Jacques Offenbach

Définition

Mark Cartwright
par , traduit par Babeth Étiève-Cartwright
publié sur 15 janvier 2024
Disponible dans d'autres langues: Anglais, Néerlandais
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Jacques Offenbach (by Nadar, Public Domain)
Jacques Offenbach
Nadar (Public Domain)

Jacques Offenbach (1819-1880) était un compositeur d'origine allemande qui prit la nationalité française et devint célèbre à Paris pour ses opérettes comiques, un genre qu'il créa, et pour l'opéra plus sérieux Les Contes d'Hoffmann. Violoncelliste virtuose, chef d'orchestre et compositeur prolifique d'œuvres scéniques, Offenbach connut une immense popularité dans toute l'Europe au cours des années 1860.

Jeunesse

Jakob Eberst vit le jour à Cologne, en Allemagne, le 20 juin 1819; son nouveau nom de famille, Offenbach, fut adopté plus tard et provient de la ville natale de son grand-père, Offenbach am Main, près de Francfort, dans le centre de l'Allemagne. Son père, Isaac, dirigeait la prière et la musique dans une synagogue. Jakob apprit à jouer du violon dès l'âge de six ans, puis du violoncelle dès l'âge de neuf ans.

Jakob s'installa à Paris avec son père et son frère Julius en 1833. Jakob, désormais connu sous le nom de Jacques, était assez doué pour entrer au Conservatoire de Paris, mais il n'y étudia qu'un an. Vivant la vie de bohème de Paris, son premier emploi fut dans l'orchestre de l'Opéra-Comique. Il se paya des cours privés de composition à Fromental Halévy (1799-1862). Pendant son temps libre, Offenbach composait des pièces pour violoncelle et piano, ainsi qu'une multitude de ballades sentimentales, dont beaucoup étaient jouées dans les salons de la capitale française. Offenbach se fit surtout connaître en tant que virtuose du violoncelle, mais quelques unes de ses valses furent également jouées par l'orchestre en plein air du Jardin Turc. Sa carrière se poursuivit dans les années 1840, mais les choses s'accélérèrent à partir de 1850, lorsqu'il devint chef d'orchestre au Théâtre français.

Caractère et famille

L'historien C. Schonberg porte un jugement peu flatteur sur le physique et le caractère d'Offenbach:

Jusqu'à la fin, Offenbach était un citoyen des boulevards plutôt qu'un citoyen de Paris. Il se sentait également à l'aise parmi les excentriques qui l'entouraient. Il était myope (aveugle sans ses lunettes), maigre, avec un nez énorme et des cheveux longs et ondulés. Il ressemblait à un épouvantail intelligent avec une tête de perroquet.

(356)

En 1844, Offenbach épousa Herminie, la fille de Madame Mitchell, Espagnole et célèbre animatrice de salon à Paris. Les parents d'Herminie n'autorisèrent Offenbach à se marier que s'il se convertissait au catholicisme et gagnait de l'argent en faisant une tournée de concerts en Angleterre; Offenbach fit les deux. Le couple eut un fils et quatre filles. Dans les années 1860, Offenbach eut également une maîtresse régulière, la chanteuse Zulma Bouffar, avec laquelle il eut deux enfants.

Young Jacques Offenbach
Jacques Offenbach jeune
Alexandre Laemlein (Public Domain)

L'opéra comme comédie musicale

Au cours de l'été 1855, Offenbach décida de promouvoir ses propres œuvres, principalement de courtes pièces comiques, en louant le Théâtre Marigny, situé sur la principale avenue de Paris, les Champs-Élysées. Offenbach explique dans son autobiographie les raisons de cette décision:

Il me vint à l'esprit que l'opéra-comique n'existait plus à l'Opéra-Comique, que la musique vraiment drôle, gaie, spirituelle était peu à peu oubliée... c'est alors que j'eus l'idée de fonder moi-même un théâtre musical, en raison de l'impossibilité persistante de faire produire mes œuvres par qui que ce soit d'autre. (Schonberg, 357)

Le compositeur ne manqua jamais une occasion de porter un regard satirique sur la société parisienne.

