Hector Berlioz

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Définition

Mark Cartwright
de , traduit par Babeth Étiève-Cartwright
publié le 10 novembre 2023
Disponible dans ces autres langues: anglais, néerlandais
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Photograph of Hector Berlioz (by Pierre Petit, Public Domain)
Photographie d'Hector Berlioz
Pierre Petit (Public Domain)

Hector Berlioz (1803-1869) était le principal compositeur français de musique romantique, surtout connu pour son innovante Symphonie fantastique et son utilisation d'orchestres et de chœurs à grande échelle dans des œuvres telles que l'opéra Les Troyens. Le style novateur de Berlioz connu aussi bien des succès que des échecs, mais son héritage durable est qu'il a radicalement changé ce que l'on pensait possible en matière de musique orchestrale.

Jeunesse et influences

Louis-Hector Berlioz (généralement appelé Hector Berlioz) vit le jour le 11 décembre 1803 à La-Côte-Saint-André, près de Grenoble, dans le sud-est de la France. Le père d'Hector était médecin et voulait que son fils suive ses traces. Cependant, lorsqu'il entra à la faculté de médecine de Paris, Hector ne supporta pas les aspects les plus sombres de la médecine du XIXe siècle. Il quitta l'école après deux ans d'études, "fermement décidé à mourir plutôt que d'entrer dans la carrière qu'on m'avait imposée " (Schonberg, 160). Il changea alors d'orientation professionnelle et décida de se consacrer à la musique.

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Enfant, Hector n'avait appris que la guitare et la flûte, mais il avait envoyé quelques-unes de ses compositions à un éditeur parisien. Il revint alors à sa véritable passion. Il prit des cours privés de composition avec Jean-François Le Sueur (1760-1837) et Antoine Reicha, qui avait déjà travaillé avec Ludwig van Beethoven (1770-1827). Berlioz assista à d'innombrables opéras, lançant souvent des exclamations depuis sa place gratuite pour étudiant lorsqu'il estimait que quelque chose ne tournait pas rond dans l'orchestration. Berlioz étudia ensuite au Conservatoire de Paris de 1826 à 1830.

Berlioz ne maîtrisa jamais que la guitare et la flûte en tant qu'interprète. Contrairement à la grande majorité des grands compositeurs, il ne savait pas jouer du piano, mais il considérait cela comme un avantage. Berlioz déclara un jour que sa méconnaissance de l'outil habituel du compositeur "m'a délivré de la tyrannie des doigts", et qu'il était donc "reconnaissant à l'heureux hasard qui m'a forcé à composer librement et en silence" (Schonberg, 158).

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Berlioz gagnait modestement sa vie en enseignant la guitare et le chant dans un théâtre.

Les compétences de Berlioz en matière de composition et d'orchestration sont cependant évidentes. Il était un admirateur de Carl Maria von Weber (1786-1826), décrivant un jour sa réaction à la musique du romantique allemand en ces termes: "Weber, qui semble murmurer à mon oreille comme un esprit familier, habitant une sphère heureuse où il attend de me consoler" (Wade-Matthews, 352). Berlioz orchestra même l'Invitation à la danse (Aufforderung zum Tanz) de Weber, une pièce pour piano. Une autre influence précoce fut celle de Christoph Willibald Gluck (1714-1787), et une plus durable, celle de Beethoven. Berlioz était cependant une nouveauté dans le monde de la musique. Il créa l'orchestre élargi et moderne. Il "fut le premier à s'exprimer de manière autobiographique en musique, apportant une nouvelle dimension à la psychologie de l'art". En outre, il "s'est affranchi des règles classiques de l'harmonie pour explorer des progressions d'accords jusqu'alors interdites et un type de mélodie entièrement nouveau" (Schonberg, 158-9).

