseaux). Des extraits de l'opéra furent publiés et l'opéra fut repris à Dublin quelques mois plus tard. Une fois son année terminée, Haendel retourna à ses fonctions à Hanovre, où il trouva le temps de composer une série d'ouvertures et de concerti grossi (œuvres orchestrales où il y a une interaction entre l'orchestre et les solistes). Vers la fin de l'année 1712, Haendel convainquit son employeur de lui permettre de prendre un nouveau congé prolongé pour se rendre à nouveau en Angleterre.

L'opéra de Haendel Il pastorfido (Le berger fidèle) fut présenté au Haymarket Theatre de Londres en 1713. L'œuvre ne fut pas un succès, certains critiques déplorant la brièveté de la production. Haendel réagit avec Teseo, un opéra en cinq actes racontant la légende du héros grec Thésée. Haendel écrivit son Te Deum et son Jubilate pour commémorer la fin de la guerre de Succession d'Espagne (1701-1715). Anne, reine de Grande-Bretagne (r. de 1702 à 1714), appréciait les talents du compositeur et accorda au musicien une pension à vie. Lorsque la reine Anne mourut en 1714, le nouveau monarque n'était autre que l'ancien employeur de Haendel à Hanovre. Au lieu de devoir retourner en Allemagne, Haendel put désormais rester indéfiniment en Angleterre.

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En Angleterre, la mort prématurée du compositeur Henry Purcell (1659-1695) avait laissé un vide, et George Ier devint un partisan enthousiaste de la musique dans son nouveau royaume. En 1717, le roi commanda à Haendel la célèbre suite de mouvements orchestraux appelée plus tard Water Music. Cette musique fut jouée par un orchestre de 50 musiciens alors que le cortège royal naviguait sur la Tamise pour se rendre à un pique-nique, puis revenir à Whitehall. La Water Music de Haendel comprend 20 pièces, mais ce sont les six pièces qui ont été rassemblées en une suite par Hamilton Harry en 1922 qui sont les plus connues.

Handel & George I
Haendel et George Ier
Edouard Jean Conrad Hamman (Public Domain)

Le roi employa également Haendel pour enseigner la musique à ses petites-filles et doubla la pension qu'Anne lui avait accordée. Le soutien de George Ier à la musique se traduisit par un don important pour fonder l'Académie royale de musique de Haendel en 1719. L'Académie fut soutenue par un groupe de 62 souscripteurs, avec l'idée que Haendel serait son compositeur attitré et que l'accent serait mis sur les productions d'opéra. Haendel répondit parfaitement à leurs attentes et composa 14 opéras italiens, qui furent interprétés par certains des meilleurs chanteurs d'Europe. Le public fut conquis par les spectacles inoubliables d'œuvres telles que Giulio Cesare (1724), Tamerlano (1724) et Rodelinda (1725), mais les coûts énormes des productions et surtout les salaires exorbitants des interprètes vedettes mirent l'Académie mais aussi Haendel dans de sérieuses difficultés financières. Les rivalités n'arrangèrent guère les choses, notamment entre les deux sopranos Francesca Cuzzoni et Faustina Bordoni qui se battirent sur scène lors d'une représentation - on peut se demander combien de temps il fallut au public pour comprendre que ce "spectacle" n'avait pas été prévu dans le libretto.

Haendel développa ce que l'on a appelé l'oratorio anglais, une sorte d'opéra édulcoré à caractère religieux.

Le compositeur avait d'autres riches mécènes que le roi. Le duc de Chandos commanda à Haendel ses 11 Chandos Anthems, le masque Acis et Galatea (un court opéra) et l'oratorio Esther. Le mécénat royal se poursuivit sous George II de Grande-Bretagne (r. de 1727 à 1760). Lors du couronnement du roi à l'abbaye de Westminster le 11 octobre 1727, quatre nouvelles pièces de Haendel furent jouées, dont l'hymne entraînant Zadok the Priest, qui a été joué à chaque couronnement britannique depuis lors. C'est également en 1727 que Haendel fut naturalisé anglais.

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Tout au long des années 1730, Haendel écrivit de nombreux nouveaux opéras à succès, dont Ariodante (1735), Alcina (1735) et Atalanta (1736), mais il connut aussi de nombreux échecs, et la tension commença à se faire sentir. En avril 1737, le compositeur fut victime d'une légère attaque cérébrale. Haendel se rétablit dans la ville thermale d'Aix-la-Chapelle en Allemagne. Il se rétablit suffisamment pour composer de la musique pour les funérailles de l'épouse de George II, la reine Caroline, en novembre; la pièce comprend l'hymne The ways of Zion do mourn.