Le théâtre fut rebaptisé Bouffes-Parisiens pour refléter son répertoire d'opéra-bouffe. Le genre de l'opéra-bouffe (alias opera buffa) était initialement basé sur des personnages de la vie quotidienne se retrouvant dans des situations comiques. Parmi les premiers exemples, citons Le nozze di Figaro (Les Noces de Figaro) de Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791). Il fait partie du genre plus large de l'opéra-comique, opposé à l'opéra sérieux (opera seria) et se distingue de ce dernier par le maintien de portions de dialogues parlés et l'évitement de thèmes plus sérieux dans l'histoire. L'opéra-bouffe comportait généralement des scènes de farce romantique. Un journaliste du New York Times, écrivant en 1876, nota que "l'opéra-bouffe est simplement l'instinct sexuel exprimé en mélodie" (Wade-Matthews, 393). De ce type d'opéra sont nées des œuvres connues sous le nom d'opérettes, qui sont des opéras légers, comprennent des dialogues parlés et contiennent souvent des airs autonomes spécifiquement insérés, joués parallèlement à une séquence de danse sans rapport particulier avec l'histoire (et de là sont nées les comédies musicales modernes pour la scène et le cinéma). Offenbach devint un maître et un compositeur majeur d'opérettes, et la plupart de ses œuvres peuvent être décrites comme telles. Le musicologue R. Orledge note d'ailleurs qu'Offenbach inventa le terme pour son spectacle de 1856, La rose de Saint-Flour (Arnold, 1288).

Western Classical Music, c. 1700-1950
Musique classique occidentale, vers 1700-1950
Simeon Netchev (CC BY-NC-ND)

Le théâtre d'Offenbach avait beau être minuscule, et sa licence de représentation n'autoriser qu'une distribution de deux ou trois personnages par spectacle, les représentations étaient très bien accueillies par la multitude de Parisiens qui s'y entassaient jusqu'au plafond. Un journaliste plein d'esprit remarqua: "C'est le David des maisons d'opéra et, d'une manière indirecte, il inflige aux Goliaths, ses grands rivaux, des blessures plus graves qu'ils ne voudraient le reconnaître" (Schonberg, 357). Le succès financier fut tel qu'Offenbach put prendre définitivement possession d'un autre théâtre, le Théâtre Comte.

Rossini qualifia Offenbach de "Mozart des Champs-Élysées".

Le premier opéra complet d'Offenbach fut Orphée aux enfers. La première eut lieu en octobre 1858 et connut un succès fulgurant, avec 228 représentations consécutives. L'œuvre originale comportait deux actes, mais Offenbach la révisa et étendit à quatre actes en 1874. Orphée et ses opéras comiques ultérieurs tournaient en dérision le genre traditionnel des opéras qui racontaient des histoires tirées de la mythologie grecque. Offenbach se moqua particulièrement des fins d'opéra françaises traditionnelles en y ajoutant, par exemple, une valse. Le compositeur ne manqua jamais une occasion de s'attaquer à la société parisienne. Offenbach ne mit pas seulement en scène ses propres œuvres, mais aussi celles de jeunes compositeurs en devenir, notamment Le Docteur Miracle de Georges Bizet (1838-1875).

Au final, Offenbach écrivit une centaine d'œuvres pour la scène, dont au moins la moitié ne comportait qu'un seul acte. Ses librettistes les plus fréquents étaient Ludovic Halévy (qui coécrirait plus tard le livret de Carmen de Bizet) et Henri Meilhac (1830-1897), tandis que sa soprano principale était Hortense Schneider, l'une des superstars de la chanson de l'époque. Les opérettes d'Offenbach, "pleines d'esprit et de légèreté, satirisaient des compositeurs comme Wagner et Meyerbeer et capturaient l'esprit hédoniste dominant du Paris du Second Empire, avec sa passion pour les danses de music-hall et son implacable dénigrement de l'establishment" (Wade-Matthews, 393). La vie parisienne est une œuvre typique avec sa célèbre danse can-can (alias galop infernal) finale. Orledge résume comme suit l'approche particulière d'Offnebach en matière de comédie:

Sa parodie musicale consistait en grande partie à citer des thèmes familiers dans des environnements incongrus et l'élément farcesque résidait souvent davantage dans les situations et les textes qu'il mettait en scène, bien qu'il possédât la capacité d'accentuer les situations comiques, d'exploiter le rythme et les accents de la langue française, et de faire monter l'excitation dans ses finales étincelants.