Hector Berlioz, 1832
Hector Berlioz, 1832
Émile Signol (Public Domain)

Berlioz gagnait modestement sa vie en enseignant la guitare à des élèves privés et en chantant dans un chœur de théâtre à Paris (il s'agissait d'une troupe de vaudeville, ce qui porta un tel coup à ses aspirations musicales plus élevées qu'il n'en parla pas à ses amis). La carrière de Berlioz fut lancée en 1830 lorsqu'il remporta, après quatre tentatives, le prestigieux Prix de Rome avec une cantate. Le prix comprenait une bourse de cinq ans, dont deux ans d'études à l'Académie de France à Rome. Le jeune compositeur passa 15 mois en Italie avant de revenir à Paris, ignorant la stipulation du prix selon laquelle il devait étudier une troisième année en Allemagne. Berlioz voulait avant tout faire ses preuves à Paris.

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Caractère et famille

Berlioz avait un front haut, un nez aquilin, et une masse de cheveux qu'un contemporain décrivit comme "comme un énorme parapluie" (Schonberg, 162). Sensible, passionné et impulsif par nature, Berlioz était sujet à des émotions violentes" (Wade-Matthews, 356). Un autre historien de la musique dresse un portrait similaire:

C'était un enthousiaste, un révolutionnaire naturel, le premier des avant-gardistes conscients... Désinhibé, très émotif, plein d'esprit, mercurien, pittoresque, il était très conscient de son romantisme. Il aimait l'idée même du romantisme: le besoin d'expression personnelle et de singularité, par opposition aux idéaux classiques d'ordre et de modération.

(Schonberg, 159)

Western Classical Music, c. 1700-1950
Musique classique occidentale, vers 1700-1950
Simeon Netchev (CC BY-NC-ND)

En 1827, Berlioz tomba amoureux de l'actrice irlandaise Harriet Smithson, qu'il vit lors d'une représentation d'Hamlet à Paris. Berlioz, qui ne l'avait jamais rencontrée en dehors de la scène, était totalement épris de la célèbre actrice et l'appelait "la Belle Irlandaise". Harriet commença par repousser les avances du compositeur, ignorant ses lettres et refusant les représentations de sa musique, mais sa persévérance porta ses fruits et ils finirent par se marier en octobre 1833. Le couple vécut à Montmartre, mais le mariage ne fut pas une réussite. Harriet buvait trop, et Berlioz était pratiquement absent de la vie familiale et de celle de son jeune fils Louis. À partir de 1841, Berlioz prit une maîtresse, la cantatrice Marie Recto. À partir de 1844, Berlioz et Harriet ne vivaient plus ensemble. Suite à une série d'attaques cérébrales incapacitantes, Harriet mourut en 1854; Berlioz épousa alors Marie.

La Symphonie fantastique de Berlioz fut la première symphonie à inclure la harpe.

Symphonie fantastique

Le chef-d'œuvre qu'est la Symphonie fantastique fut composé en 1830. Berlioz expliqua à ses auditeurs, avec des mots, le sens de sa musique novatrice. La Symphonie fantastique est une symphonie en cinq mouvements, à laquelle le compositeur donna le sous-titre "Épisodes de la vie d'un artiste". Berlioz souhaitait que toute sa musique soit comprise, c'est pourquoi il donna à chacun des mouvements des titres suggestifs. Par exemple, le quatrième mouvement, une extravagance de cuivres et de tambours, s'intitule Marche au supplice et reflète l'imagination d'un artiste opiomane qui, dans un rêve induit par la drogue, croit avoir tué celle qu'il aimait et être sur le point d'être guillotiné pour son crime. Le motif mélodique ou l'idée fixe que l'on entend tout au long de la symphonie, mais plus particulièrement dans les trois premiers mouvements, représente la "bien-aimée" de l'artiste. Le dernier mouvement représente un sabbat de sorcières, et la "bien-aimée" est transformée en une vieille femme, représentée musicalement par la déformation de son thème mélodique. La relation tumultueuse des protagonistes reflète peut-être l'obsession de Berlioz pour Harriet Smithson. La Symphonie fantastique fut mise en scène le 5 décembre 1830 à Paris, aux Salles des Concerts du Conservatoire. Berlioz fit distribuer des programmes expliquant l'histoire aux spectateurs à leur arrivée. Ce n'était peut-être pas le premier exemple de "musique à programme" (où la musique se voit attribuer une histoire spécifique), mais c'était certainement le plus audacieux.