Le Messie

Les concertos pour orgue de Haendel, présentés dans des lieux comme le Covent Garden de Londres, remportèrent un grand succès et, dans les années 1740, Haendel se tourna de plus en plus vers ce type de musique instrumentale plutôt que vers l'opéra. Il développa ce que l'on appelle aujourd'hui l'oratorio anglais - une sorte d'opéra édulcoré à vocation religieuse - qui atteignit son apogée avec son Messie de 1742. Haendel y incorpora à la musique sacrée standard des éléments d'opéra tels que l'aria en récitatif, et il accorda une place beaucoup plus importante à l'orchestre et au chœur, au détriment des solistes. Haendel écrivit l'oratorio Le Messie en trois semaines. La musique est basée sur un texte de Charles Jennens adapté de la Bible et du Prayer Book Psalter. Le Messie fut joué pour la première fois en avril 1742 à Dublin. Lors de représentations ultérieures, telles que les représentations annuelles de l'hôpital Foundling dans les années 1750, Haendel augmenta le nombre d'interprètes, une tendance à des productions de plus en plus importantes qui se poursuivit jusqu'au 19e siècle. Le segment le plus populaire est sans aucun doute le chœur "Hallelujah", qui est à jamais associé à la résurrection (comme dans des films tels que La plus grande histoire jamais contée), mais aussi à toute autre occasion joyeuse, qu'elle soit religieuse ou profane.

Parmi les autres oratorios notables, citons l'immense succès de Samson (1741), le très acclamé Belshazzar (1744), Judas Maccabaeus (1746), Solomon (1748) et Jephtha (1751). L'oratorio Theodora (1750) ne réussit guère à éveiller l'intérêt du public, bien qu'il s'agisse de l'œuvre préférée de Haendel. Haendel jouait très souvent ses concertos pour orgue comme pièces d'intervalle pour ses oratorios.

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En 1745, le compositeur souffrit à nouveau d'une maladie passagère qu'il décrivit comme "désordonnée dans la tête" (Arnold, 805). La dernière commande royale de Haendel date de 1749, lorsqu'on lui demande d'écrire une musique pour accompagner un magnifique feu d'artifice, dans le Green Park de Londres, qui célébrait la paix d'Aix-la-Chapelle qui avait mis fin à la guerre de succession d'Autriche (1740-1748). La musique de Haendel fut un succès, mais le feu d'artifice échappa à tout contrôle et brûla une partie du pavillon.

Caractère de Haendel

Haendel était "un homme grand et vigoureux... qui parlait anglais avec un fort accent allemand; un homme au tempérament explosif et en même temps un philanthrope doux et même généreux... un homme à la foi simple et sans complexe et à la vision de la vie tout aussi simple." (Schonberg, 41). Haendel, homme de mode, n'était jamais vu en public sans une énorme perruque.

Handel in 1733
Georg Friederich Haendel en 1733
Balthasar Denner (Public Domain)

Le compositeur n'était pas toujours posé, étant parfois "coléreux et intolérant" (Steen, 48). Il ne supportait certainement pas que les interprètes fassent preuve d'une théâtralité injustifiée. Un jour, un ténor fut tellement contrarié par le caractère direct de Haendel qu'il menaça de sauter sur le clavecin du compositeur et de le briser. Haendel le rembarra avec une réplique cinglante: "Faites-moi savoir quand vous ferez cela et j'en ferai la publicité, car je suis sûr que plus de gens viendront vous voir sauter que vous entendre chanter" (Steen, 48).

Haendel eut plusieurs aventures avec des chanteuses dans sa jeunesse, mais il ne se maria jamais et sut préserver sa vie privée - "aucun compositeur n'a été aussi secret à son sujet" (Schonberg, 43). Haendel était avisé avec son argent, investissant ses gains élevés et achetant à l'occasion de beaux tableaux - sa collection impressionnante d'une soixantaine de peintures comprenait deux Rembrandt. Il aimait la nourriture et la boisson et était donc célèbre pour sa corpulence. Il était également généreux et soutenait financièrement l'hôpital des enfants trouvés de Londres, institution dont il fut nommé gouverneur en 1750.

Œuvres les plus célèbres

Les œuvres les plus populaires de Georg Friederich Haendel sont les suivantes :

12 concerti grossi (1739)
L'opéra Rinaldo (1711)
Suite de lamusique de l'eau (1717)
Acis et Galatée (1718)
Hymnes de Chandos (1717-20)
Hymnedu prêtre Zadok (1727)
L'opéra Ariodante (1735)
L'opéra Alcina (1735)
Samson oratorio (1741)
Oratorio duMessie (1742)
OratorioBelshazzar (1744)
Musique pour les feux d'artifice royaux (1749)

Tomb Marker of George Frideric Handel
Pierre tombale de Georg Friederich Haendel
J. Rennocks (CC BY-SA)

Mort et héritage

Haendel commença à perdre la vue en 1751, et une opération de la cataracte échoua. À partir de la fin de l'année 1752, le compositeur était complètement aveugle. Il ne composa plus de nouvelles œuvres, mais il édita des pièces plus anciennes et pouvait encore jouer de l'orgue grâce à son excellente mémoire. La carrière du grand musicien s'acheva, mais quels sommets il avait atteints ! "Peu de compositeurs dans l'histoire ont fait l'objet d'un tel éloge en leur temps, et peu ont fait l'objet d'autant d'écrits" (Schonberg, 43).