(Arnold, 1288)

Music in the Tuileries Gardens by Manet
La Musique aux Tuileries de Manet
National Gallery, London (Public Domain)

Le compositeur italien d'opéras comiques Gioachino Rossini (1792-1868) décrivit Offenbach comme "le Mozart des Champs-Élysées" (Wade-Matthews, 393). Au cours d'un siècle marqué par les guerres et les révolutions, l'historien S. Sadie note que "les opérettes et les valses d'Offenbach et de Johann Strauss le Jeune ont probablement contribué plus que toute autre chose à l'entreprise sérieuse consistant à ne pas être délibérément sérieux au cours de la seconde moitié du dix-neuvième siècle" (326). Offenbach était au sommet de sa gloire dans les années 1860. De grands noms comme le romancier anglais William Makepeace Thackeray (1811-1863), l'écrivain russe Léon Tolstoï (1828-1910) et même l'empereur Napoléon III (r. de 1852 à 1870) assistèrent à ses opérettes. La réputation d'Offenbach devint internationale à la suite de commandes de représentations à Vienne et à Bad-Ems en Allemagne. Londres et les États-Unis ne tardèrent pas à mettre en scène les œuvres d'Offenbach. Offenbach put se permettre de vivre dans une grande demeure à Paris et d'acheter une grande maison de vacances sur la côte, dans la station balnéaire à la mode d'Étretat, en Normandie.

Certains critiquèrent Offenbach et l'orientation ultra-comique dans laquelle il avait presque à lui seul fait basculer l'opéra. Le compositeur allemand Richard Wagner (1813-1883) dénonça l'œuvre d'Offenbach comme "un tas de fumier sur lequel tous les porcs d'Europe se sont vautrés " (Schoberg, 358). Les cultures plus pudibondes n'appréciaient pas non plus l'air de sous-entendus osés et de pure méchanceté qui semblait s'attacher à toutes les opérettes d'Offenbach. Le Philadelphia Evening Bulletin estima que "la prétention du compositeur est inexcusable" et qu'"il est le pourvoyeur d'une indécence pure et simple"(ibid). Ce type de critique ne fit qu'attiser la curiosité des gens qui voulaient savoir de quoi il en retournait.

Les contes d'Hoffmann

Les comédies d'Offenbach continuèrent de remporter un vif succès malgré le snobisme, voire l'antisémitisme, de plusieurs critiques de renom. En 1873, le compositeur présenta trois productions simultanément à Paris: Fantasia, La Boule de neige et Le Corsaire noir. À partir de 1874, les opérettes d'Offenbach tombèrent en désuétude au fur et à mesure que les années 1870 avançaient; leur prévisibilité confortable devint un peu trop prévisible, et le public se lassa de la satire sociale. En conséquence, Offenbach subit une série d'échecs qui le ruina financièrement. Le compositeur fut obligé de trouver d'autres moyens de collecter des fonds et partit donc en tournée aux États-Unis en 1876. Cette tournée de 30 nuits fut lucrative, puisqu'elle rapporta au compositeur la somme impressionnante de 1 000 dollars par représentation. Pourtant, lorsqu'il retourna dans son Paris bien-aimé, le compositeur fut heureux de déclarer: " Je suis à nouveau Offenbach " (Schonberg, 362).

Offenbach constata qu'un autre type d'opéra s'était imposé auprès du public, des opéras comme Die Fledermaus (La Chauve-souris) de Johann Strauss II (1825-1899), dont la première représentation eut lieu en 1874. Ironiquement, c'est Offenbach qui avait persuadé Strauss d'écrire des opéras en plus de ses célèbres valses. Le maître avait appris de l'élève et changea complètement son approche de la musique de scène.