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Des instruments innovants

Berlioz était un compositeur ambitieux: son orchestre parfait aurait compté 465 musiciens, mais cela ne fut jamais réalisé dans la pratique. La plupart des orchestres de l'époque comptaient 60 musiciens, alors que Berlioz en réunissait souvent 150. Dans son Requiem, il faut 16 timbales pour faire sonner un carillon, tandis que la Grande Messe des Morts comporte un passage où dix cymbales sont utilisées. La Symphonie fantastique fut la première symphonie à inclure la harpe. Berlioz privilégia aussi parfois des instruments plus négligés; il écrivit par exemple Harold en Italie, une symphonie avec alto obligé. Inspirée par son séjour en Italie, la symphonie avait été commandée par le virtuose Niccolò Paganini (1782-1840), qui estima toutefois qu'elle n'utilisait pas suffisamment tout le répertoire de ses talents.

Berlioz était un admirateur de la flûte et de la trompette, qu'il considérait comme de belles sonorités. Les nouveaux sons rendus possibles par les nouveaux instruments intriguaient Berlioz. Lorsque les tubas d'orchestre furent inventés en 1835, Berlioz demanda à ses éditeurs qu'ils remplacent les ophicléides dans la Symphonie fantastique. L'imagination de Berlioz pouvait aussi s'étendre dans l'autre sens et rechercher des instruments aujourd'hui perdus. Pour sa symphonie Roméo et Juliette, il fit fabriquer une paire de cymbales d'après celles trouvées dans l'ancienne ville romaine de Pompéi. Le penchant de Berlioz pour les instruments exotiques et les grands orchestres fut souvent parodié dans la presse populaire parisienne.

Réaction critique

Certains critiques (d'hier et d'aujourd'hui) considèrent que l'originalité de Berlioz n'était que le reflet de son manque de talent de compositeur. Frédéric Chopin (1810-1849), bien qu'ami, était plutôt indifférent au style de Berlioz, et remarqua un jour avec acidité que "Berlioz compose en étalant sa plume sur le manuscrit et en laissant la question au hasard" (Wade-Matthews, 356). D'autres n'étaient pas d'accord. Felix Mendelssohn (1809-1847) et Franz Liszt (1811-1886) étaient tous deux de fervents partisans de Berlioz. Certes, son "style idiosyncrasique, embrassant des rythmes et des phrases irréguliers, des textures contrapuntiques et une orchestration imaginative, n'était pas apprécié" par tous (Schonberg, 160).

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Berlioz paya le prix de son innovation et s'efforça de vivre uniquement de ses compositions. Il y eut des succès et des échecs, qui dépendaient souvent du lieu. Par exemple, La damnation de Faust, qui ressemble à une cantate, ne fut pas appréciée à Paris mais reçut un accueil très favorable en Russie. Même des parties d'une même œuvre suscitèrent des réactions mitigées. Son opéra Benvenuto Cellini, monté à Paris en 1838, fut un échec, mais le public aima (et aime toujours) l'ouverture entraînante Le carnaval romain . En conséquence des échecs financiers de ses œuvres, Berlioz fut obligé d'écrire des critiques musicales; il pouvait faire preuve d'esprit, mais aussi de mépris. Le compositeur n'aimait pas le côté journalistique de sa carrière, mais le célèbre historien de la musique et spécialiste de Berlioz H. MacDonald remarque que "c'était l'un des écrivains les plus perspicaces et les plus vitaux de son temps" (Arnold, 213).