Georg Friederich Haendel mourut à Londres le 14 avril 1759 à l'âge de 74 ans; il avait été victime d'une série d'évanouissements la semaine précédente. Il laissa une grande fortune, dont il ordonna qu'un tiers soit donné à diverses œuvres de charité. Un monument à la mémoire du compositeur fut sculpté et placé dans l'abbaye de Westminster où son corps fut inhumé. L'épitaphe gravée dans la pierre se lit comme suit :

Le plus excellent musicien
qu'aucune époque n'ait jamais produit
dont les compositions étaient
un langage sentimental
plutôt que de simples sons;
Et surpassaient le pouvoir des mots
dans l'expression des diverses passions
du cœur humain.

Haendel fut le premier grand compositeur à faire l'objet d'une biographie, écrite par le révérend John Mainwaring en 1760. La plupart des œuvres chorales de Haendel n'ont jamais été démodées, mais ses opéras et ses nombreux oratorios furent négligés en raison de l'évolution des goûts musicaux. Un événement commémoratif organisé dans l'abbaye de Westminster en 1784 permit de faire connaître la musique de Haendel à une nouvelle génération, tout comme un événement similaire, toujours à Londres, en 1791. Joseph Haydn (1732-1809) et Ludwig van Beethoven (1770-1827) étaient tous deux de grands admirateurs de l'œuvre de Haendel. Wolfgang Amadeus Mozart s'était exclamé un jour : "Haendel comprend l'effet mieux que n'importe lequel d'entre nous - quand il le veut, il frappe comme un coup de tonnerre" (Wade-Matthews, 308). Heureusement pour la postérité, George III de Grande-Bretagne (r. de 1760 à 1820) était un collectionneur avide des partitions autographes de Haendel, et celles-ci furent finalement été transmises à la British Library. La Water Music Suite et Le Messie restent des œuvres incontournables, aussi immédiatement reconnaissables que n'importe quelle autre œuvre du répertoire baroque. Aujourd'hui, Haendel est largement reconnu comme "l'une des personnalités musicales les plus puissantes du dix-huitième siècle: polyvalent, cosmopolite, peu orthodoxe et inépuisablement ingénieux" (Sadie, 137).

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Questions & Réponses

Pourquoi Georg Friederich Haendel est-il célèbre ?

Georg Friederich Haendel est célèbre en tant que compositeur de musique baroque, en particulier l'oratorio Le Messie.

Donnez 3 faits intéressants sur Georg Friederich Haendel ?

Georg Friederich Haendel a écrit l'oratorio Le Messie, probablement la pièce chorale la plus populaire jamais écrite, il est né en Allemagne mais est devenu citoyen anglais, et il est enterré dans l'abbaye de Westminster.

Quelle est la particularité de la musique de Haendel ?

L'une des particularités de la musique de Haendel est qu'il a créé un nouveau type de spectacle, l'oratorio anglais, qui est un mélange de musique sacrée et d'éléments choraux d'opéra.

Quelle est l'une des œuvres les plus célèbres de Georg Friederich Haendel ?

L'œuvre la plus célèbre de Georg Friederich Haendel est son oratorio Le Messie, joué pour la première fois à Dublin en avril 1742.

Traducteur

Babeth Étiève-Cartwright
Babeth s'est consacrée à la traduction après avoir enseigné l'anglais au British Council de Milan. Elle parle couramment le français, l'anglais et l'italien et a 25 ans d'expérience dans le domaine de l'éducation. Elle aime voyager et découvrir l'histoire et le patrimoine d'autres cultures.

Auteur

Mark Cartwright
Mark est un auteur, chercheur, historien et éditeur à plein temps. Il s'intéresse particulièrement à l'art, à l'architecture et à la découverte des idées que toutes les civilisations peuvent nous offrir. Il est titulaire d'un Master en Philosophie politique et est le Directeur de Publication de WHE.

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Style APA

Cartwright, M. (2023, juillet 20). Georg Friedrich Haendel [George Frideric Handel]. (B. Étiève-Cartwright, Traducteur). World History Encyclopedia. Extrait de https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-22084/georg-friedrich-haendel/

Style Chicago

Cartwright, Mark. "Georg Friedrich Haendel." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. modifié le juillet 20, 2023. https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-22084/georg-friedrich-haendel/.

Style MLA

Cartwright, Mark. "Georg Friedrich Haendel." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. World History Encyclopedia, 20 juil. 2023. Web. 21 nov. 2024.

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