Offenbach se tourna vers des drames plus sérieux et renoua avec ses racines allemandes, ce qui donna Les contes d'Hoffmann (1881), curieusement l'œuvre pour laquelle il est le plus célèbre aujourd'hui. Dans une œuvre qu'il avait en fait commencée en 1877, Offenbach passa de l'extrême des comédies en un acte à un énorme opéra sérieux en cinq actes (ou trois actes plus un prologue et un épilogue). Le livret volumineux des Contes d'Hoffmann est principalement basé sur trois contes écrits par le romantique allemand Ernst Theodor Amadeus Hoffmann (1776-1822). Il s'agit du Marchand de sable, de l'Aventure de la Saint-Sylvestre et du Conseiller Crespel.

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L'œuvre était à peu près achevée, mais Offenbach étant décédé pendant les répétitions, elle fut finalisée par Ernest Guiraud en 1881, qui coupa notamment l'acte de Giulietta. La première eut lieu à Paris le 10 février 1881 à l'Opéra-Comique. Succès immédiat, l'opéra fut également monté à New York (octobre 1882) et à Londres (avril 1907). L'acte de Giulietta fut réintroduit pour les représentations ultérieures. La séquence correcte, telle qu'Offenbach l'avait imaginée, devrait être la suivante:

Prologue
L'action se déroule dans la cave d'un marchand de vin à Nuremberg, en Allemagne. Andrès reçoit une lettre de Stella, mais il est persuadé de la remettre au conseiller Lindorf, qui organise alors un rendez-vous entre Stella et le poète Hoffmann. Hoffmann raconte les histoires de trois amours, une histoire pour chacun des trois actes suivants.

Acte 1
C'est l'histoire d'Hoffmann et d'Olympia, une poupée parlante inventée par le Dr Coppelius (le même interprète que le conseiller Lindorf) et Spalanzani. En portant des lunettes magiques (fabriquées par Coppelius), Hoffmann voit Olympia comme une personne réelle. Le couple danse à la fête de sortie d'Olympia et tombe amoureux, mais le désastre survient lorsque, pour se venger d'avoir été escroqué par Spalanzani, Coppelius brise Olympia.

Acte 2
Hoffmann est maintenant à Munich, où il tombe amoureux d'Antonia, la fille du conseiller Crespel et une jeune chanteuse à la santé fragile. Le Dr Miracle (le conseiller Lindorf à nouveau déguisé) utilise la ruse consistant à faire revivre une photo de la défunte mère d'Antonia afin de la persuader de chanter à nouveau. Le chant d'Antonia entraîne sa mort et Hoffmann perd son deuxième amour.

Acte 3
À Venise, Hoffmann tombe amoureux une troisième fois de Giulietta, une courtisane. Giulietta est sous le contrôle du sinistre magicien Dapertutto (Lindorf une fois de plus). Dapertutto ne veut rien de moins que l'âme d'Hoffmann, et Giulietta est donc forcée de le piéger. Hoffmann tue Schlemil en duel afin de posséder la clé qui ouvrira la chambre dans laquelle Giulietta a été emprisonnée. Mais Hoffmann arrive trop tard et Giulietta est aperçue en train de partir sur une gondole en compagnie d'un nain appelé Pitichinaccio. Pour la troisième fois, Hoffmann perd l'amour.

Épilogue
Nous retournons à la taverne du marchand de vin de Nuremberg, où Hoffmann est trop ivre pour remarquer l'arrivée de Stella, qui est emmenée par le conseiller Lindorf, son ennemi juré et qui semble contrôler sans effort le destin d'Hoffmann.

La "Barcarolle" - à l'origine un genre de chant nautique au rythme 6/8 caractéristique - de l'Entr'acte de l'opéra est peut-être le morceau de musique le plus reconnaissable d'Offenbach, bien qu'il ait d'abord écrit l'air pour son opéra en trois actes Die Rheinnixen en 1864.