Hector Berlioz Caricature
Caricature d'Hector Berlioz
Anton Elfinger (Public Domain)

Berlioz effectua également des tournées de direction d'orchestre, se produisant entre 1842 et 1862 en Autriche, en Belgique, en Angleterre, en Allemagne et en Russie. Berlioz était un chef d'orchestre physique, "une figure volatile et extravagante sur le podium, l'un des premiers chefs d'orchestre chorégraphiques" (Schonberg, 174). La réputation du compositeur fut toujours plus solide en dehors de Paris, en particulier en tant que chef d'orchestre.

Le compositeur continua à composer et ne renonça jamais à Paris, même s'il estimait que "les Parisiens étaient devenus un peuple barbare" (Steen, 323). Sa foi fut récompensée par le succès de sa trilogie chorale L'enfance du Christ en 1854 et par une prestigieuse commande de musique pour l'Exposition universelle de 1855, son Te Deum. Le public français resta cependant changeant et il fut particulièrement blessé par le manque de succès de son opéra épique de cinq heures, Les Troyens, qui ne fut mis en scène qu'en 1863 avec en prime la seconde partie, Les Troyens à Carthage, tronquée. L'opéra était basé sur l'œuvre de l'auteur romain Virgile (70-19 av. J.-C.), et il avait fallu plusieurs années pour le composer. Une fois de plus, le véritable succès vint de l'étranger, cette fois avec une production de l'opéra comique de Berlioz, Béatrice et Bénédict, donnée à Baden-Baden en Allemagne en 1862. L'opéra s'inscrivait dans la continuité de la fascination que le compositeur avait toujours éprouvée pour les œuvres de William Shakespeare (1564-1616), puisqu'il était basé sur Much Ado About Nothing (Beaucoup de bruit pour rien).

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Principales œuvres de Berlioz

Les œuvres les plus célèbres d'Hector Berlioz sont les suivantes:

La Symphonie fantastique (1830)
Le corsaire- ouverture (1831)
Harold en Italie - symphonie (1834)
Benvenuto Cellini - opéra (1834-8)
Grande messe des morts (1837)
Roméo et Juliette - symphonie chorale (1839)
Grande symphonie funèbre et triomphale - pour orchestre militaire (1840)
Les nuits d'été - cycle de chansons (1841)
Le carnaval romain - ouverture (1844)
La damnation de Faust - œuvre chorale et opéra (1846)
Te Deum (1849)
L'enfance du Christ - oratorio (1854)
Les Troyens- opéra (1856-8)
Béatrice et Bénédict - opéra-comique (1862)

Berlioz écrivit également un important traité d'orchestration en 1843, qui fut traduit en anglais en 1855, et un manuel de direction d'orchestre, publié en 1855.

Hector Berlioz by Courbet
Hector Berlioz par Courbet
Gustave Courbet (Public Domain)

Mort et héritage

Berlioz souffrit de dépression et d'autres problèmes de santé dans les dernières années de sa vie, notamment d'une névralgie intestinale aiguë qui l'obligeait à prendre de l'opium. En juin 1867, son fils unique mourut. Berlioz avait payé à Louis une formation dans la marine, mais ce métier était dangereux et il mourut de fièvre à Cuba. Le plus souvent confiné à la maison, Berlioz appelait son petit appartement la caverne de Caliban, en référence au personnage mi-monstre, mi-humain du même nom dans La Tempête de Shakespeare. Il poursuivit sa passion pour la lecture, ses auteurs préférés étant Byron, Virgile et Shakespeare. Il dit un jour: "J'ai passé ma vie avec cette race de demi-dieux; je les connais si bien que j'ai l'impression qu'ils ont dû me connaître" (Schonberg, 172). Hector Berlioz mourut à Paris le 8 mars 1869. Berlioz écrivit en fait sa propre biographie, publiée sous le titre de Mémoires en 1870, bien qu'elle soit loin d'être un récit entièrement objectif où la vérité est parfois sacrifiée au profit du divertissement.