Prologue Scene, Tales of Hoffmann
Scène de prologue, Contes d'Hoffmann
Pierre-Auguste Lamy (Public Domain)

Œuvres principales

Les œuvres lyriques les plus importantes de Jacques Offenbach sont les suivantes :

Orphée aux enfers (1858)
Geneviève de Brabant (1859)
La belle Hélène (1864)
Les Fées du Rhin (1864)
Barbe-bleue (1866)
La vie parisienne (1866)
La grande duchesse de Gérolstein (1867)
La Périchole (1868)
Les contes d'Hoffmann (1881)

Mort et héritage

Offenbach mourut à Paris le 5 octobre 1880. Ses funérailles eurent lieu à l'église de La Madeleine à Paris, le cercueil fut emmené dans une tournée des théâtres de la ville, puis il fut enterré au cimetière de Montmartre. Dans une nécrologie, le célèbre critique Eduard Hanslick résume la contribution unique d'Offenbach au théâtre:

Quoi qu'il ait écrit, Offenbach a toujours fait preuve d'originalité. Il suffit de deux ou trois mesures pour reconnaître que sa musique est offenbachienne, et ce seul fait le place bien au-dessus de ses imitateurs français et allemands, dont les opéras bouffes se flétriraient misérablement si l'on confisquait tout ce qu'ils ont d'offenbachien. Il a créé un nouveau style dans lequel il régnait absolument seul.

(Schonberg, 362)

L'approche d'Offenbach en matière d'opéra-comique influença d'autres compositeurs, notamment en France où il dirigea une sorte d'école de compositeurs d'opérettes comprenant Hervé (1825-1892), Charles Lecoq (1832-1918), Robert Planquette (1848-1903) et André Messager (1853-1929). Offenbach exerça également une grande influence en Angleterre. De nombreuses opérettes d'Offenbach furent montées avec succès à Londres et " l'élément du théâtre de l'absurde qu'Offenbach a inventé dans ses opérettes [...] s'est retrouvé dans les opéras Savoy de Gilbert et Sullivan " (Sadie, 326). On peut aussi raisonnablement affirmer que c'est Offenbach, plus que tout autre compositeur, qui, avec ses opérettes, établit le lien crucial entre l'opéra-comique qui le précéda et la comédie musicale moderne qui lui a succédé au XXe siècle.

Questions et réponses

Quelle est l'œuvre la plus célèbre de Jacques Offenbach ?

Bien que célèbre à son époque pour ses opérettes comiques, le compositeur Jacques Offenbach est aujourd'hui surtout connu pour son opéra plus sérieux, Les Contes d'Hoffmann.

Pourquoi Jacques Offenbach est-il un compositeur important ?

Jacques Offenbach est un compositeur important parce qu'il a inventé le genre de l'opérette comique, jetant ainsi les bases d'une évolution des spectacles de théâtre qui aboutira à la comédie musicale moderne.

Quelle est la différence entre un opéra et une opérette ?

La différence entre un opéra et une opérette est que le premier est généralement plus sérieux, avec des thèmes plus graves et tous les dialogues chantés. Les opérettes ont tendance à être beaucoup plus courtes, plus comiques, à inclure des dialogues parlés et à comporter des numéros musicaux autonomes insérés uniquement pour leur valeur mélodique.

À propos du traducteur

Babeth Étiève-Cartwright
Babeth s'est consacrée à la traduction après avoir enseigné l'anglais au British Council de Milan. Elle parle couramment le français, l'anglais et l'italien et a 25 ans d'expérience dans le domaine de l'éducation. Elle aime voyager et découvrir l'histoire et le patrimoine d'autres cultures.

A propos de l'auteur

Mark Cartwright
Mark est un auteur, chercheur, historien et éditeur à plein temps. Il s'intéresse particulièrement à l'art, à l'architecture et à la découverte des idées que toutes les civilisations peuvent nous offrir. Il est titulaire d'un Master en Philosophie politique et est le Directeur de Publication de WHE.

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Cartwright, M. (2024, janvier 15). Jacques Offenbach [Jacques Offenbach]. (B. Étiève-Cartwright, Traducteur). World History Encyclopedia. Récupéré de https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-22575/jacques-offenbach/

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Cartwright, Mark. "Jacques Offenbach." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. Dernière modification janvier 15, 2024. https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-22575/jacques-offenbach/.

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Cartwright, Mark. "Jacques Offenbach." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. World History Encyclopedia, 15 janv. 2024. Web. 20 nov. 2024.

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