Berlioz avait un style musical personnel particulier, mais c'est peut-être le compositeur tchèque Bedrich Smetana (1824-1884) qu'il influença le plus directement. Les innovations de Berlioz furent certainement étudiées par d'autres, notamment Franz Liszt, Richard Wagner (1813-1883), Richard Strauss (1864-1949) et Gustav Mahler (1860-1911), entre autres. Comme le note l'historien H. C. Schonberg à propos de Berlioz:

Il n'eut aucun disciple direct, car ses idées étaient trop peu orthodoxes pour ses contemporains immédiats; mais les compositeurs ultérieurs absorbèrent son message, et son influence s'étendit à tous les secteurs de l'avant-garde musicale. (159)

Grave of Hector Berlioz
Monument funéraire d'Hector Berlioz
Son of Groucho (CC BY)

Les ouvertures de concert de Berlioz restent populaires auprès du public aujourd'hui, tandis que son œuvre la plus célèbre est sa Symphonie fantastique, qui fut enregistrée par certains des plus grands chefs d'orchestre du XXe siècle. L'un des problèmes que pose la mise en scène d'autres œuvres est le coût de la constitution d'un orchestre nécessairement nombreux. Sa musique est parfois utilisée dans des films, notamment son inquiétant Dies irae du 5e mouvement de la Symphonie fantastique, qui figure dans les scènes d'ouverture du film de Stanley Kubrick Shining (1980).

Berlioz reste une figure qui divise les critiques, mais sa position parmi les grands compositeurs est assurée car "son intérêt pour des modes d'expression nouveaux et variés et son sens passionné de la couleur et du drame incarnent l'idéal romantique" (Sadie, 214). Schonberg va même plus loin: "Presque à lui seul, il brisa l'establishment musical européen. Après lui, la musique ne serait plus jamais la même" (160).

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Questions & Réponses

Pour quoi Hector Berlioz est-il connu ?

Hector Berlioz est connu pour être le plus important compositeur français de musique romantique du XIXe siècle. Son œuvre la plus connue aujourd'hui est la Symphonie fantastique.

Pourquoi Berlioz était-il controversé ?

Le compositeur Hector Berlioz était controversé parce qu'il utilisait un orchestre élargi avec une orchestration et une utilisation novatrices des instruments. Sa musique romantique était avant-gardiste car il voulait exprimer des émotions et raconter une histoire.

Quels ont été les problèmes rencontrés par Hector Berlioz ?

Le compositeur Hector Berlioz a eu du mal à gagner sa vie et à se faire une réputation à Paris. Il était estimé dans d'autres pays et a connu quelques succès en France, mais le public parisien était généralement plutôt indifférent à sa musique novatrice.

Traducteur

Babeth Étiève-Cartwright
Babeth s'est consacrée à la traduction après avoir enseigné l'anglais au British Council de Milan. Elle parle couramment le français, l'anglais et l'italien et a 25 ans d'expérience dans le domaine de l'éducation. Elle aime voyager et découvrir l'histoire et le patrimoine d'autres cultures.

Auteur

Mark Cartwright
Mark est un auteur, chercheur, historien et éditeur à plein temps. Il s'intéresse particulièrement à l'art, à l'architecture et à la découverte des idées que toutes les civilisations peuvent nous offrir. Il est titulaire d'un Master en Philosophie politique et est le Directeur de Publication de WHE.

Citer cette ressource

Style APA

Cartwright, M. (2023, novembre 10). Hector Berlioz [Hector Berlioz]. (B. Étiève-Cartwright, Traducteur). World History Encyclopedia. Extrait de https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-22395/hector-berlioz/

Style Chicago

Cartwright, Mark. "Hector Berlioz." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. modifié le novembre 10, 2023. https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-22395/hector-berlioz/.

Style MLA

Cartwright, Mark. "Hector Berlioz." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. World History Encyclopedia, 10 nov. 2023. Web. 25 déc. 2024.

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